Chroniques d'Arda
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 lAiles Noires à Barad_Dur

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MessageSujet: lAiles Noires à Barad_Dur   lAiles Noires à Barad_Dur EmptyVen 5 Jan 2007 - 21:36

C’était une nuit sans étoiles, de grands nuages noirs voilaient la lune sur tout l’ouest des Terres du Milieu.

Sous la forme d’une grande chauve-souris aux immenses ailes qui semblaient étouffer toute lumière, et dont les jointures s’ornaient de grandes griffes d’acier, thuringwethil glissait sans un bruit dans l’air nocturne. Son vol était plus rapide que le vent, et son grand corps sombre était invisible dans cette ténébreuse nuit. De temps à autres, elle jetait un cri sinistre de pure haine qui déchirait le silence nocturne, faisant se retourner dans leur sommeil les vies chaudes quelques centaines de pieds plus bas.

Thuringwethil ne prenait cette forme que lors de nuits semblables à celles-ci, ou seules les créatures des ténèbres s’aventuraient dehors. Depuis cette nuit funeste ou la lune haïe illuminait de sa clarté les Terres de l’Ouest, et où le puissant Thorondor avait failli la déchiqueter de ses serres redoutables, c’était toujours pressée par quelque impérieuse nécessité qu’elle se décidait à s’aventurer dans les grands espaces célestes.

Et elle ressentait en ce moment même une telle nécessité : comme un poisson ferré par un hameçon, elle avait ressenti un appel. Mais cela était plus qu’un appel : c’était l’impérieuse Volonté de son Maître, qui rappelait auprès de Lui sa servante. Cet appel n’était pas fait de mots, pas plus qu’il ne s’adressait à sa conscience. Mais comme la Soif qui parfois tenaillait ses entrailles en lui infligeant mille tourments, cet appel était un besoin, une obligation de se rendre auprès du Maître de la Terre Noire. Car telle était sa servitude, son esclavage.

Elle survola bientôt la Porte Noire du Mordor, ou les serviteurs de son ténébreux Maître s’agitaient comme des rats puants. Son œil distinguait droit devant elle une lueur rougeoyante… Les feux d’Orodruin, la Montagne du Destin, qui jamais ne trouvaient le repos. Ses puissantes ailes l’amenèrent en direction d’une énorme masse sombre, plus haute qu’une montagne, et piquée de milles petites lueurs rouges, comme autant de petits yeux malveillants scrutant de leur perversité maligne les étendues de cendres du Noir Pays. La tour de Barad-Dur, demeure de son Maître, s’élevait comme une montagne d’acier, spires après spires, tourelles déchiquetées aux dessus de murailles immenses s’enfonçant dans des abîmes insondables.

Un vent froid précéda son vol, jetant l’épouvante parmi la vermine orc qui se pressait devant les terribles herses semblables à des mâchoires funestes des portes de la Tour Noire. Thuringwethil rabattit son ample manteau noir, reprenant la forme qui était la sienne : une grande elfe élancée, ténébreuse et à l’allure terrible tandis qu’elle fixait d’un œil froid un commandant orc qui s’était aplati à sa venue. Elle méprisait ces créatures, en même temps qu’elle les haïssait, car elles lui rappelaient ses cuisants échecs et les tromperies qui l’avaient amenée à servir Morgoth, le Noir Ennemi, et à devenir la messagère de Sauron. Elle ne voyait en les orcs qu’une forme de vie horriblement pervertie et déformée, son échec et celui de ses maîtres à créer à partir des elfes des êtres dignes d’être comparés aux créatures de l’Unique.

Ses yeux noirs, dont la flamme blanche n’était visible que lorsque elle était en colère ou décidait de dévoiler son pouvoir, fixèrent l’orc tremblant.

« Dites à mon Maître que sa messagère Thuringwethil sollicite une entrevue », dit-elle d’une voix qui avait le mordant de l’hiver. Puis elle attendit là, devant les portes d’acier, car Sauron était un maître dur et cruel et, même si elle se savait être l’un de ses instruments préférés, elle n’ignorait pas que le moindre faux-pas lui vaudrait d’ignobles tortures… Oh oui ! Elle connaissait bien son Maître ! Le fait que la citadelle de Carn Dum soit tombée devant l’alliance des Edains, et que ce cancrelat de Golbag est échoué devant Lond Daer, avait dû contrarier de nombreux plans de son Ténébreux Maître… Heureusement, la nouvelle en était déjà parvenue au Mordor, et ce n’était pas à elle de transmettre le message de ces défaites.
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MessageSujet: Re: lAiles Noires à Barad_Dur   lAiles Noires à Barad_Dur EmptyVen 5 Jan 2007 - 22:53

Les gardes devant les portes de Barad Ur n'étaient que de simples orcs,trop stupides et effrayés pour oser parler à l'apparition qui venait de se matérialiser devant eux.
cependant,un plus intelligent que les autres s'en alla prévenir les autorités compétentes et c'est ainsi qu'une silhouette noire et encapuchonnée apparut aux portes.
S'approchant sans hésitation de la dame elfe,il lui dit:

"Cela fait quelques jours que notre Seigneur vous attend Dame Thuringwethil.Il vous attend sur son trône.Ayez donc l'obligeance de me suivre."


