Construction du bastion de Kazad dûm
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Construction du bastion de Kazad dûm
Hanzok voulait la construction d'une forteresse de très grande envergure. Celle ci devait être un roc imprenable. Le nain, bien que n'étant pas architecte, avait rassemblé des dizaines d'architectes afin de dessiner l'aspect que prendrait la porte Est. Ensemble ils décidèrent de battir quelque chose de simple, mais de majestueux. Ce serait une citadelle impénétrable. Un immense mur se dresserait à mis chemin de la pente courant vers la vallée. Elle gagnerait la porte. Sa hauteur serait d'environ cent cinquante coudée. Au sommet serait une plate forme immense ou reposeraient des catapultes et des tours vers les pics surplombant l'endroit. Le mur avait deux cents pas de longueur sur soixante dix de largeur. Bien que celle ci variait le long du coteau, en raison de la nature semi élevé de l'édifice. Les mineurs cesseraient leur travail pour un temps et viendrait prêter main forte aux quelques artisans de métier, comme les tailleurs de pierre. Tous prendraient part à cette construction, forgeron, potiers, ou prospecteur.
Pour parvenir au sommet, nul chemin à flanc de montagne. Seul une porte en bas, menant à des dizaines de pièces successives séparées par des herses. Puis on empruntait un escalier plat et large qui montait verticalement et sur lui même jusqu'au centre de la plate forme. Le chemin était flanqué de postes de garde, de piège de défense comme des meurtrière ou des archères, mais aussi des gargouilles et des mâchicoulis inondant les salles de vapeurs d'eau brûlante ou de jet de fluide en ébullition.
Les créneaux supérieur se penchait vers une abîme de plusieurs centaines de pieds. Cet édifice vertigineux serait un granit au milieu d'une mère en furie, le phare d'une côte en pleine tempête. Des étages minaient ce massif ouvrage. Des couloirs circulaient le long du mur sur trois niveau différent, laissant apparaître des dizaines d'archères. Celle ci se trouvaient cependant à plus de 80 coudés dus sol. Mais ces petits couloirs où même un nain circulait avec peine, n'était qu'un détail. D'immenses arsenaux étaient aménagés dans l'ensemble. On pouvait voir en une trentaine d'endroits des trous aux formes rondes. Il s'agissait des goulots dans lesquels les nains pouvaient introduire des boulets sphériques qui roulaient quelques dizaines de mètres puis coulaient le long de conduits et en fin plongeaient de l'une de ces ouvertures étranges vers le vide entourant la muraille. En cas de siège les projectiles allaient s'écraser au milieu des rangs ennemis.
Pour parvenir au sommet, nul chemin à flanc de montagne. Seul une porte en bas, menant à des dizaines de pièces successives séparées par des herses. Puis on empruntait un escalier plat et large qui montait verticalement et sur lui même jusqu'au centre de la plate forme. Le chemin était flanqué de postes de garde, de piège de défense comme des meurtrière ou des archères, mais aussi des gargouilles et des mâchicoulis inondant les salles de vapeurs d'eau brûlante ou de jet de fluide en ébullition.
Les créneaux supérieur se penchait vers une abîme de plusieurs centaines de pieds. Cet édifice vertigineux serait un granit au milieu d'une mère en furie, le phare d'une côte en pleine tempête. Des étages minaient ce massif ouvrage. Des couloirs circulaient le long du mur sur trois niveau différent, laissant apparaître des dizaines d'archères. Celle ci se trouvaient cependant à plus de 80 coudés dus sol. Mais ces petits couloirs où même un nain circulait avec peine, n'était qu'un détail. D'immenses arsenaux étaient aménagés dans l'ensemble. On pouvait voir en une trentaine d'endroits des trous aux formes rondes. Il s'agissait des goulots dans lesquels les nains pouvaient introduire des boulets sphériques qui roulaient quelques dizaines de mètres puis coulaient le long de conduits et en fin plongeaient de l'une de ces ouvertures étranges vers le vide entourant la muraille. En cas de siège les projectiles allaient s'écraser au milieu des rangs ennemis.
