Un nouvel avenir [ avec Nilù ]

En Cherchant son vieil amis, Halt avait fait toutes les tavernes de la capitale. Et il ne l'avait pas trouver. Cependant, au cours de l'après midi, il avait fait une intéressante découverte, se nommant Nilù. Cette jeune personne, que le Rôdeur avait rencontrer en s’intéressant aux étales de ville ( et en déplorant la qualité de la nourriture ), s'était trouver être une très jeune marchande... avec quelques problèmes de concurrence : Du fait de son âge et de sa taille, peu de gens la considérait réellement comme compétente. En essayant de convaincre le Rôdeur, dont elle ignorait la fonction ( et qui permettait à celui ci d'éviter tout les "problèmes" des basses ville comme la Harangue ), celle-ci s'était attirer l'attention du défenseur des peuples libres :
En effet, la couleur de sa robe, verte pomme, très proche de la couleur de sa cape ( gris-vert forêt ), s'ajoutant à la mission qu'il s'était inculquer : retrouver son amis, attira tout suite son attention :
" Pas cher mes belles pommes, pas cher !!! s'exclama-t-elle
- He bien, c’est avec plaisir que j’en mangerais une. Combien ?

Plus tard dans la journée, Nilù présenta Halt à Neï et Aréqua. La petite fille reçu les friandises de Halt avec joie et ils s'en allèrent tous les deux prendre leurs longs couteaux pour s'entraîner dans la petite cour pavée.
Nilù s'assit sur une marche à côté de son frère et posa sa tête sur son épaule.
- Neï s'entend à merveille avec Halt, dit Aréqua, regardant les deux jouer et rigoler, tant mieux.
 - Oui...elle ne sera pas toute seule quand nous partirons à Bree.
  - Quand allons-nous le lui dire ? Je n'ai pas du tout envie de me séparer d'elle et...
  - Moi non plus, l'interrompit Nilù. Mais on doit partir tu le sais aussi bien que moi.
  - Oui.
Aréqua se leva et pris la main de Nilù pour la soulever. Il crut à ce moment-là que sa vaillante sœur avait les larmes au yeux mais quand il voulut tourner son regard vers elle, elle passa sa manche sur son visage d'un geste rapide et acquiesça un sourire pour le rassurer. Aréqua serra Nilù contre lui puis ils continuèrent leur route bras-dessus bras-dessous vers leur abris. Le chemin n'étais pas court ni simple , il fallait traverser beaucoup de ruelles en évitant les habitants pressés, les enfants joueurs, des cavaliers...jusqu'à deux hautes maisons imposantes de vieilles pierres. Entre ces bâtisses il y avait un trou de taille moyenne, assez grand quand même pour que Nilù, Aréqua et Neï y aillent souvent.
Nilù se faufila à l'intérieur, pris les ceintures, et leurs deux couteaux aiguisés puis elle ressorti à la chaleur du soleil. Ils mirent tout les deux leur ceinture et y attachèrent leur couteaux. De retour à la petite cour, ils se joignirent à l’entraînement de leurs amis.