Puis,sans jeter un regard en arrière pour voir si elle le suivait,il retraversa les lourdes portes de la citadelle.Ses pas résonnèrent sinistrement sur les dallages tandis que portes après portes,passages après passages,tout s'ouvraient devant eux et que les sentinelles devenaient plus impressionnantes et dangereuses jusqu'à prendre les terribles formes des gardes de Dol Guldur,morts rattachés à une vie soumise à Sauron,et les même silhouettes que le guide de l'elfe.
Enfin,tous deux arrivèrent devant une lourde porte devant laquelle se tenaient deux gardes noirs,sans qu'aucun des deux n'eussent discutés pendant le trajet.
Son guide dit alors:

"Dame Thuringwethil,voici les portes de la salle du trône.Le Maître vous attend."

Les deux gardes ouvrirent alors les lourdes portes s'ouvrirent et l'elfe ressentit un puissant appel.Elle était au terme de son voyage,encore quelques pas et elle pourrait voir et parler avec Sauron,le seigneur du Mordor.
S'avançant entre les colonnes,le long d'un antique tapis noir bardés de sortilèges impies,elle arriva devant le trône et là l'appel se tut tandis qu'une voix forte dit:

"Thuringwethil,tu m'as manqué.Ou donc étais tu passé?longtemps en vain je t'ai attendu mais tu n'es pas venu.Avais tu donc si peur de moi que tu ne veuilles venir me retrouver?"
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MessageSujet: Re: lAiles Noires à Barad_Dur   lAiles Noires à Barad_Dur EmptyVen 5 Jan 2007 - 23:10

Thuringwethil s’agenouilla devant Sauron, ses longs cheveux d’ébène dissimulant son visage. Puis, lorsqu’il lui fit signe, elle se redressa, le teint ivoirin de sa peau tranchant avec l’obscurité de sa chevelure et de son ample manteau noir. Ses longs cils noirs faisaient comme un voile devant l’obscurité de ses prunelles, car elle pouvait masquer l’éclat stellaire de son regard, ce qu’elle faisait toujours face à son maître, en signe de déférence. Jamais elle n'aurait essayé de mentir à son Maître. Une fois elle avait essayé, croyant dans son fol orgueil que son esprit et son puissant pouvoir pouvaient lui cacher quelque chose. C'était il y'a fort longtemps, et le souvenir était cuisant dans son esprit. Sauron avait extirpé, sans un geste, ses pensées les plus secrètes, et elle avait failli être brisée par cette épreuve. Jamais plus elle ne commetrait la même erreur. Elle savait également qu'il pouvait lire dans son esprit la peur qu'elle avait d'être de nouveau châtiée... Mais Sauron aimait la peur chez ses serviteurs.

« O mon Seigneur », commença t-elle d’une voix magnifique, « J'étais au loin mais toujours à votre service. J'ai erré dans l'Ouest, écoutant les rumeurs et les récits… Epiant les allées et venues de nos ennemis. J'ai appris l'échec de vos serviteurs à Carn Dum, car je me trouvait dans les Monts Brumeux à ce moment. Je me suis alors rendue au mont Gundabad, la Porte des Gobelins, et j'ai suggéré aux gobelins de sortir de leurs aires et de rendre difficiles pour nos ennemis tous passage dans les contreforts des Monts Brumeux. Ils ont évité les grandes armées, mais de nombreux petits groupes sont tombés entre leurs mains. Un plan qui a porté ses fruits, car les Yeux du Mordor m’ont appris comment l’empereur de l’Ouistrenesse est tombé près de Carn Dum. Alors j'ai ressenti Votre Appel, et je suis venue aussi vite que j'ai pu. On murmure que l'existence de l'empereur oscille entre la vie et la mort… J’ai également pris connaissance d’une prophétie que l’on murmure à Numenor, selon laquelle la lignée des Rois ne s’éteindrait que lorsque l’Arbre Blanc et ses plants disparaîtraient. C’est pourquoi la Cour de l’Arbre Blanc est en permanence gardée, et nul homme ne pourrait parvenir à abattre l’Arbre Blanc… »

