Chroniques d'Arda
Étrangers venu d'ailleurs, prenez part à l'aventure et combattez,... mais surtout venez vous amuser! Rejoignez-nous!
Galadriel, maj 232342Grandebannire



 
-20%
Le deal à ne pas rater :
-20% Récupérateur à eau mural 300 litres (Anthracite)
79 € 99 €
Voir le deal

Partagez
 

 Galadriel, maj

Aller en bas 
AuteurMessage
Galadriel
Dame de Lothlórien
Galadriel
Nombre de messages : 464

Feuille de personnage
Race:
Possessions: Aucune.
Statut:
Infos fermées
MessageSujet: Galadriel, maj   Galadriel, maj EmptyDim 1 Jan 2023 - 11:55

Galadriel,Alatáriel, Artanis, Nerwen
ft. Cate Blanchett

Âge : 7 222 ans
Race : Elfe Noldor
Etat civil : Mariée
Métier / Titre : Dame de Lothlórien

Carnation : Pâle
Taille : 1m94
Corpulence : Fine et élancée
Cheveux : Longs et dorés
Yeux : Marrons
Signe(s) distinctif(s) : Aucun
Posée
Diplomate
Observatrice
Fière
Ambitieuse
Travailleuse
Noble
Loyale
Maternelle
Réfléchie
Patiente
Fort soutien
Histoire : Années de jeunesse et Premier Âge

Née à Eldamar durant l’Année des Arbres 1362, Galadriel est la fille de Finarfin, prince des Noldor et Eärwen, princesse des Teleri. Sœur de Finrod, Angrod, Orodreth et Aegnor. Si une majeure partie de sa famille se trouvait en Aman, une autre partie était demeurée au-delà des océans, comme leur grand-oncle Elwë, connu là-bas sous le nom de Thingol. Elle vint au monde alors que la paix régnait encore dans les cœurs des Noldor et que les heures plus sombres demeuraient bien loin. Son enfance fut très protégée, remplie de leçons variées, de jeux avec ses frères et ses cousins, de découvertes de son environnement et de temps passé à apprendre. Les journées étaient toutes bien remplies mais cette époque heureuse fut peu à peu assombrie par les troubles montant dans le cœur des Noldor. Et par la défiance de certains d’entre eux envers les Valar. Elle se méfiait de Fëanor, voyant en son âme une certaine noirceur qui l’effrayait et la révulsait tout à la fois.

Elle vécut longuement à Alqualondë, attirée par la mer mais aussi et surtout par les horizons lointains qu’elle imaginait au-delà de l’océan. En elle grandissait le désir de partir vers ces terres, de les découvrir, d’y fonder son propre royaume, d’avoir une vie plus trépidante et loin de celle vécue en Valinor. Elle en désirait plus, ce qu’elle vivait ne la satisfaisait pas. L’attaque brutale contre Aman, le décès de leur grand-père ainsi que les appels à la révolte de Fëanor ravivèrent ce désir plus brusquement encore dans son cœur. Elle ne comptait pas rechercher la vengeance et désapprouvait l’appel à la guerre. Mais elle voulait partir, elle voulait fouler ces nouvelles terres et tenait plus sincèrement que tout à soutenir leurs cousins Teleri, demeurés en Beleriand. Si elle soutint ardemment, pour toutes ces raisons, le désir de départ, elle fut en revanche en première ligne pour défendre les siens lors du massacre d’Alqualondë.

Sa grande fierté et ses désirs l’empêchèrent de revenir à la raison et faire demi-tour lorsque l’occasion se présenta. Elle partit avec ses frères, ses cousins, son oncle et nombre des Noldor, alors que leur père faisait demi-tour. Le voyage fut très long, dangereux et mortel. Cependant, à aucun instant, elle ne regretta sa décision et poursuivit la route avec diligence, jusqu’à leur arrivée. La guerre déjà déclenchée ne l’intéressa cependant pas. Elle la jugeait sans espoir, sans l’aide ou le soutien des Valar, c’est pourquoi elle partit plutôt avec les siens vers Doriath. L’accueil fut glacial mais après quelques temps et des enquêtes menées par Thingol, il autorisé certains d’entre eux à demeurer à Doriath. Son frère, Finrod, ne resta guère longtemps, repartant pour accomplir ses propres objectifs. Lui, comme leurs trois autres frères, prenaient cette guerre à cœur et n’avaient pas l’intention de rester sans rien faire.

