Chroniques d'Arda
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Araekin le Magicien 232342Grandebannire



 
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 Araekin le Magicien

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Araekin Nirokini
Le Mage Gris

Araekin Nirokini
Nombre de messages : 686

Feuille de personnage
Race: Elfe Vanya, demi-maia
Possessions: K'riktelenya, la faux des étoiles / Gil-vaima, la tenue enroulé d'étoiles / un arc composite d'Erebor
Statut: Joueur(se) actif(ve)
Infos fermées
MessageSujet: Araekin le Magicien   Araekin le Magicien EmptyDim 15 Jan 2023 - 21:42

ARAEKIN TULÑALATAIRË HARYONÑOLË NIROKINI
ft. personnage de série / artiste

Âge : Né en 1140 de l'année des arbres soit 10.534 année solaire
Race : Elfe vanyar au sang-mêlé maïa
Etat civil : Célibataire
Métier / Titre : Prince de tous les elfes, Prince des Vanya, Seigneur de la maison des deux arbres, Magicien itinérant

Carnation : Teint clair légèrement doré
Taille : Deux mètre passé
Corpulence : Musclé et élancé
Cheveux : Long et frisé, de couleur brun aux reflets doré et clairsemé de mèche couleur or
Yeux : Doré
Signe(s) distinctif(s) : Dispose d'une longue barbe caractéristisque des elfes entré dans le troisième cycle
Calme
Aventureux
Courageux
Mystique
Altruiste
Persévérant
Extravagant
Epicurien
Sociable
Charismatique
Curieux
Sage
Histoire :

Je vis le jour en d'anciens éons, oubliés par presque tous ceux qui foulent du pied Arda, en un lieu que peu aujourd'hui ait jamais foulé. Très peu parviennent a cumuler les deux en ce jour sur Arda et aucun qui soit plus vieux que moi.
Je suis né en Aman, sur la terre sainte des Ainur, mon clan, les Minyar était les plus empressés de voir la terre de Lumière sur laquelle ils avaient été invités par les Valar eux-mêmes, ils devinrent connus sous le nom de Banyai en ancien parlé elfique, puis plus simplement Vanyar.
Mon père était Ingwë, roi des Vanyar, descendant d'Imin fondateur du clan des Minyar, mon arrière-arrière-arrière-grand-père. Mon peuple arriva en Valinor en 1133 de l'année des arbres et mon peuple était le préféré des Valar parmi tous les eldar et aussi le plus proche des ainur. Mon père devint rapidement le préféré de Manwë qui lui donna le titre de Haut roi des elfes, mais surtout il rencontra la personne qui deviendrait ma mère à cette époque, alors que les fondations de la ville de Tirion prenaient forme.
Ma mère elle, était la puissante maïa Ilmarë, chef de maïa et servante de Varda, je n'étais pas née à cette époque, mais on m'a raconté que leur rencontre fut d'une grande intensité et que les étoiles même dansaient autour d'eux.

Je vint donc à naître en 1140 de l'année des arbres, je naquis à l'heure des arbres où leur lumière s'entremêlaient dans un somptueux ballet de lumière. Ma mère, accoucha sur la colline d'Ezellohar entre les deux arbres, un événement d'une grande importance en Valinor, car je n'étais pas un enfant ordinaire, j'étais le premier enfant à naître en Valinor depuis l'arrivé des elfes en ce lieu. Plus encore, j'étais accompagné d'une sœur, nous étions jumeaux un fait très rare au sein des elfes, couplé a cela que nous étions les enfants d'Ingwë et Ilmarë, nombreux étaient ceux qui souhaitait s'enquérir de notre santé.
Je reçus ainsi l'essë de Minyanon de mon père, signifiant "Premier fils" et de ma mère l'amilessë apacenyë de Tulñalatairë, soit "Porteur de Lumière" en langue commune.
Nous étions inséparable avec ma sœur, nous étions toujours ensemble même si nous ne faisions pas les mêmes choses. Toujours coller l'un à l'autre lorsque nous dansions et jouions de la musique, ou lorsque nous traversions les terres d'Aman. Nous nous étions donné mutuellement le Kilmessë de Onónu, la forme duale du terme "jumeaux" en Quenya, il était très rare qu'un Kilmessë soit choisi si tôt dans la vie d'un elda et plus encore qu'il soit commun à deux personnes, mais tel était la force de notre lien.

Nous avions eu de nombreux mentors enfant, tant eldar que maïar, car en Valinor, nos deux races marchaient côte à côte, liées pour toujours à ce monde. Nous avions notamment eu comme précepteur les Cinq Gardiens, de nobles maïar ayant protégé mes ancêtres durant la traversée d'Arda pour atteindre Valinor. D'eux cinq, j'étais très proche d'Olorin, un maïa de Manwë et Varda qui fut mon mentor et qui me parla de leur chef la maïa Melian qui ne revint pas en Valinor, mais resta sur le vieux continent.

