Les ordres du Seigneur des Ténèbres.

Après un court bien qu’intense voyage en Ithilien, le seigneur de la cité de sorcellerie avait une affaire à résoudre. Plus qu’une affaire au sein du Mordor c’était même là une directive. Et une seule personne en Mordor pouvait se vanter de donner des ordres à Rog, Sauron. Le seigneur des ténèbres et premier lieutenant du Noir Ennemi avait ordonné par le biais d’un messager que l’elfe corrompu se rende à Barad-Dûr. Le contenu de la missive était inconnu au numenor noir qui avait apporté la lettre, seul Sauron et ses quatre premiers lieutenants étaient au fait de son contenu hormis Rog bien évidemment.

A peine rentré à Minas Morgul, Rog s’empressait de lire la lettre puis de grimper sur sa monture ailée. Survolant avec une grande célérité sa forteresse, il avait tout de même prévenue la prêtresse de la forteresse afin qu’elle puisse le remplacer une nouvelle fois le temps de son voyage. La distance à parcourir n’était pas mince, mais depuis les cieux, le temps en était fortement réduit. En à peine une journée, Rog pourrait rallier Barad-Dûr depuis Minas Morgul. L’ombre Ailée aussi hideuse et puante qu’infatigable et terrifiante, cette créature était issue du premier âge et sa perversion avait été façonnée par Morgoth en personne.

Bien que la lettre ne semblât pas indiquer les raisons pour lesquelles Rog avait été convoqué. L’elfe ne se demandait pas s’il allait être sanctionné mais plutôt quels seraient les ordres à venir.
Si Sauron avait un certain lien avec Rog, ce lien correspondait plus à celui d’un maitre et de son apprenti. Sauron ou par le passé Mairon avait été lui-même l’apprenti d’Aulë le Forgeron. Le Maia déchu par la suite avait donc enseigné l’art de la magie comme le nomme les hommes et l’art de la forge. Rog était encore loin d’égaler le Seigneur des ténèbres, mais il connaissait nombre de secrets à son égard.
Mais l’ouverture du fornt à l’Est du Beleriand avait quelque peu éloigné les deux individus jusqu’à ce jour où Sauron appelait son apprenti pour certainement lui confier une nouvelle mission. Et nul n’ignore que chaque mission de Sauron n’est pas sans difficulté.

Alors qu’il pensait à tout cela, en-dessous de sa personne se trouvait quelques patrouilles orques. Les patrouilles en question était bien plus important que n’importe où en Terre du Milieu. Il ne s’agissait pas d’une poignée de wargs et d’orques, on y trouvait là au moins un troll, une trentaine d’orques et peut-être une dizaine de wargs. Une petite brigade comme celle-ci on en trouvait plus de mille qui parcouraient les terres couvertes de cendres.

Visiblement de presque partout en Mordor, Rog voyait peu à peu l’Orodruin se rapprocher. L’énorme montagne n’avait de cesse que de cracher fumée et flammes. L’elfe songeait d’ailleurs à tenter d’essayer une chose que Sauron lui avait enseigné, mais l’enclume attendrait que la rencontre soit terminée.

Pendant plusieurs heures, le vol était presque ennuyeux, et l’elfe s’il l’avait pu aurait bien emprunté un livre pour passer le temps. En -dessous de la bête ailée et de son cavalier on ne trouvait plus de patrouilles, mais directement des campements et diverses bâtisses orques. Ce n’était plus des dizaines d’orques mais des milliers.

Le temps passait et voici que la sombre tour de Barad-Dûr était toute proche. Pour se poser il n’y avait d’autre choix que de la faire devant les portes, il aurait été mal vu de voir la monture se poser directement au sommet de la tour là où résidait le Seigneur des Ténèbres.
Sans qu’il n’est à s’annoncer les portes s’ouvraient devant lui. Les vermines venaient à s’incliner au passage et sa monture s’envolait à la recherche d’une proie pour passer le temps.