Pour sa part, elle se refusait toujours autant à participer à cette guerre. Elle s’établit pour de bon à Doriath, où elle fit la rencontre de Celeborn, un parent de Thingol. L’attirance entre eux fut presque immédiate et réciproque. Ils passèrent bien du temps ensemble, apprenant à se découvrir, puis à s’aimer, dissimulés par les hauts arbres de la profonde forêt. Cette union, bien qu’ils ne se mariassent pas immédiatement, l’apaisa durant un temps, calmant les envies de quitter la forêt pour aller explorer le vaste monde. Elle fit également la connaissance de Melian, dont elle devint une amie proche. Ce fut elle qui lui enseigna de nombreux dons et l’entraîna longuement. Elle apprit d’elle un esprit plus sage et une réflexion poussée, moins naïve et spontané, sur le monde et ce qui les entourait. La Maia lui apprit à respecter la puissance, la magie et connaître les dangers y étant liés.

Cependant, malgré tout le respect que Galadriel portait à Melian, jamais elle ne voulut lui avouer les circonstances plus précises du départ des Noldor, le massacre, le Serment de Fëanor ou l’incendie des navires. Ses frères finirent bien par avouer ce qui s’était véritablement passé, mais elle ne voulait pas s’étendre sur cette sombre histoire. Elle demeurait à l’écart, simplement. Les années suivantes, en apprenant coup sur coup les morts brutales de tous ses frères, elle pressentit que tout allait encore empirer. D’autant plus en voyant quel malheur allait être attiré sur Doriath. Elle quitta la région en compagnie de Celeborn, le cœur très lourd, traversant les montagnes jusqu’à arriver en Eriador. La Guerre de la Colère fut l’ultime séisme de ces temps. Lorsque tout fini et que Eönwë convoqua les Eldar, certains furent pardonnés et autorisés à revenir en Valinor.

Pour son soutien à l’exil, ce pardon ne lui fut pas accordé, auquel elle répondit fièrement qu’elle ne souhait, de toute manière, certainement pas revenir. D’autant plus que Celeborn ne souhait pas non plus quitter ces terres et qu’il n’était plus question pour elle de l’abandonner au loin. Tous deux se marièrent très peu de temps après ces évènements.

Des siècles de troubles

Avec son mari, ils s’établirent un temps au Lindon et ne le quittèrent que lorsque Gil-Galaad en prit la tête, avant de s’installer en Eriador, autour du lac Nenuial, suivis par de nombreux Elfes. Ce fut une période plus paisible que bien d’autres, plus sécurisante également. Une période propice à de plus nombreux projets. C’est à cette époque que Galadriel tomba finalement enceinte de son époux, en profitant de cette douceur de vivre pour porter le plus tranquillement qui soit son enfant. Être mère était un projet qu’elle avait mûrement réfléchi, en se demandant quel genre de parent elle était apte à faire, quelle vie pourrait mener un enfant en ces terres et s’ils seront à même de le protéger. Sa fille vint finalement au monde un doux soir de printemps. Ils décidèrent de la nommer Celebrian. Une petite fille aux cheveux aussi dorés que sa mère et au visage doux comme son père. Sa naissance balaya bien vite les craintes que sa mère ait pu avoir et elle se fit un devoir de l’élever et l’aimer autant qu’elle le pouvait.

Néanmoins, le mal n’avait pas disparu, dans les Terres du Milieu, bien loin de là. Plus décidée que jamais à agir, elle débuta alors une longue et nouvelle campagne pour pousser à plus d’union entre les différentes races, nouer des alliances et étendre leur influence afin de pouvoir obtenir une main plus sûre sur les événements. Partir directement en guerre n’était pas sa première idée, bien qu’elle sache se battre, elle songeait que des alliances solides et la coopération entre tous était plus efficace que laisser chacun partir au combat de son côté. Elle menait ce rôle d’un côté et celui de mère de famille de l’autre. Avoir un second enfant ne lui vint pas à l’idée, prise par ses occupations et surtout par ses inquiétudes vis à vis du futur de ces terres. Sa fille atteint l’âge adulte, protégée en permanence par ses parents, puis avant même que Galadriel ne le réalise vraiment, s’éloigna de leur cocon après avoir fait la rencontre du jeune Elrond. Qu’elle épousa quelques temps plus tard. Une fois leur fille auprès de sa nouvelle famille, Celeborn et Galadriel purent plus voyager et risquer des projets plus compliqués, sans crainte de mettre leur enfant en danger.