J'étais un être curieux de nature, féru de connaissance et de savoir, j'apprenais tout ce qui était possible en Valinor et notamment les arts ayant l'attrait au mysticisme, à ce que les jeunes races appelleraient magie, mais qui pour moi était un quotidien. Ma mère me raconta aussi, les temps anciens des deux lampes et comment Melkor avait été vaincus avant l'âge des arbres puis à nouveau avant le départ des eldar. De cette curiosité presque maladive, je reçus enfin mon epessë, celui de Haryonñolë le "Prince du savoir secret". C'est à cette époque que je commençais à me faire appeler Araekin Nirokini, la forme valarin de mes essë Minyanon Onónu, car j'étais un grand adepte du Valarin que j'avais appris et que j'utilisais couramment auprès des Ainur.

Durant mes jeunes jours, j'aimais aller dans la forêt de Lorien, la demeure du Vala Irmo dont je me sentais le plus proche, avec ma sœur, nous nous amusions à parcourir ces bois, chantant, dansant et charmant de notre musique ses habitants comme de petits lutins furibonds. C'est dans ces bois enchanté, que je fis la rencontre d'un grand cerf blanc, je parvint a le retrouver plusieurs fois et à discuter avec lui, lui donnant son nom d'Alcarìna "couronné de gloire". Il était un animal, mais un animal des jours anciens bénis des Valar comme l'ont été Nahar, Huan ou les grands aigles, il devint mon ami et éternel compagnon de route, car après cela, il devint mon ami et ma monture.
Sur son dos, je parcourrais les plaines de Valinor au côté de ma sœur et il était sans peur, car il m'accompagna à travers les eaux, jusqu'à la Porte de la Nuit ou encore sur les pentes escarpées des montagnes du Pélori, et même jusque sur le pergélisol de l'Helcaraxë. Je ne traversais néanmoins jamais ces glaciers, souhaitant être prêt pour une telle aventure, car les eldar ne craignaient pas le froid, mais celui de l'Helcaraxë était sûrement le plus grand froid d'Arda après celui du grand Nord où Melkor avait établis sa forteresse noire.

Je coulais des jours heureux au côté de ma famille en Aman, la vie était une fête éternelle, plus encore lorsque ma tante Indis se maria à Finwë et agrandit notre maison de plus d'âmes.
Mais cela ne pouvait être éternel hélas, Melkor fut libéré et commença discrètement à semer le trouble dans la vie des eldar, attisant le feu de Fëannor à l'encontre de ses demi-frères, mes cousins, qu'ils considéraient comme une insulte à sa défunte mère.
Tout vint à se concrétiser lorsque Melkor, aidé d'une ombre invisible qui était l'étrange être nommé Ungoliant, vint sur la colline de ma naissance et y détruisit les deux arbres. La lumière quitta ce monde alors, les silmarils, seuls reliquats de leur lumière étant caché entre les mains de Melkor qui devint alors Morgoth.

Mon monde venait de s'écrouler, tout ce que j'avais jamais connue commençait à se disloquer et les ñoldor même commencèrent à se liguer sous leur nouveau haut-roi, Fëannor pour venger Finwë et récupérer les Silmarils, même ceux qui étaient mes cousins et leurs enfants vinrent à le suivre malgré ses actions peu recommandables.
Mon monde s'écroula une seconde fois lorsque j'appris le massacre d'Aqualondë et comment les ñoldor avaient sauvagement massacré nos frères eldar !
Fëannor avait refusé d'offrir les silmarils aux Valar pour restaurer les arbres, il avait menacé mon cousin Fingolfin et maintenant, il avait massacré nos frères Teleri ! Il était la honte du peuple eldar et une honte personnelle pour moi d'être lié à lui, même alors que nous ne partagions aucun sang en commun, il était le beau-fils de ma tante.

Les ñoldor qui partirent furent maudit par Mandos a ne jamais revenir en Valinor tant qu'ils ne seraient pas racheté et je participais à la reconstruction des cités détruites.
Mais un désir de revanche était né dans mon cœur, je parvins à convaincre quelques Teleri fidèles à construire pour moi d'immenses navires, trois pour être précis qui était officiellement, un symbole du grand-oeuvre des Teleri en matière de construction navale. Ils étaient en réalité mon futur moyen de rejoindre le Beleriand, récupéré les Silmarils et restauré la grandeur d'Aman !
Ces navires furent nommés Harmaluntë mes "Navire-trésor" et appareillés pour partir, cachant leur vrai but à tous, sauf ma sœur que je tentais de convaincre en vint à me suivre. Mais elle refusa, ce n'était pas la volonté des Valar et elle aimait sa vie calme en Valinor, elle tenta quant à elle de me faire rester, là aussi en vint. Elle accepta néanmoins de cacher à ma mère et à mon père mon départ.

Ce fut seulement cinq ans après le massacre d'Alqualondë, en 1500 que les navires furent prêt, là le soleil et la lune se levèrent pour la première fois dans les cieux d'Aman, je fus émerveillé de ce spectacle, mais je devais partir !
Profitant alors de l'émerveillement des eldar et des ainur, j'entrepris avec des eldar fidèles a ma cause, principalement des Teleri et des eldar qui comme moi étaient natif d'Aman et n'avaient jamais observé le nouveau continent.
Mes navires prirent le large, faisant passé ce départ pour un simple voyage près d'Aman, alors qu'il s'agissait là d'une mission plus grande et noble !