Rog grimpait donc les longs escaliers qui semblaient sans fin et pourtant après une longue montée, le voici face à la dernière porte qui le séparait de Sauron. Il n’y avait plus là d’orques pour ouvrir les portes. A la place c’était des numenors en armure lourde.
Faisant une légère révérence, les seconds nés venaient à ouvrir les portes et ils laissaient Rog faire face à son destin.
L’elfe avançait jusqu’au pied du trône du Seigneur des Ténèbres puis c’était enfin au tour de Rog que de faire une révérence. Là dans un profond silence il attendait les instructions.

PNJ Sauron et le Quadriumvirat du Mordor

Le grand Œil trônait là, siégeant en haut de Barad-Dur, observant, analysant chaque recoin de son sombre domaine, de sa sombre contrée.
Il était là, immense, gorgé de flamme, incarnée sous la forme d'un ëalar sans fana, sans corps. Il n'était qu'un immense œil de flamme et de ténèbres, scrutant un pays tout autant gorgé de flammes et d'ombres, quoique lui fut aussi physique.

Il avait vu au loin, depuis qu'il avait quitté Barad-Dur à vrai dire, l'arrivée d'un de ses plus importants généraux, un elfe du Beleriand, un elfe qui avait connus l'age des arbres, un noldor de Valinor puis du Beleriand. Contrains à la servitude par quelques pièges du destin.
Il l'avait regardé arriver depuis Minas Morgul, la sombre cité de la magie noire qui depuis quelque temps était en ébullition, Sauron l'avait vue et tous le savait, Rog, l'ancien chef de la maison du Marteau de la Colère, faisait amasser des troupes dans sa cité et la préparait à la guerre.

La guerre oui, une guerre contre le Gondor ... Le pays contre lequel Sauron avait échoué une fois à cause du traître d'orient, le mort-vivant qui se prenait pour un dieu, alors qu'il n'était qu'un pauvre homme. Un homme souillé par la magie noire de Morgoth qui plus est ...
Sauron souhaitait réclamer son dû, réclamer la tête d'Aragorn qui lui échappait depuis trop longtemps, il souhaitait réclamer le palantir de l'Ouistrenesse, il souhaitait réclamer Minas Tirith et lui offrir le même sombre destin que sa citée sœur Minas Ithil. Il souhaitait réclamer son dû, sur ces terres qui lui revenait, car il était Sauron, premier lieutenant de Morgoth et celui qui devait régner sur la Terre du Milieu en son nom !

Alors que Rog était en bon chemin, atterrir devant Sauron, ses serviteurs les plus dévoués et les plus sur. Arrivèrent enfin, le quadriumvirat, ceux que Sauron avait "bénis" de sa sombre lumière, de son feu ardent. Chacun représentait son peuple en Mordor, chacun, dirigeait à sa façon le sombre pays au nom de ce maître qu'il servait aveuglément.

Ils étaient venus, montés sur leur féroce ailé, les plus grands, les plus forts et les mieux équipé de tous, ils avaient reçu de Sauron lui-même arme et armure. Ils avaient reçu de lui une part de sa puissance et lui était fidèle éternellement, car sa volonté seule s'épanouissait dans leurs êtres.

Ils prirent place, chacun devant le grand Œil, attendant leur heure, car ils devaient être là quand Sauron parlerait, ils devaient être là pour écouter et parler à l'actuel régent de Minas Morgul.
Leurs ombres ailées, avaient pris place autour de Barad-Dur, face au grand Œil, posé là et observant leurs sombres maîtres en silence.

Rog finit enfin par pénétrer les hauteurs de Barad-Dur, il arriva devant Sauron, devant cet œil de feu au regard pénétrant. Les quatre membres du Quadriumvirat attendaient là, patiemment leur heure.

-Rog, dirigeant de la Maison du Marteau de la Colère, tu as fait vite, très bien, amorça la Bouche de Sauron.

-Nous ne perdrons pas de temps à discuter, elfe, nous savons que tu prépares ta citée à la guerre, nous savons que tu t'apprêtes à fondre sur les terres de l'Ouistrenesse ! Reprit le Marteau, le terrible Olog.