Ils firent de nombreux voyages, durant cette période, à l’écoute du mal grandissante n certains lieux, surveillant, préparant des moyens d’espionnage, se liant d’amitié avec les personnes pouvant participer à la lutte. Régulièrement, ils retournaient également après de leurs proches. Avec le bonheur de découvrir leurs premiers petits-enfants, deux petits garçons, des jumeaux. Deux adorables petits Elfes, rejoints plus tard par une jeune sœur. Ils habitèrent de nombreuses années à Imladris, pour profiter de leur famille s’agrandissant, après leurs différentes enquêtes. Par la suite, ils s’établirent en  Lórien, le royaume Elfique laissé sans héritier. Mais ils ne prirent pas de titre royale,  appelés le Seigneur et la Dame de Galadhrim. Cette fois, ce fut une installation plus définitive. Galadriel pressentait que ces lieux pouvaient devenir une forteresse implacable contre les ombres des Terres du Milieu, s’ils étaient bien tenus et dirigés. Elle se fit un devoir d’en faire un havre de paix, une muraille contre les orcs et diverses infectes créatures de Morgoth.

Le départ de sa fille vers l’Ouest, après avoir été blessée par les orcs, fut un coup très dur. Cela lui amena également une forte culpabilité, pour n’avoir pu empêcher cela. Si elle s’en referma plus encore, elle en devint encore plus déterminée que jamais à prendre soin des siens, peu importe les circonstances. D’autant plus qu’après des années plus ou moins calmes – ou du moins, maîtrisées – les guerres et combats semblaient reprendre de plus belle. Les royaumes et Empires Humains se développaient, ceux des Nains se renfermaient sur eux-mêmes, n’échangeant plus qu’à de brèves occasions. Les terres orientales s’agitaient à leur tour et de très grands combats y éclataient.

Elle songeait, pour sa part, ne jamais pouvoir traverser de nouveau cet océan et son cœur saignait à cette seule pensée. Observer cette vaste étendue était à la fois un puissant réconfort et une profonde torture. Elle craignait le jour où tous les autres membres de sa famille quitteront peu à peu les Terres du Milieu, partiront, alors qu’avec son mari, ils demeureront en arrière. Cette crainte, dont elle ne parlait à personne d’autre que Celeborn, lui pesait lourdement sur l’âme. L'océan appelait, la mélancolie renforçait ce désir et pourtant, il était inconcevable et impossible de rêver y céder. Renonçant avec peine, elle poursuivit également ses activités diplomatique, en parallèle de la défense de leur contrée.

Physique : Elle est la plus grande des femmes Elfes, dépassant beaucoup des hommes également. Sa peau a toujours été pâle, au teint pouvant même sembler glacial sous les reflets de la Lune. Son éducation lui a fait adopter une démarche droite, couplée à sa grande fierté, la poussant à ne jamais progresser courbée ou le regard fuyant. Tous comme ses frères, ses cheveux sont d’un blond, presque dorée, brillant, descendant jusqu’à sa taille, parsemée de boucles. Eru ayant offert aux Elfes une beauté et une grâce naturelle, elle a su en jouer et en user lorsque la situation le demandait. Au fil des âges, la paix intérieure affichée et un sourire plus marqué ont disparu, pour laisser place à une expression souvent grave et attentive, avec un sourire plus rare. Lorsqu’elle ne se trouve guère en voyage, elle porte souvent des tenues d’un blanc éclatant, de longues robes semblant si fines, mais simples.

Caractère : Depuis l’âge tendre, Galadriel a toujours été une personne très fière. Élevée dans une haute famille Noldor et disposant de l’attention de ses parents comme de ses frères, elle grandit dans un environnement protégé et toujours, à cette époque-là, béni et protecteur. Consciente de ses origines amis aussi des forces naturelles dont elle a été gratifiée lors de sa naissance, elle développe cette fierté, commune à bien des membres de la maison Finwë. Cependant, cette fierté était également contrebalancée par la vénération éprouvée pour les Valar, cette fois issue de ses origines Vanyar. Bien qu’heureuse et vivant au cœur d’une très grande famille, les frontières de Valinor lui semblaient étroites, allumant en elle un désir de plus grands espaces et de quête de pouvoir.

Sa soif d’apprendre a été présente également très jeune, à l’instar de son oncle, bien qu’elle n’y mette pas la même passion malsaine. Elle apprit auprès des plus grands, à Valinor comme sur les Terres du Milieu. Son désir de connaissances en la quitta plus jamais par la suite. Des savoirs classiques, tout comme des savoirs plus étranges. Ainsi que la recherche de savoir sur le passé et même le futur. Elle développa ses pouvoirs pour y parvenir, acquérant dans le même temps la conscience du danger et donc le devoir de prudence. Les pouvoirs peu à peu obtenus devaient être maniés avec une infinie précaution, afin de ne pas laisser son esprit se corrompre et devenir aussi malsain que d’autres. Elle y prit garde sa vie entière, bien que son existence fût secouée par de nombreuses tentations.

