Belrog et sa destiné

Etapes: Mordor= 2 cases= 6 heures
Rhun= 6 cases= 18 heures
Col du fer= 8 cases= 24 heures
Monts grises= 7 cases= 21 heures
ET ENFIN ANGMAR.
TOTAL=69 heures
Je note tout mon voyage en une journée mais jouerez dès que les heures seront passée c'est à dire le lundi soir.

Belrog était enfin en route vers Angmar chemin qui semble assez long mais important pour lui, après avoir passé la porte noire et etre dans la plaine Dagonlad, le temps semblait s'accélérer; le coeur du troll battait comme un séisme, ces pieds écrasés herbe et toute vie sur son chemin, il n'avait pas choisit le chemin le plus court mais c'était pour lui l'occasion de découvrir l'espace entié des Terres du Milieu.
Il arriva alors à la frontière de Rhun, il savait que Ruhn n'était pas en coutume d'accepter les trolls mais savait aussi que le Rhun n'était pas en occasion de discuter vue les troubles politiques. Alors il passa discretement et avanca tout en évitant n'importe quelle rencontre.
Les jours passèrent, et étaient long, il ne savait guère ou ses frontières aller s'arretées.Il traversa plaines et roches; chassa pour se nourrir, quyand enfin après 2 jours de marches, il arriva au Col du fer; il savait qu'il ne craindrait rien à aller se rendre dans les montagnes seul lieu ou les trolls peuvent se cacher ou encore passer inapercu.
Belrog sentait la carresse du vent se rarifié, la présence de la nature disparaitre, et la fin des Rhuns, qui portait pour lui une odeur pestilencielles.

Le troll croisa un orque se promenant dans ces montagnes.
Que fais tu ici jeunes orques ta place est dans l'armée du mordor et non sur la marche d'un troll du mordor.

Je suis un orque loyal à Sauron imbécile de Troll et je n'ai guère envie de discuter avec toi, petite cervelle, j'ai d'autre troll à fouetter.

Votre mal est fait pourriture, je ne peux guère perdre de temps...
D'un coup Belrog attrapa l'orque, lui arracha la tete avec ses dents, détacha ses menbres et l'applatit d'une pate, une petite rivière noire commencait à couler, et des goutes avait jaillit sur la montagne.
Puis il se remit en route, la montagne lui était un paysage familier, il savait comment se cacher ou encore prendre des personnes par suprise.
Après une demi_journée de passée dans le col du fer, il s'asseya et pensa à plein de chose, Pourquoi ne pourrais-je point diriger une armée? Ecrire un livre qui serait utile aux orques et fidéle du mordor rempli de stratégie militaire et politique? Pourquoi ne pourrais-je pas me déclarer chef? Mais tout ceci n'était que reve et malveillance de Olog-hai, il était nait pour détruire et il allait détruire, il se mit alors a résiter un poème sous les flots de la montagnes qui lui faisait rappeler le mordor:
il pleut,
Il pleut sur la lande infinie,
Il pleut, il vente à midi
Le Mordor noie son feu.

Il vente,
Et le vent soulève la poussière
L'air est vicié, la toux, et la colère
Retombent, impuissantes.

La nuit
Recouvre ces vastes étendues
Où l'âme erre en vain sous les nues
Qui fuient.

La mort,
La mort se dresse, et son flambeau
Est l'étendard des lâches et des faux
Qui s'en vont en Mordor.

La guerre,
La guerre enfin, la guerre encore
La guerre terrible au son des cors
Dans la poussière.

Il pleut,
Il pleut, et s'estompe la vue
Le jour tremblant reprend son dû
L'heure du feu

Après une sieste bien mérité il reprit marche, sa massue malgré sa force commenca à lui pesait lourde sur l'épaule, son épées était une enclume, son armure une dizaine de cotte de maile, mais enfin il vit unn paysage différents,Les Monts Grises, pour éviter toute presence militaire et arriver à bonne destination, il prit ces montagnes et continua son voyage.

En FRANCHISSANT LES mONNTS GRISES, il ne se rendait compte que Angmar n'était plus loin,il passa des roches et des roches; s'arretant chassant, écrasant tout débris sur son passage sans se douter de ce qui poiuvait se passer, alors vient la nuit, il pris des leuilles de la nature assez solide et belles pour écrises dessus, il se coupa pour avoir du sang pour écrire et commenca:

L'Ouie d'un Olog-hai sur les Terres du millieu.

Chapitre 1.
Un pantin parmi les pantins

Je voudrais alors faire part de mon idée dans ce premier chapitre, les pantins sont les hommes, les orques, les nains et les elfes. Pantin de qui? de Sarouman, il n'a aucun véritable allié et aucun véritable ennemi, il profite de la politque pour se protéger, il léche les armures des personnes qui semblent les plus fortes, dans sa tour dOrthanc, tour noir, comme son avenir.
Et nous, nous nous laissons faire, nous disons rien et demandons encore la permission pour passer ces frontières, Revveillons Nous, et Sarouman, SECOUONS le ! Il ne mérite guère d'accéder au conseil blanc, il ne mérite guère d'etre écouté.