-Mais cette volonté enjoint celle de notre seigneur, alors parle, décrit ce que tu souhaites accomplir Rog. Raconte-nous comment tu comptes et souhaites t'abattre sur les anciennes terres du Gondor et comment tu veux ôter la vie de ses gens. Viens à finir la Tour de Sauron.

Ne relevant toujours pas la tête car le grand œil ne lui avait pas demandé ceci. Rog comptait bien répondre aux questions du seigneur noir et cela même s’il passait par des êtres inférieurs se trouvant dans la pièce. De l’image de Sauron dans les temps passé qu’avait l’elfe, il n’en restait plus grand-chose. Lui qui est le premier lieutenant avait dans le temps une autre approche des choses et n’hésitait pas à se montrer en personne.
Aussi la déception fut grande quand c’était un anneau de feu qui accueillait l’elfe et non l’une des nombreuses enveloppes du terrible Maia. La présence de son quadrium venait l’accabler d’autant plus, surtout lorsque ces derniers venaient à s’exprimer. Que cela soit l’elfe, l’homme le troll ou l’uruk, aucun d’eux n’avait le vécu de Rog est ils étaient à leur place simplement grâce à un coup du sort. Faisant néanmoins abstraction de cela en se disant que de toute façon ces quatre êtres n’avaient plus de volonté propre, il se contenait et n’offrait que des réponses simples.

-Très bien, je vais vous exposer mes projets. Dans un souci de temps je me contenterais d’éviter les plus détails insignifiants. Aussi si vous le permettez j’aimerais me servir de cette carte là-bas.

Rog pointait une table métallique toute noire sur laquelle se trouvait divers documents dont une carte de la Terre du Milieu et même du Beleriand avec cela.
Après l’autorisation accordée, l’elfe se redressait lentement et d’un pas d’une rare légèreté il arrivait auprès de la carte.

-Pour commencer mon plan consiste à renforcer le passage Ouest qui mène au Mordor. Malgré la présence d’Arachne ou bien de la forteresse de Minas Morgul des accès sont toujours et encore possible. Pour commencer à colmater la brèche, je prévois d’installer à l’entrée du canyon qui mène à la tour de sorcellerie un petit fort.

Rog montrait alors sur la carte le lieu auquel il avait pensé. Son doigt se posait à l’entrée de la faille de la chaine de montagnes, passage unique qui menait à Minas Morgul.

-En utilisant une nouvelle méthode de fabrication, la première étape du fort devrait se faire en une nuit. Si ce n’est moins grâce aux efforts des trolls et grandes bêtes. Bien que pour l’heure il me manque encore des grandes bêtes et de la main d’œuvre. La première étape du fort servira à repousser une éventuelle attaque du Gondor, donc autant s’attendre à de voir se battre en envoyant avec les ingénieurs de nombreux combattants.

Une nouvelle sur la carte, il montrait du doigt Minas Morgul puis il laissait son doigt glisser sur le morceau de cuir pour arriver jusqu’au lieu du fort. Avec ses mains il semblait comme mimer la formation des troupes et comme une illusion ou un autre maléfice on pouvait presque comme voir la formation se créer en miniature. Était-ce la précision de ses gestes qui avait cela, nul doute que Rog était un elfe hors du commun.

-Les cages à troll à l’avant avec des piquiers et des archers, nous ferons ensuite installer des engins de siège. La deuxième étape du fort consiste à former à établir par-dessus les murs en bois des murs en pierres. Plus que de simples murs, ces derniers seront disposés en escalier avec un écart de deux mètres en chacune des marches. Il y aura quelques passerelles pour les relier entre elles, mais elles seront amovibles. Le but de cet escalier défensif et de permettre à plusieurs lignes d’engin de siège et d’archers de pouvoir tirer en même temps pour chuter l’armée ennemie. L’idéal serait d’avoir au moins quatre marches. La première marche commencerait à six mètres de haut, puis à chaque marche en augmente la taille de cette dernière de six mètres encore, pour au final avoir la quatrième marche à vingt-quatre mètres haut.