Le Premier Âge


Je traversais l'océan sur mes navires, profitant de leur armature solide et de leur grande taille pour n'avoir aucun besoin de retourner à la terre ferme. Beaucoup de ceux qui n'étaient pas des Teleri, néanmoins, en vinrent à regretter la terre, ses grandes plaines, ses forêts et ses montagnes. Je ressentais quelque peu ceci moi-même, mais le jeu en valait la chandelle !
Nous accostions alors sur les côtes des Falas, là nous avons été accueillis par les cousins des Teleri d'Aman, étonné de voir des eldar revenir des terres immortels jusqu'ici !

Je cachais néanmoins la raison de notre retour, ou plutôt, je cachais les actes honteux de la maison de Fëannor, ne souhaitant pas attirer la méprise des Teleri sur tous les Ñoldor et, car je ne savais comment annoncer un tel événement à ceux resté en Beleriand.
La, je rencontrais Cirdan le charpentier, seigneur des Falas qui me donna une escorte jusqu'à Thingol, grand roi des elfes de Doriath et des Teleri du Beleriand, plusieurs de mes hommes restèrent derrière pour profiter de la terre et de leurs lointains cousins.
Bien sûr, j'aurais pu faire jouer mon statut de haut-prince des elfes, leur demander de m'être loyal et d'obéir à mes ordres, mais j'étais sur une terre que je ne connaissais pas, dirigé par un roi aussi vieux et sage que mon père, celui qui fut le dirigeant des Tatyar avant qu'ils ne soient divisé par sa disparation. Il aurait été malavisé d'agir ainsi en plus de me faire passer pour un petit prince gâté. Mais pour autant, j'étais bien leur prince à tous, même à lui.

Je parvins devant lui, rencontrant alors sa femme Melian, avec qui je sympathisais, lui donnant le nom de ma mère et lui rappelant au souvenir des gardiens maïar qui l'accompagnèrent par le passé au côté des eldar. Toujours, je cachais à Thingol le massacre d'Alqualondë, cet événement provoquait toujours en moi un profond mépris et une grande colère et je n'osais pas imaginer les conséquences si Thingol l'apprenait. Peut-être qu'une guerre éclaterait entre Teleri et Ñoldor et je ne souhaitais aucunement cela ...

Je prit donc congé de Thingol et Melian, quittant la somptueuse cité troglodyte de Mennegroth pour retrouver les Ñoldor aperçut au nord-ouest du Beleriand.
Je parvins à les retrouver à leur camp près du lac de Mithrim, beaucoup avaient péris en traversant l'Helcaraxë et encore avant ceux de Fêannor avaient péris durant la première de leur guerre, Fëannor lui-même était mort et son ainé, Maedhros fut emprisonné par l'ennemi. Emprisonné, mais bientôt secourus aussi par nul autre que mon cousin Fingon et Thorondor le roi des grands aigles !
Maedhros semblait être plus sage que feu son père et refusa le titre de Haut-roi des ñoldor en exil, le passant à mon cousin Fingolfin et pour éviter les tensions entre ses suivants et ses frères et leur belle-famille, ils partirent s'établir dans l'est du Beleriand, laissant l'ouest à ceux de ma famille.

Je me suis rapidement alors rapproché de mon petit-cousin Turgon, il m'était très proche en Valinor, plus encore lorsqu'il choisit une femme de mon clan dont j'appris la disparition lors de la traversé de l'Helcaraxë et j'eus une grande peine pour lui. Je restais ainsi en Nevrast à Vinyamar pour veiller sur les ñoldor, tentant autant que possible d'inviter Thingol à aider lors de la guerre contre Morgoth, en vint.
Puis vint enfin la guerre de Dagor Aglareb, une guerre se soldant en une victoire complète et écrasante des nôtres et je me sentais complètement invincible, certains hélas avait périt et nous leur rendions hommage, mais il n'y avait plus rien de nos ennemis !

Turgon en vint alors quatre ans plus tard à me parler d'une vision qu'Ulmo lui avait donné et comment il avait découvert une passe secrète. Il m'enjoignit à le suivre, ce que je fis et il débuta la construction de Gondolin, la cité cachée des ñoldor.
Turgon m'offrit alors une maison noble à dirigé dans cette cité, je la nommais la maison des Deux Arbres en l'honneur des arbres de Valinor et elle fut rejoint par quelques eldar nobles de cœur et fidèle à mon nom. Ortaminassë, le grand architecte de Gondolin et de Vinyamar, devint mon intendant et ami à cette époque et j'avais bien besoin d'un intendant pour ma maison. J'étais incapable de tenir en place face à tant de mystère sur ces terres, coincé en Tumladen, je ne pouvais rien voir, Turgon voulait m'interdire de partir bien sûr, mais j'étais son haut-prince et lui seulement un roi, et j'étais aussi son aîné, il n'avait pas d'ordre à me donner.