Sa voix se fit plus ténue et doucereuse :

« Mais là ou un guerrier échouerait à coup sur, un assassin, armé d’une lame forgée dans les profondeurs de Barad-Dur dans cet unique dessein, pourrait réussir… Si un poignard était ainsi forgé, que seule une estafilade dans cet arbre puisse l’empoisonner et le flétrir, alors un coup dévastateur serait porté au moral des Hommes de l’Ouest car tous, du plus humble au plus illustre, connaissent cette prophétie. Et s’il est quelconque trace de vérité dans cette prophétie, il se pourrait même que la lignée d’Elendil en soit affectée, et que l’empereur Tar Elessar ne puisse se remettre de ses blessures… ».

Elle laissa flotter un moment ses paroles dans les airs, et leur écho murmurant sembla parcourir la voûte de la salle.

« Le Harad est une terre ou pullulent les assassins, qui n’ont pas digéré la venue de ce nouveau roi, Tulkor, et dont les cœurs sont empli de haine envers les Hommes de l’Ouest. Si vous m’y autorisez, j’irai chercher là-bas le bras qui maniera ce poignard, et je l’enverrai vous trouver ici en Mordor, afin que vous puissiez vous-même armer ce bras, si vous le jugez digne d’une telle mission... A moins que n'ayez d'autres plans pour moi, bien sûr ».

Un sourire froid se dessina sur ses lèvres, et une lointaine flamme blanche sembla s’embraser au fond de ses noires prunelles.

"Mais avant que nous poursuivions cette conversation, désirez vous que je chante pour vous?"
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MessageSujet: Re: lAiles Noires à Barad_Dur   lAiles Noires à Barad_Dur EmptySam 6 Jan 2007 - 22:37

Sauron écouta avec plaisir la voix de sa servante,de son jouet tant aimé mais oh combien orgueilleux.
Cette dernière était toujours aussi intelligente et rusée mais personne n'arrivait à la cheville de Sauron en matière de malice.

"Toujours aussi belle et envoutante Thuringwethil.Chante pour moi.Cela fait longtemps.Nous avons tout le temps pour de la politique."
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MessageSujet: Re: lAiles Noires à Barad_Dur   lAiles Noires à Barad_Dur EmptyDim 7 Jan 2007 - 14:45

Thuringwethil inclina la tête de coté, laissant une partie de sa chevelure masquer son visage, comme une cascade d’ébène sur de pâles rochers éclairés par la lune, car son maintien et son expression lointaine lui faisait ressembler en cet instant à une statue de marbre de la lointaine Lorien.

Le silence plana dans la salle, tandis que Thuringwethil choisissait un chant qui pourrait plaire à son maître. Puis elle leva les bras, et les torches qui éclairaient la pièce s’éteignirent. Alors son chant s’éleva dans l’obscurité, et son chant avait le rythme des vagues venant caresser les rivages des terres éternelles. Et dans ce lieu de maléfices qu’était la Tour Sombre, ce chant s’insinua dans les cœurs qui jamais ne connaissaient la Pitié, qui d’habitude se complaisaient dans la Souffrance et la Peur.

Et la Voix de Thuringwethil recelait un Pouvoir, si bien que tout ceux qui l’entendirent furent comme figés, et que leurs cœurs furent un instant libérés de leurs tourments habituels. Tous ne comprenaient pas ce chant, car il était dans la langue commune des elfes, le Sindarin ; mais tous furent saisis par la mélancolie des paroles. Car telle était la magie des chants de Thuringwethil, elle qui avait été l’une des plus grande parmi les Eldars.

Ce chant était comme un rêve fugitif, le reflet voilé de ce qui aurait pu être. Et ce chant s’adressait autant à Sauron qu’à elle-même, car tous deux se rappelaient les lointains rivages du jour, avant que la lumière des Arbres ne fut éteinte, et vifs étaient encore dans leurs cœurs les souvenirs de leurs espoirs perdus.

Et tel était son chant :

« An i natha
An i naun ului
A chuil, ann-cuiannen
Am meleth, perónen.
»


« Pour ce qui pourrait avoir été,
Pour ce qui n'a jamais été.
Pour une vie, longtemps vécue
Pour un amour à moitié donné
»


Puis elle se tut, et les torches se rallumèrent. Le silence plana dans la salle du trône, et les sombres gardes eurent l’impression de sortir d’un rêve.