Dernière édition par le Lun 4 Fév 2008 - 15:40, édité 1 fois
Re: Construction du bastion de Kazad dûm
Les pierres s'élançaient en de haut pans de murailles. Le travail avançait grâce aux stocks de pierre de Kazad Dûm. Mais ceux ci ne tarderaient pas à faire défaut. Les mineurs avaient entammé la sappe d'un fossé, afinde réduire une partie des constructions. On avait arrêté le mur le long d'une ligne de roc, et les meilleurs mineurs de la mine avaient percé les fondations de la muraille à même la pierre dur, rendant ainsi tout travaux de sappe superflux. Des échaffaudages et des poutre de bois de chêne s'elançaient dans les lieux les plus hauts, vertigineuses tours irrégulières. Des ebauches d'escalier s'étaient formées. Le chantier avançait à grand train. Hanzok considéraient cela d'un oeil bien veillant, et prenait sa charge de roi avec bonne humeur et intelligence. Une question lui trotait dans la tête, le moyen de financer la suite des travaux. Il regarda au loin par dessus les montagnes chechant un point sur une ligne d'horizon.
HRP:Encore cinq jours.
HRP:Encore cinq jours.
Re: Construction du bastion de Kazad dûm
A présent les travaux étaient finis. Une citadelle vertigineuse s'élevait vers les cimes des montagnes. Hanzok était satisfait du travail bien qu'il comptait le poursuivre dès qu'il aurait les fonds suffisants. Du haut des crénaux il surplombait la vallée. Il eu un coup de beaume au coeur. Les nains redeviendraient ce qu'ils étaient jadis, une race puissante et respecté à sa juste valeur.
Re: Construction du bastion de Kazad dûm
Hanzok avait consulté ses architectes. Ensembles ils élaborèrent la suite des constructions pour parvenir à battir une cité viable dans les temps futurs pour les naugrims. Il allait faire ajouter une donjon centrale de quatre vingts coudées de haut, et deux nouvelles tours renforceraient la strucutre de l'édifice en limitant les angles morts. Il jeta un oeil sur les plans. Les ouvriers se mirent au travail.
Re: Construction du bastion de Kazad dûm
Les travaux avançaient de manière régulière, sans que les architectes n'aient à s'inquiéter des délais. Le peuple nain était un peuple de pierre, un peuple de bâtisseurs qui avaiet construit d'immenses forteresses, des palais bardés de sculptures en dentelles, ou des ponts élancés au dessus des gouffres. Mais depuis quelques temps Hanzok s'ennuyait profondemment. La vie avait acquis une sorte de fadesse. Le trône de Kazad Dûm était une bien belle charge, mais cela ne suffisait guère à occuper un nain si actif. Il trainait de plus en plus dans la salle des archives, à consulter des cartes et à lire des descriptions de voyage. Il regardait la conté avec envie et nostalgie. Un soir de juin, il partit pour un nouveau pays, laissant le soin à ses compagnons de parachever l'erection de ces édifices.
Re: Construction du bastion de Kazad dûm
Après de longs mois de construction, le citadelle protectrice de Kazad Dûm était enfin achevé. Le bastion s'était vu rajouté deux hautes tours et un bastion centrale. Les dimensions titanesques que Hanzok avait donné à la forteresse était un élément disuasif tout autant que défensif. Avec les nombreuses armées de Kazad Dûm, les nains pouvaient dormir sur leurs deux oreilles.
Des Trébuchets allaient être installé sur les angles des murs et des parapets; Les machicoulis étaient prêtes à déverser leurs boulets de grannit. A présent Hanzok avait assuré la sauvegarde du royaume dans les temps futurs. L'avenir s'anonçait bien moins sombre que les temps précédents.
Des Trébuchets allaient être installé sur les angles des murs et des parapets; Les machicoulis étaient prêtes à déverser leurs boulets de grannit. A présent Hanzok avait assuré la sauvegarde du royaume dans les temps futurs. L'avenir s'anonçait bien moins sombre que les temps précédents.
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