Je partis donc pour les montagnes bleues, là où des décennies auparavant, j'avais appris qu'il y avait des villes construites par les nains, les enfants d'Aulë. Je ne les avais jamais vus encore, seulement apperçut leur travail somptueux a Menegroth et je voulais les rencontrer !
Je les trouvais au premier abord étrange, si petit, si barbu et si trapu ... Mais je ne put qu'admirer leur travail, leur taille de la pierre, leurs orfèvres et forgerons. Rien n'avait de style elfique chez eux et pourtant, il dépassait de loin tout ce que les ñoldor n'avait jamais fait, hormis pour Fëannor.
Je restais un long moment auprès d'eux, apprenant comment leur père se son éveillé à Dolmed et comment ils sont fondés leurs cités jumelles. Je me montrais courtois et tentais subtilement d'en faire des alliés et vassaux, souhaitant ajoutés la régence des nains à la couronne de mon père et liés les enfants d'Eru, même ceux adoptés, sous une bannière. J'appris d'eux leur langue qui avait un lien fort avec le valarin et son apprentissage me fut aisé au grand étonnement des nains qui n'avaient jamais vue d'eldar ayant autant de facilité avec leur parler.
C'est là que je rencontrais Eöl, l'elfe noir de Brethil, me considérant avec dédain au début me prenant pour un ñoldor, je lui fis comprendre qu'il n'en était rien. Finalement, apprenant mon lien avec ceux des teleri étant arrivé et partageant tout deux une forte amitié avec les nains et un dédain pour la majorité des ñoldor nous finîmes par nous lier d'amitié.

Les années de paix furent d'un grand calme, seulement bousculé lorsque Thingol apprit pour Alqualondë et je vins m'excuser auprès de lui de ne pas lui avoir mentionné moi-même ce fait, mais il n'était pas à moi de lui en parler et lui avouais avec franchise que je ne savais comment lui annoncer un événement si tragique tout en ayant la crainte des répercussions sur les ñoldor innocent qui étaient arrivé en Beleriand.
Je finis par rencontrer après les premiers hommes du Beleriand, ce ne furent pas ceux de Bëor ou de Hador comme pour beaucoup, mais les Haladin, ceux de la maison de Haleth et leurs amis Drug que je prit au début, pour une sorte de nains des collines ou des forêt à cause de leur petite taille et leurs habitations troglodytes.
Je rencontrais bien sûr les autres maisons, même celles des hommes de l'est de Bor et Ulfang, mais les edains, ceux dont j'étais le plus proche étaient et demeuraient le peuple de Haleth et les Drug dont je maîtrisais la langue presque secrète tant ils étaient discrets sur leurs coutumes.
Ce fut durant cette paix que je découvris aussi que l'alliance d'Ungoliant et Morgoth avait pris fin et sans doute brutalement. Car ses descendantes de Nan Dungortheb s'attaquaient à tout, même aux cohortes orques de Morgoth et bien que je haïssais leur matrone, je finis par tenter de leur trouver une utilité.
Secrètement, je conclus quelques arrangements si et là, capturant des araignées au lieu de les tués et en leur offrant de la nourriture si elles demeuraient à certains cols stratégiques pour moi. Et bien qu'elles préféraient la nourriture vivante, leur nombre et la qualité de ce que les elfes pouvaient apporter permit à ces alliances de fortunes de se maintenir si et là. Je les gardais secrets, bien sûr, connus de seuls quelques-uns de mes gens, des personnes de confiance, car les autres eldar trouveraient sûrement répugnant ce partenariat et c'est pour cette raison que nous apportions de la nourriture marchandée chez les hommes ou dans les Falas.

En 400, enfin, je fus invité à un grand banquet chez les nains en compagnie de mon ami Eol, j'avais longuement revu ce dernier ces quelques siècles, et même rencontré son jeune fils Maeglin, je fus étonné de ne pas le voir à ce banquet, mais Eol sembla évité la question. Lorsqu'il fut terminé, je partis de nouveau pour Gondolin et quel ne fut pas ma surprise quelques jours après mon retour d'y retrouver Aredhel la sueur disparus de Turgon et Maeglin, le fils d'Eol se présentant comme le fils de ma petite-cousine. Je comprenais alors mieux pourquoi Maeglin portait sur lui la lumière de Valinor propre à ceux y ayant vécus et leurs descendants et aussi pourquoi quelque chose chez lui m'était si familier.
Eol s'en était revenus du même banquet que moi et il était certain qu'il n'avait pas eut le temps de retourner chez lui à Nan Elmoth avant leur départ. Il devait donc être désormais terriblement triste et seul ... mais pourquoi retenir sa femme, ma petite cousine en otage si elle l'aimait ? Eöl était mon ami, je ne comprenais pas son geste, ses gestes ... mais il devint clair au fur et à mesure qu'il était bien plus sombre que la nuit, bien plus ténébreux que le ciel étoilé.

Je prit alors sur moi d'aider Aredhel à éduqué Maeglin qui était déjà un presque adulte certes, mais je me sentais le besoin et la mission de le faire, en honneur à mon amitié avec son père et car je le connaissais plus que n'importe quel noldor de Gondolin, excepté Aredhel.

Le temps passa ensuite et de nombreuses choses se passèrent en Beleriand, comme le noble sacrifice de Beren et Luthien ou encore la mort du terrible Glaurung, premier des grands vers de Morgoth. Mais la guerre s'enlisa et s'envenima, tout devint terrible et nos armées se confrontaient sans cesse, jusqu'à ce qu'Earendil se décide à prendre la mer comme le fit son père.
Si je devais mourir, alors je les protégerais tous désormais et je tomberais avec eux si jamais nous devions périr !