Elle considère sa famille comme son bien le plus précieux et a toujours eu très à cœur de la protéger et de la préserver, envers et contre-tout. Même si elle n’approuve pas les choix ou décisions de tous, elle ne combat les siens qu’en cas de profonde urgence et ce cas ne s’est produit qu’une seule fois, lors d’Alqualondë. Depuis ce drame, elle évite les tensions familiales les plus graves, s’efforce de les régler lorsqu’elle le peut et lorsque ce n’est pas possible, ne reste simplement plus sur le chemin. Même depuis que sa famille s’est considérablement réduite, elle continue de veiller sur les siens encore restants. Sa fille, puis ses petits-enfants, ses arrière-petits-enfants, tous peuvent compter sur son soutien inconditionnel.

Femme Noble de cœur et d’esprit, sa longue existence très marquée lui a apporté un regard dépourvu de toute naïveté sur le monde. Elle porte ses fardeaux seule, refusant autant par fierté que par tabou personnel de les partager à d’autres. Hormis, parfois, à son époux. Elle considère que les siens n’ont pas à les subir ni simplement à les connaître.

Aptitudes : Son éducation, durant sa jeunesse, lui a permis d’acquérir des compétences en écriture, lecture, chant, danse… Ses apprentissages de jeunesse se devaient d’être à la hauteur du rang de sa famille. Elle apprit en bonne partie avec sa famille mais eut également quelques précepteurs, pour pousser plus loin, notamment dans certains domaines d’arts ou plus sportifs. Elle aimait participer à des compétions, son tempérament la poussant à se mesurer à ses frères puis à d’autres Eldar. Les années en Valinor furent l’occasion de se développer dans plusieurs domaines de compétence assez variés et de découvrir les prémices de la magie, auprès des Valar.

Bien qu’elle soit capable de combattre lorsque le besoin se fait sentir, elle éprouve plus de penchants pour la magie, dont elle a souhaité se former. D’abord sur Valinor, ensuite principalement après de Melian, pour finir par s’exercer seule, durant le reste de sa vie. Elle y trouve autant de réconfort qu’une nouvelle prudence. Mais elle ne fait pas étalage de ses pouvoirs, s’en servant avant tout pour protéger les siens et pour des circonstances très particulières. Sa propre famille reste dans le flou, quant à l’étendue exacte de ses dons. Son domaine de prédilection est le jeu de l’esprit, pour préserver le sien, lire celui des autres et ainsi savoir vers qui se tourner ou qui rejeter. Elle peut communiquer mentalement sur de longues distances. Néanmoins, l’âge et la découverte de nouvelles connaissance lui ont fait prendre conscience des lourds enjeux y étant liés et elle craint d’utiliser pleinement toute l’étendue de ses dons. Par peur de la corruption possible ou de s’aventurer trop loin et se perdre elle-même.

L’âge et les épreuves vécues l’ont éloignée, au fil du temps, de la compréhension qu’elle parvenait à établir facilement avec d’autres races ou peuples. Elle ne se lie plus aisément d’amitié avec les Hommes et ne comprend plus aussi bien les aspirations des Nains, bien que certains membres de ces deux races parviennent encore à la toucher. Il en est de même pour certains problèmes du monde ou des soucis plus infimes, elle a du mal à les considérer à leur juste valeur ou à les considérer tout court. Les siècles passés ont joué un très grand rôle dans ce détachement inéluctable, la rendant aux yeux d’étrangers froide et insensible. Il lui est devenu difficile de comprendre pourquoi les « petits problèmes » bouleversent tant la vie des personnes autour d’elle. Ou encore de percevoir le potentiel des uns ou des autres avec facilité.
Prénom ou Pseudo : Lora
Âge : 30 ans
Commentaire : 3ème compte


Dernière édition par Galadriel le Lun 2 Jan 2023 - 13:34, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Astriel Nirokini
La Danse-Lame
Astriel Nirokini
Nombre de messages : 507

Feuille de personnage
Race: Elfe Vanyar
Possessions:
Statut: Joueur(se) actif(ve)
Infos fermées
MessageSujet: Re: Galadriel, maj   Galadriel, maj EmptyLun 2 Jan 2023 - 8:45


[ FICHE VALIDÉE ]


Je t'invite à visiter la partie Demandes de RP si tu n'as pas déjà trouvé de partenaire RP. Et n'oublie pas de faire une demande d'inscription à ton groupe raciale.

Bon jeu.
Revenir en haut Aller en bas
https://rpglordoftherings.forumactif.com/t7470-astriel-nirokini-
 
Galadriel, maj
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Chroniques d'Arda :: Les Lois d'Arda :: Création du Personnage :: Les Fiches :: Fiches acceptées-
Sauter vers: