Kesil

Suivi d'une armée entière de 35000 soldats (Hrp : je comptabilise les pertes des massacres), Kesil se dirigeait à pas hâtifs jusqu'à Belegost, en passant par l'Angmar, l'Arnor, afin d'éviter l'Eregion qui semblait être une contrée bien plus dynamique et rude à traverser...

[Khazad-Dûm => Belegost / environ 6 cases (la carte marche pas) / avec une armée / environ 24 heures]

Les portes de la cité abandonnée de gardes, le passage pour Kesil et son armée fut rapidement fait, et ils pénètrerent dans ce qui serait bientôt un nouveau royaume...

[Voyage terminé]

[Voyage 35000 soldats nains (30000 de Khazad-Dûm, 5000 de Belegost]
[Belegost => Khazad-Dûm / 9 cases / à pied / 36 heures]

Sur ordre du Roi, une armée mélangée de nains de Khazad-Dûm et de Belegost fut envoyée à Khazad-Dûm, pour y assurer la sécurité du royaume. Kesil ordonna également la plus grande vigilance et établit lui-même un parcours à suivre qui tenait les soldats le plus loin possible du royaume d'Eregion. Les nains devaient suivre le long de la montagne jusqu'à pénétrer dans l'Arnor, qu'ils traverseraient à l'horizontale pour entrer dans l'Angmar, et, non sans un détour, pénétrer dans le royaume de Khazad-Dûm en restant au nord de l'Angmar jusqu'à la frontière avec Erebor et les Monts du Fer pour filer droit vers le sud et longer toujours la frontière Angmar / Erebor, Angmar / Mirkwood (en restant à une distance respectable de la vue des Elfes sylvestres) et Angmar / Anduin.

[Voyage Kesil et une centaine d'élites guerriers nains]
[Belegost => Nogrod / 1 case / à pied / 4 heures]

Kesil se procura une garde suffisante de soldats pour se rendre au royaume de Nogrod pour cause de "voyage diplomatique", bien que ses intentions semblaient autres aux yeux de ses soldats. Toutefois ils n'osèrent lui poser la question par peur de déclencher son courroux, et Kesil lui-même ne donna aucune information sur les raisons de ce voyage.

[Voyage 35 000 soldats terminé]

Les soldats suivirent à la lettre le plan de voyage établi par Kesil et ne rencontrèrent aucune présence elfique ou humaine sur leur chemin. Ils pénétrèrent dans le royaume de Khazad-Dûm, retrouvant la cité comme ils l'avaient retrouvé. Ceux qui y étaient restés étaient trop horrifiés à l'idée d'une nouvelle répression de Kesil qu'ils n'osèrent rien faire pour se soulever contre le pouvoir durant l'absence du Roi. Les nains de Belegost enrôlés dans l'armée de Khazad-Dûm furent tous immédiatement envoyé à s'entraîner et apprendre les techniques de combat de la Demeure des Naugrims, tandis que les soldats de la cité furent répartis autour des deux entrées/sorties du Royaume et au sein de la population pour la surveiller.

[Voyage Kesil terminé]

Bien que le passage de la frontière aurait dû être impossible dûe à la fermeture de celles-ci par décision de Duroin (qui était alors encore Roi du royaume de Nogrod), la renommée de Kesil s'était vite propagée et des gardiens du royaume le laissèrent entrer, accompagné de ses 100 guerriers nains. Une dizaine de nains voulut même se joindre à eux, ce que Kesil dans sa toute bonté accepta. Ensemble, ils s'apprêtaient à marcher sur Nogrod.

[Nogrod => Khazad-Dûm / 10 cases / monture : poney (calèche) / 20 heures]

Après un bref séjour à Nogrod et non sans avoir laissé derrière lui certaines traces de sa renommée, Kesil pensa qu'il n'était pas encore temps de conquérir la cité de Nogrod, sous peine de risquer des soulèvements de la population de tous ses royaumes. Il préferait encore asseoir son emprise sur Belegost et Khazad-Dûm, renforcer ses armées, puis ensuite il partirait à la conquête d'un pouvoir encore plus grand, tel qu'il le désirait. C'est pourquoi il quitta Nogrod et partit pour Khazad-Dûm.

[Voyage terminé]

Kesil arriva à destination, et fut rapidement pris à parti par un certain Hatori Hanzok dont il connaissait déjà la réputation et le passé. Il reçut un crâne d'un corbeau sur lequel était gravé une "invitation" à se rendre au Col de Caradhras, ou Baraz en Khuzdul, le jour du solstice d'été, c'est-à-dire seulement quelques jours plus tard. Le jour venu, il s'y rendit bel et bien.