Il revint avec un ost mené par Eonwë, chef des maiar et composé de maiar certes, mais surtout de nombres d'eldar, dont mon jeune frère Ingwion, mais surtout ma bien-aimé soeur.
Nos troupes se rallièrent alors toutes et une armée plus grande que ce que Morgoth n'avait jamais vue auparavant se leva contre lui ! Des eldar, des edain, des naugrims, des onodrims, des grands aigles et des maiar, unis dans l'adversité contre le noir ennemi !

La guerre fut alors encore plus terrible que jamais, des dragons ailés sortir d'Angband alors que je combattais depuis les cieux sur le dos de Tarcorco, un grand aigle et un de mes amis rencontré aux Crassaegrim près de Gondolin. Jamais une guerre ne fut si longue, en tout cas, de mémoire d'eldar.
Je devins le protecteur de nombreuses armées et je menais notamment des forces de Gondolin sous ma bannière !
J'étais là, avec Eärendil et Thorondor, lorsqu'Ancalagon fut vaincus son corps s'écrasa derrière les montagnes de fer de Morgoth, sous son poids immense, le mondes se déchira, le sol trembla comme jamais il n'avait tremblé. Des terres furent ravagé par le cataclysme et cela provoqua en partis l'assèchement de la grande mer d'Helcar.
Suite à cela, les armées vaincus de Morgoth disparurent dans les profondeurs, mais l'ost ne les poursuivis pas, incapable de pénétré leurs tunnels et leurs ténèbres. Il s'en retourna donc en Valinor, Sauron, le noir serviteur de Morgoth avait lui fuit dans l'est profond et Morgoth avait disparus avant la fin de la guerre, s'enfermant loin au nord d'Arda, loin de tout et de tous.


Deuxième Age


Lorsque le deuxième âge débuta, il fut offert aux semi-elfes de choisir leur destin et s'ils désiraient l'immortalité des elfes ou le cadeau des hommes et il fut offert aux hommes des Edain, ceux ayant combattu aux côtés des elfes et des maiar une vie plus longue et belle et un nouveau pays, l'île de Numenor.
Quant à moi, je désirais revoir Valinor, mais je ne voulais pas délaisser le reste d'Arda, je suis donc repartis pour mes terres natales ancestrales, mais pas sans un certain invité. Maeglin m'accompagnait, celui que j'aimais et avait éduqué comme un fils. Il était né en Beleriand, mais fut bercé de contes et de légendes sur la terre de ses ancêtres noldor, alors il était naturel que je l'emmène en ma compagnie en ces lieux.
Nous avons passé un long moment ensemble au coté de ma famille et je lui montrai la joi et l'allégresse de ces terres non souillé, exempt de toute corruption et de tous mal. Maeglin se rapprocha notamment de la maison d'Aulë dont tous les noldor était proche, mais il avait une particularité qui ravis le Vala tout comme moi, car tout deux parlions le Khuzdul, cette langue inventé par Aulë lui-même pour ses fils et nous lui comptions les merveilles de ses enfants que nous appelions nos frères. Car bien qu'ils ne soient que les enfants adopté d'Iluvatar, pour nous deux, il n'y avait pas de différence de parenté entre eux et les edains.

C'est durant ce long séjour en valinor que Maeglin, sous la tutelle de quelques maïa d'Aulë, conçus pour moi une armure plus belle que toute autre. Gil-vaima était son nom en quenya, la "tenue enroulé d'étoiles", car elle fut conçus ici même à Valinor en usant du mihtril de nos terres sacrés, mais aussi du galvorn dont Maeglin connaissait le secret. Elle fut nommé ainsi car l'armure était d'un noir d'obsidienne comme le ciel d'Arda lors d'une sombre nuit, mais l'influence du mithril et de l'ithildin utilisé pour la concevoir lui donnait cet apsect étrange, percé et constellé de tâches blanches, semblant parfois disparaitre et réapparaitre, parfois semblant même bougé sur les plaques métallique, comme les étoiles sur le firmament. L'ihtildin fut utilisé pour ces décorations étoilé et lorsque la lune brillait sur cette armure, ou au désir de ma seule volonté, les semblants d'étoiles, minuscules tâches d'argent sur ma cuirasse, brillaient d'un éclat bleu et argent, des traits se dessinait même alors entre certaines, formant des constellations.
Mon heaume lui-même fut redécoré pour l'occasion, recopiant la façon des nains, de nombreux dragons modelé sur mon casque, en haut-relief et parfois entièrement scultpé, ceux que j'avais vue et combattus durant la guerre de la Grande Colère. Il fut fait du même alliage et je le portai fièrement comme un rappel des atrocités dont je fus témoins et de ceux qui y ont perdus la vie pour qu'Arda demeure libre de Morgoth.