Thuringwethil regarda son maître dans les yeux. L’espace d’un fugitif instant, leurs pensées se croisèrent. Tous deux regrettaient les rêves qui jamais ne s’étaient réalisés, et tous deux rendaient les Valars responsables de leur Chute.
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MessageSujet: Re: lAiles Noires à Barad_Dur   lAiles Noires à Barad_Dur EmptyDim 7 Jan 2007 - 17:42

Sauron avait fermé les yeux à ce chant d'une grande beauté.Il sentait en chacun d'eux le pouvoir de Thuringwethil et cela le faisait vibrer en son coeur comme avec chaque parcelle de puissance.Mais là,le plaisir était doublé d'un profond regret,d'une blessure lointaine et secrète.
et quand devenue insupportable au maiar il ouvrit les yeux,il retrouva la même dans les yeux de sa servante.
Cela redonna vie à sa rage de destruction et de domination et le silence qui s'était installé fut brisé par sa voix.

"Douce Thuringwethil,tes mots sont encore plus enjoleur qu'avant mais le temps des plaisirs est fini.Parlons politiques et conquêtes puisque le monde refuse de tourner pour moi.
Tes nouvelles,qui ne sont d'ailleurs pas nouvelles,ont fait germé de nouveaux plans dans mon esprit.La guerre est un moyen brutal et simpliste d'obtenir le pouvoir mais tant que le désir d'alliances régnera chez les humains et les elfes,elle ne pourra jamais m'offrir seule ce que je désire.Il faut comme pour tout travail dégagez le chantier.Pour cela,Aragorn ne doit pas se relever ou bien comme tu me l'as si doucement suggéré,les présages s'abattent sur le Gondor."


Le seigneur noir s'interrompit à ce moment.

"Le Gondor est la seule puissance que nous ayons à craindre.Ses hommes sont vaillants et ses généraux exemplaires.Mes orcs ne valent rien face à eux.Cependant,nous pouvons rendre les frontières lâches par une série d'escarmouches.Voilà longtemps que les hommes n'ont pas gouté à la peur sur leur frontières.Une poignée d'assasins à répandre dans ce beau pays,et nous pouvons dire adieu à l'Union Sacrée qui règne là bas.
Ma belle Thuringwethil.Va chercher les bras vaillants qui désirent nous aider et fais les venir ici.Là,ije les armerai pour la bataille à venir et te donnerai une nouvelle tâche plus adapté à quelq'un d'aussi talentueuse que toi..."
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MessageSujet: Re: lAiles Noires à Barad_Dur   lAiles Noires à Barad_Dur EmptyLun 8 Jan 2007 - 10:40

Thuringwethil vit la soif de pouvoir et la rage de son maître se refléter dans ses yeux, et elle dirigea son propre regard vers le sol, car nul être vivant, aussi grande que soit sa puissance, ne pouvait soutenir celui de Sauron dans de tels instants. Elle partageait ce sentiment avec son maître : là ou d’autres êtres auraient chercher à retrouver leur innocence perdue, eux ne pensaient qu’à flétrir l’oeuvre des Valars.

Son maître parla, lui le plus beau et le plus puissant des Maiar. Et sa voix était belle, mais plus que tout c’était l’orgueil et la puissance qui prédominaient dans les intonations de son maître. Et Thuringwethil aimait et jalousait cet aspect de Sauron, cette puissance inébranlable. Elle s’agenouilla, et sa longue chevelure sombre comme la nuit glissa comme un voile vers le sol.

« Le Gondor haï…», songea t-elle. Evidemment, Sauron avait envisagé depuis longtemps le même plan qu’elle… Et qui sait, peut être l’avait-il lui-même implanté dans son esprit ? Elle frissonna, car en cet instant le Pouvoir de Sauron lui semblait sans limites.

« En cela, comme en toutes choses, il en sera fait selon votre Volonté ».

Sauron acquiesça, et Thuringwethil comprit que l’entrevue était terminée et que son maître venait de la congédier. Déjà son esprit de rouages était tourné vers d’autres plans, d’autres maléfices à ourdir…

Elle quitta la salle du trône, passant devant la garde noire de Sauron. Elle traversa des enfilades de couloirs, bâties avec l’architecture cyclopéenne propre à la Tour Noire. Tout ici était fait pour écraser le visiteur. Les artifices de Sauron étaient nombreux, et il ne négligeait rien pour écraser l’esprit de ceux qui lui étaient soumis.

Elle se retrouva bientôt devant une entrée sombre derrière laquelle on devinait un escalier montant, plongé dans les ténèbres. Cette partie de la forteresse était évitée de tout le monde, sauf de Sauron et de ses serviteurs les plus au fait de ses pensées. Sa robe noire glissant silencieusement derrière elle, Thuringwethil commença son ascension vers le Donjon des Crebains.

(direction: le Donjon des Crebains)
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