Prenant un instant, Rog réfléchissait à s’il avait omis une chose concernant la première phase de son plan. Puis il continuait avec la suite de son plan.

-Ceci était la première étape de mon plan visant à permettre une replie plus aisée en cas de débâcle militaires. Ce fort permettra aussi d’entreprendre des travaux désormais sécurisée pour piège le canyon menant à Minas Morgul. Il y aurait par exemple un corridor tout du long des falaises permettant de surveiller les chemins justes en dessous. Des éboulements pouvant se déclencher et des passages secrets permettant à des troupes de surgir des ces éboulements afin de prendre l’ennemi de toute part. Avec tout ceci le passage serait totalement paré à toute invasion de la part des peuples libres. Mais à présent je vais vous parler de mon plan d’attaque.

Prenant deux pions symbolisant les armées de Sauron. Rog s’emparait aussi des pions représentants les troupes du Gondor.

-Pour commencer d’après les nombreux rapports des éclaireurs orques comme numenor, on est à peu près sûr qu’il y a au total soixante mille soldats prêts à agir le long de la frontière et d’autres en renfort.

Un pion du Gondor représentant une légion, Rog en posait trois en Ithilien et trois dans les landes désertiques.

-Si l’Ithilien est propice aux embuscades des rangers et à la défense de forts, les landes désertiques avec ses nombreux marais sont un lieu parfait pour une attaque. Les marais ralentissent les hommes et si l’on coupe leur ravitaillement il n’y aucun moyen pour eux de pouvoir aider la garnison de leur fort.

Rog plaçait à présent l’un des pions de Sauron à Minas Morgul et l’autre à la Porte Noire.

-La but du plan et de pousser les gondoriens de l’autre côté du fleuve et donc de les virer du Nord comme du Sud. Depuis Minas Morgul je feinterais une attaque de grande envergure, alors qu’en vérité les légions du Mordor partiront depuis la Porte Noire le lieu le moins logique pour se déverser dans la partie de la ligne de front. Incapable de réagir à temps à cause des marais et des routes trop étroites, le Gondor devra soit abandonner ses forts soit mourir dedans. Pour les troupes à Minas Morgul je ferais au mieux pour jouer l’appât tout en limitant au maximum les pertes et pouvoir attaquer lorsque le Gondor se focalisera sur le Nord. Bien sûr avec tout ceci, des renforts de l’arbre blanc seront envoyé de tout son territoire. Autant compter sur presque cent mille hommes dans le pire des scénarios. En nombre nous pouvons lutter mais pas en qualité, c’est pourquoi il faudra développer des moyens de se déplacer plus facilement que les hommes dans les marais.

Rog observait la carte et savait pertinemment que le plan reposait au final sur les troupes du Nord, mais qui en nombre seraient inarrêtable. Il continuait son explication.

-Après l’acquisition des landes désertiques, du marais et de la partie Sud-Ouest des plaines de Dagorlad. Une partie des troupes devra tenir la frontière alors que l’autre s’en ira au Sud pour prendre l’Ithilien puis l’Harrondor. Ainsi il sera possible d’encercler les troupes au contact avec Minas Morgul et causer de nombreuses pertes. Pour ce plan il sera bien évidemment mieux de trouver des alliés. Peu importe leur nature, que cela soit le Harad au Sud ou bien les hommes de l’Est malgré vos divergences avec eux. J’ai conscience de la menace qu’ils peuvent représenter, mais une trêve bien que temporaire sera un bénéfice pour tous et surtout pour le Mordor qui pourrait laisser les Hommes de l’Est s’occuper des Nains d’Erebor ou bien fracasser ses troupes sur les remparts du Gondor. Mais encore une fois ce n’est qu’une suggestion. Aussi la présence d’un Balrog ou d’un dragon serait la bienvenue, mais je présume que le Bélériand ne peut pas se permettre de nous envoyer ce genre de renfort.