Le second âge vit aussi mon entrée prématurée dans le troisième cycle des elfes, ce que l'on pourrait assimiler chez les humains à un "statut vénérable", parler de vieillesse serait incongrue pour notre genre, et même cet état de vénérable est tout aussi aléatoire tant l'entrée dans le troisième cycle est lente et normalement longue. Mais dans mon cas, les affres de la guerre et la détresse que j'y ai ressentis ont accéléré ce processus, un peu comme ce fut le cas pour le roi Thingol d'antan.
Je vis ainsi une barbe poussée à mon menton qui vint à s'étendre sur toute ma mâchoire, j'étais devenu barbu à seulement aux abords de mes 4.050 ans environ, quand même des seigeurs elfes ayant participé à la grande marche de Valinor n'avait toujours pas un poil au menton. Je dus me résoudre maladroitement à demander conseil aux nains un jour où je me rendis à Khazad-Dûm, un moment très drôle et ironique, un elfe demandant des conseils de barbes à un nain !

Lorsque je revint en Arda, je partis explorer le reste de ce monde plus en détail, maintenant que le monde était en paix. D'abord, j'explorais l'est lointain ! Le dernier désert, les montagnes rouges demeurent des quatre autres clans nains ! Les abords de ce qui fut le Cuiviénen désormais asséché, les avari y vivant encore et qu'il fut difficile d'approcher néanmoins. Puis après le sud, les montagnes grises du Harad, les montagnes jaunes des Terres sombres.
Rien d'Arda ne me fut inconnu à cette époque ! Des terres sombres au sud-ouest, les murs entourant le monde, et même les terres du soleil et la Porte du Matin.

Tous ces voyages, je ne les faisais bien sûr pas d'une traite et j'étais toujours accompagné lors de mes voyages maritimes d'Hirlunt, mon fidèle capitaine Teleri depuis mon départ de Valinor ! Et bien sûr, je rentrais à Minit Minassë, le plus souvent possible pour y vivre ses grandes fêtes qui transformaient le calme de la ville musée en une somptueuse place de joie, de lumière et de rires.

Puis, le temps passa de nouveau, les numénoréens justes devinrent fier et arrogant, répudiant leur parenté aux elfes et notre amitié. Cela devint rapidement une escalade incontrôlable, jusqu'à ce que nous ne soyons plus permit d'entrer sur la terre de Numenor et aucun roi Numénoréen ne revint plus à Minti Minassë.
Finalement, celui qui devint Ar-pharazon mena l'armée numénoréenne au Mordor, vain à battre Sauron et en faire son prisonnier et finalement devenir son pion dans la chute de Numenor ...
Elendil et ses fils créèrent les royaumes d'Arnor et de Gondor et un nouvel âge s'établit en Terre du Milieu, un temps de paix qui hélas, comme tous les autres, ne fura qu'un temps.


Troisième Age


Lors de ce qui devint le troisième âge, Arda redevint calme, quoique parsemé de conflit ça et là.
L'an 1000 vit l'arrivé de mes anciens amis et mentor de Valinor, appelé aujourd'hui Istari et que j'essayais d'aider du mieux que je le pouvais dans ce monde qu'ils n'avaient pas revus depuis son changement, depuis la chute du Beleriand et le refaçonnage opérer par Iluvatar.

Par la suite, l'Arnor, dirigé par les descendants d'Isildur se scinda en trois royaumes avant de succomber à une guerre fratricide et fut brisé, transformé en trois royaume que sont le Rhudaur, le Cardolan et l'Arthedain.
Je pourrais encore raconter, comment un Balrog s'est éveillé dans Khazad-Dûm, condamnant à l'oubli la cité naine et son précieux mithril. Comment le dernier des grand dragon, Smaug prit Erebor avant de mourir à son tour et de rendre aux nains leur cité.

Avec le temps et l'éloignement de Valinor, mes anciens désirs ont commencé à refaire surface et mon envie de réunir les enfants d'Iluvatar sous une seule bannière aussi. Je me suis fait de nombreux noms, de nombreux amis, de nombreux ennemis aussi et cela me servira sûrement si je dois un jour revendiquer un rôle de premier plan ... Peut-être est-il temps que je reprenne en main mon titre de Haut-prince des elfes ...
Mais à quoi bon raconté une histoire qui n'est pas encore terminé ? L'avenir est devant nous.

Physique :

Lorsqu'il était jeune, Araekin était un être hautain et fier, tous les elfes étaient pour lui ses sujets, car son père était leur roi et, car sa mère était une des chefs des maiar, cela était légitime d'attendre du monde tout ce qu'il désirait. Il était bien sûr aimable et souriant, enjoué et toujours prêt à aider ou festoyer, mais cela ne l'empêchait pas d'attendre des autres une obéissance absolue, car c'était lui leur prince !

La première chose que les gens remarquent chez Araekin, c'est sa taille, deux mètres au bas mot, faisant de lui l'un des plus grands elfes d'Arda. Une taille soutenue par une posture princière qui, quoiqu'elle fusse orgueilleuse dans sa jeunesse, est aujourd'hui la posture d'un seigneur calme et posé.
Mais, pour un elda, ce qui choc, surtout, n'est pas sa taille, mais ses cheveux, il a hérité de son père de long cheveux frisé qu'il tient la majorité du temps détaché et libre de tombé le long de son dos ou bien sur ses épaules jusqu'en dessous de son torse. Mais surtout, ces derniers sont bruns, une couleur étonnante sachant que tous les elfes vanyar sont blond, cela, il dit le tenir de sa mère et fait donc de lui une petite étrangeté dans son propre peuple. Néanmoins, Araekin n'est plus le jeune elfe qu'il fut, confronté aux effrois de la guerre et à son grand âge, il fait partie des quelques elfes de le Terre du Milieu à avoir pénétré dans le troisième cycle des elfes.
Ses longs cheveux bruns ont fini par se décolorer avec le temps, comme ceux de certains hommes lorsque la vieillesse les gagne, mais il est un vanyar et l'age ne l'a pas rendus plus vieux, mais plus beau certains diront. Ses longs cheveux sont, en effet, percés de longues mèches dorées rappelant au monde son héritage vanyar. Son entrée dans le troisième cycle lui vit aussi agrémenté son visage d'une barbe qu'il désirait garder longue et fournit se coiffant "à la mode des nains", comme il aime à le dire. Cette dernière brune comme ses cheveux est percé de mèches dorées et agrémentées de quelques ornements au style nain indéniable.

Son visage, ainsi, n'aurait peut-être rien d'elfique, ses oreilles pointues, dissimulé par ses cheveux et sa longues barbes étant un atout pour se cacher dans les peuples mortels, mais ses cheveux d'or ne sont pas, quant à eux, un joyaux de discrétion. Son visage quant à lui, exempt d'imperfection et encadré de son immense chevelure est toujours agrémenté d'un grand sourire, car Araekin, malgré les choses terribles qu'il eut vue et vécus, parvint a conserver la joie des premiers-nés de Valinor et à la partager au monde.
Enfin, ce visage est percé de deux yeux envoûtant, ressemblant à deux billes d'or que l'on aurait incrusté dans cette statue de marbre, comme si rien n'était réel chez ce personnage.

En termes de tenue, Araekin possède un large panel en sa nature de prince et seigneur elfe. Il s'habille le plus souvent d'hithlain teint, arborant des tenues de bleus et d'or mêlant à la fois les styles elfiques et nains dont il est très proche. Ces tenues sont dignes d'un prince Vanyar et sont des plus somptueuses, tissées avec d'anciens savoirs ne s'abîmant, ni ne se salissant jamais.
Mais il possède aussi quelques tenues plus simples, qu'il utilise lors de ses traversées d'Arda, se faisant alors passé pour un quelconque ermite, s'enveloppant d'une cape d'hithlain et portant sur sa tête un grand chapeau pointue bleu, rappelant à beaucoup son mentor et ami Gandalf.
Au combat, il porte une armure noir au reflet bleu nuit, rappelant le ciel nocturne, parsemé de points d'argent brillant qui semblait parfois se mouvoir ou disparaitre comme pour reflété le ciel. Forgé dans un style elfique, mais usant de savoir faire nain, l'armure était tout à fait particulière et Araekin fut l'un de ceux qui y inscrirent des runes de puissances et de protection. Sous la lune et les étoiles, ou par la volonté d'Araekin, l'ithildin de l'armure formant
ses étoiles s'enflammait d'une douce leueur bleu-argent, certaines se retrouvant lié par ces lueurs pour formé des constellations connus des eldar.
Le heaume de cette armure, fut du même matériaux, représentait aussi de nombreux dragons, ceux qu'Araekin avait rencontré et pour certains vaincus durant la guerre de la Grande Colère, dont une représentation d'Ancalagon le noir. Le heaume se terminait par un masque couvrant le visage d'Araekin et une partie de sa barbe à la façon des masque nain.

Pour ceux qui pourraient voir son Fëa dans le monde invisible, son apparence physique n'est presqu'aucunement changée, hormis pour l'or de ses cheveux et de ses yeux semblant jaillir de lui comme une lumière. Sa tête semble être entourée d'étoile brillante flottant autour de son chef et relié entre elles par un fin fil d'argent luisant.
Son apparat dans ce monde est semblable à une longue toge elfique comme tissée de fil d'or, magnifiant la lumière jaillissant de son être. Plus on se rapproche des extrémités de ses vêtements, plus ceux-ci deviennent noir, l'or de ses vêtements traversant cette noirceur en formant de somptueuses arabesques. Ce tissu noir, enfin, est percé de lumière d'argent, comme des étoiles coulant le long de sa tenue.

Caractère :

L'elfe qu'il fut à cette époque mourut au premier âge, terrasser par la réalité du monde, par les erreurs de ses pairs et la mort de ses proches. À cette époque, il était devenu plus sage et humble, mais tomba aussi dans une profonde torpeur, une dépression qu'il parvint à combattre en retrouvant sa chère sœur et plus tard, sous l'apprentissage de Nienna.

Aujourd'hui, Araekin est un seigneur enjoué et calme, une note de sagesse pour les siens et un ami fidèle et dévoué. Il a appris la dureté du monde, il a appris à s'en défaire et il partage cela autour de lui, rappelant l'histoire de ceux qui sont déjà partis, pour les générations qui viennent d'arriver.