Rog attendait donc l’avis de chacun bien qu’au final il n’y avait qu’un avis à entendre.

Lorsque ce fut Sauron qui parlait directement à Rog, l’elfe avait moins l’impression de se faire insulter. Bien que lorsque le Seigneur des Ténèbres évoqua son appartenance aux Noldo, il avait en son fort intérieur un sentiment de mépris envers lui-même. Car aussi grand pouvait-être l’amour des elfes, notamment celui de Rog envers sa femme. Aucun ne saurait pardonner une telle folie, et dans son cœur comme dans son âme il espérait que Mandos saurait le pardonner pour ces trahisons. Car même sans avoir tué qui que ce soit, le Noldo avait aidé l’ennemi et en cela la souillure était présente en son âme.

Le plan semblait donc correspondre aux attentes du premier Lieutenant d’Angband. Nul doute que Sauron était le plus rusé et intelligent des serviteurs de Morgoth, intelligence qui surpassait sans mal celle de Glaurung ou de Gothmog.
Si pour Sauron le soutien du Harad semblait acquis, encore fallait-il coordonner tout cela pour que cela ne finisse pas en boucherie. Nul doute que Sauron promettrez richesse aux corsaires et le Harrondor aux Harradrims. Mais la clef de la victoire se tenait à une arrivée propice. Ni trop en avance ni trop en retard, les troupes du Sud devaient se mouvoir dans le secret jusqu’à la frontière puis attendre les premiers mouvements du Mordor. Et Rog espérait que le quadrium avait conscience de cela, car ce serait certainement l’un d’eux qui irait les voir. Au sol les Haradrims devraient avancer leurs bêtes de guerre alors qu’en mer les corsaires auront la difficile tâche de retenir la marine du Gondor pour ne pas laisser cette dernière forte de plusieurs milliers d’hommes venir en renfort aux légions.
Toutefois en ce qui concernait le Rhun, Rog ne pensait Sauron rancunier à ce poit-là. C’était presque comme s’abaisser au niveau des hommes lui qui se voyait comme supérieur à ces derniers. Mais gardant cela au fond de son âme, Rog appréciait l’idée qu’il est une chance de pouvoir parlementer avec ces derniers. Il avait aussi retenu le nom de Krell qui n’était pas inconnu à l’elfe notamment de par sa rencontre toute récente avec l’ennemi du grand œil.

Chose que l’elfe n’attendait pas c’était également l’arrivée de renfort depuis le Beleriand un fait plus que surprenant. Si d’une part son cœur était soulagé d’apprendre que le premier front soit soulagé pour ses anciens frères d’armes. Il était aussi inquiet de leur sort, car l’ennemi pouvait y semble-t-il se permettre de se priver de troupes et ainsi cela pouvait peut-être signifiait la fin des elfes du Premier Age.

Le fait le plus surprenant était le fait que Sauron évoque Saroumane et l’Angmar. Sur cette faction, Rog en savait très peu si ce n’est rien. Et désignait Rog pour aller s’en occuper était peut-être inconscient à moins que la mission ne soit une mission suicide. Le Noir Seigneur souhaitait récupérer deux corps et comprendre le pourquoi était plutôt aisé lorsqu’on connaissait l’un de ses surnoms, le Nécromancien.
Mais dans tout ce qui était annoncé la dernière chose évoquée était sans contexte une chose aussi attrayante qu’effrayante pour Rog. Sa récompense dans le cas où il viendrait à ramener les corps était sa femme. Le Seigneur des Ténèbres offrait alors à l’elfe la raison de son serment envers le mal et la raison qui l’avait poussé à trahir tout ce en quoi il croyait.
Le Seigneur des Ténèbres était-il si sûr de lui qu’il osait prendre ce risque ou bien y avait-il quelque chose qu’il gardait pour lui et qui lui permettait de rendre cela.

-Il en sera fait selon les désirs du Seigneur des Ténèbres.