Hormis cela, Araekin est un grand fêtard et un bon vivant, sa vie à Valinor se composait de banquet nombreux et somptueux qu'il reproduit en quelques sortes en son petit royaume. Comme tous les vanyar, il était un grand musicien, pas le meilleur d'entre eux néanmoins, connue pour ses danses complexes et enivrantes accompagnées du son de l'aulos son instrument.
Il est aussi un être incroyablement curieux, il avait arpenté presque toutes les terres de Valinor avant de quitté cette dernière et avait exploré tout Arda lors du deuxième âge, d'un bout à l'autre des portes du monde, seuls les cieux et les piliers soutenant le monde était encore un mystère à ses yeux !
Cette curiosité, il l'appliquait à tous les contextes, devenant ainsi un grand connaisseur des langues et notamment des peuples méconnus du sud et de l'est et de leur culture.

Araekin apprécie chaque être de la création, lorsqu'il arriva en Beleriand, il avait un grand but, rassembler les hommes, les nains et les eldar sous une seule bannière comme un seul grand royaume d'enfants d'Iluvatar ! En tant que fils d'Ingwë, il était déjà prince des elfes et estimait donc rapide et facile la réalisation de ce plan. Aujourd'hui encore, bien qu'il n'ait pas abouti, Araekin espère pouvoir rassembler les enfants d'Iluvatar malgré leurs différences afin que tous vivent en harmonie dans ce monde créé pour eux.

Néanmoins, bien qu'il soit né sous la lumière de Valinor, vécu au côté des Valar et d'autres ainur la curiosité d'Araekin l'a poussé aussi dans des endroits plus sombres. Au premier âge, il n'a ainsi pas rechigné à employer secrètement les filles d'Ungoliant contre Morgoth et aujourd'hui encore, il s'est plus d'une fois plongé dans des écrits de magie noire sceller dans les grandes bibliothèques ou dérobé aux ennemis. Selon lui, ce savoir bien qu'interdit est la clef pour vaincre l'ennemi, c'est en connaissant ses forces que l'on sait comment s'en défaire.
Il se considère aussi que le serviteur dévoué des Fëanturi, les Valar régnant sur le Fëa des enfants d'Iluvatar. Au début de sa vie, il arpentait sans cesse les passages de la Lorien, le domaine d'Irmo et se battait en son nom au Beleriand, puis après cela, il s'est rapproché de son frère et de sa sœur, Námo plus connue comme étant Mandos et Nienna. Aujourd'hui, Araekin arpente ainsi Arda en prenant soin ds Fëa immortel de ses frères et sœurs elfes, hommes ou bien nains. Avec l'aide d'Irmo, il offre le plaisir aux Fëa, conservant ses amis dans une joie éternelle, par les sages paroles apprises de Nienna, il prend soin de leur Fëa blesser par le chagrin et la peine.
Son implication avec Mandos est plus secrète et sombre néanmoins, cherchant les Fëa sans maison et ceux dérobé par les arts sombres de l'ennemi et tentent de les ramener du bon côté et de leur faire répondre à l'appel de Mandos, une mission secrète et pouvant que trop facilement être confondus avec la nécromancie de l'ennemi.

Aptitudes :

Grand magicien : Araekin est un des premiers né eldar en Valinor et possède un héritage maia, il est un magicien elfe d'un talent rare qu'il peaufina d'abord en Valinor puis durant toute sa vie en Arda.

Linguiste : Fort de ses millénaires d'existences, Araekin connait toutes les langues d'Arda ou presque, allant du vieil elfique parlé par les premier-né à Cuivenen en passant par le vieil entique, les premières langues parlé par les hobbits ou même par les hommes. Il connait nombres de langues et d'alphabets aujourd'hui perdus, soit car les peuples en usant on disparus ou bien car ils sont tombé en désuétudes. Il connait même le Khuzdul et possède quelques bases dans les discours Iglishmek de plusieurs clans nains.

Commandant d'armée : Araekin a vécus de nombreux siècle pas seulement en tant que seigneur calme ou magicien itinérant, mais aussi en tant que seigneur de guerre de larges armées, notamment au Premier Age. Il a depuis dirigé de nombreuses autres armés, parfois créé de toute pièce par ses propres actions, mais toujours dans le but de protégé les peuples et de faire règner le bien et la justice en Arda.

Adeptes des arts sombres : Personne hormis quelques rares êtres eux aussi emprunts de ténèbre ne connait cette facette d'Araekin, pas même sa soeur bien-aimé, mais Araekin a toujours été emprunt d'une curiosité étonnante pour les eldar. Cela l'a poussé à étudié les sombres textes de l'ennemis et même à oser apprendre sa langue et les incantions maléfiques qu'elle recelait. Dans le plus grand des secret, il a déjà usé de nécromancie pour rappeler les défunts errant à lui, son but a toujours été bon, puisqu'il souhaitait les aider a s'en retourner à Mandos. Mais le pouvoir offert par l'ennemi pourrait bien ravir le bon magicien en un seigneur froid et pragmatique un jour ou l'autre.
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MessageSujet: Re: Araekin le Magicien   Araekin le Magicien EmptyLun 16 Jan 2023 - 10:03

JE NE DIRAI RIEN. x)


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Araekin le Magicien
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