Chapitre 2
Les iscars

Il n'y a qu'une manière de les vaincres, par le dos, par traitrises, par ruse. Leur baton ne leur servira plus que de canne, leur blanc sera rouge sang. Ces créature se croient supérieurs, mais sans magies; ils ne sont rien, de simple homme, habillé en blanc et se promenant sans frontière,pour moi, la fin des iscars=fin des Terres du Milieu, surtout ce Gandalf de la maison blanche, qui se croit tout permis et nous nargues, débarrassons nous de lui.

Chapitre 3
Le Rohan

Le royaume du Rohan est faible, et ne mérite guère de survivre; leurs chevaux ne luttent pas contre nos wargs, leur lances ne luttent pas contre nos massues, ces rohirrims ne snot que des pions a utiliser à notre guise, profitons en, attaquons ce royaume de faibles.

Après avoir finit ce chapitre il le rangea soigneusement et s'endorimi.
Le lendemain il était d'une forme collossale et voulait le faire savoir, il coura le reste de sa route dans les montagnes, les dévalants et les montans, le sol tremblé quand enfin, après une demi-journée de course il vit la fin des montagnes et la frontière d'Angmar, Toranur était maintenant son supérieur en ces lieux et se mit dans la tete qu'il était du renfort et une aide précieuse, il espérait etre utilke et écraser des hommes; ou opposant du Mordor.

Je repprenderai la parti après que mes heures de voyages soient écoulé, Merci à vous.

La foret de la rivière====> à Dale
4 case à pide soit 12 heures de trajet

Belrog n'vait pas pour habitude d'obéir à d'autres personnes que ceux qui portent la amrque du seigneur des ténèbres, mais il avait déjà entendu parler des Orientaux et svait qu'il n'avait rine à craindre de leur fidélité.
La foret était dense, tant mieux pour eux, ceci leur permettait d'éviter plein de petits ennuis.
Pendant une journée, ils n'arretèrent de marcher, les Orientaux offrirent du pain pourris au Troll, c'était totu ce qui leur restait.
Arrivé à la lizière de la foret, ils coururent jusqu'à Dale pour éviter d'etre attaqué par des Naugrims. Leur voyage était cours et assez ennuyant, rine ne s'était passé, et rien n'avait eu lieu à la foret, c'est peut-etre ce qu'on apelle le calme avant la tempete.

Dale===> La foret de la rivière
4 cases à pied soit 12 heures de trajet.

Belrog détestait passer par cette foret, il y avait de temps en temps des patrouilles de nains, en meme temps ceci pouvait etre distrayant, il voulait calmer ses nerfs sur quelques nains, nerfs provoqués par les paroles de ces Orientaux, berk!
Les orques ne pouvaient compter que sur des orques, de plus il n'avait pas confiance à Belrog qui était pourtant assez intelligent pour etre au niveau de ce guetteur, berk !
Il attendit alors un énorme bruit au sol, il rergarda autour de lui et vit un nain, il ne l'avait pas vu, il se cacha alors derrière un arbre, le nain était gras comme tous, sur un sanglier géant et foncer partout pour patrouiller.
Le nains passa mahleuresement juste à coter de Belrog, le nain se prit alors une massue et vola à une dizaine de mètres arrachant arbres au passage, il était assomé, Belrog arrvia et l'écrasa d'un pied, ceci pouvait faire un parfait déjeuner.
La suite du voyage était banale, il arriva à la lizière de la foret et pouvait enfin entendre une bande d'orque, il était enfin arrivé.

[suite dans Aux alentour de l'erebor]

La foret de la rivière====>Les monts gris
Les monts gris=====>Col du fer
Col du fer======>Dales
(patrouille d'orques ) 9 cases à pied soit éè HEURES.

Belrog et sa troupe d'orques commencèrent à traverser la foret sans problème et à atteindre les montagnes, comme on peut s'en douter, sa n'arreter pas de raler dans les rangs, sales pourriture d'orques sans cervelle, si seulement je pouvait avoir une armée de orientaux, mais il ne faut pas rever. J'avais choisi les montagnes car moi-meme qui suis un Olog -hai j'y est vécu.
Deux orques furent choisis pour aller en hauteur et garder un oeil, à chaque mines ou villages ou encore soldats apercu, tout était noté.
Vint la nuit, tous les orques étaient épuisés, et s'ennuyés, je devais trouver une solution pour remonter le moral de mes troupes avant qu'i_l ne remonte sur moi.
Une nuit passa , elle était froide, assez doux pour les orques.
Le lendemain, Belrog annonca une bonne nouvelle.
Mes chers chiens, pour vous divertir un peu, une mine dans ces montagnes un peu plus loin est . Nous allns ratatiner les ouvriers, les quleques soldats qu'il y a et piller ce qu'elle contient. Pour cela, je veux 4 orques qui fassent une diversion pour attirer les nains par ici, les autres tendront une embuscade, en avant mes amis

Tous les orques hurlèrent , des crocs et des babines léchés pouvaient etre apercu, comme convenu 4 orques partirent juste devant la mine, il n'y avait que 10 soldats nains et 5 ouvriers, c'était une petite mine.

Regarde des orques les huits avec moi, vous deux restez ici, nous allons les massacrer

Les nains furent attiré dans un gouffre, au-dessus les orques étaient pret à bondir.
Maintenant! cria Belrog qui les prit par derrière.
Tous les orques sautèrent sur les nains, ils mordaient dans la chair de ces gros lards et se délecté de ce moment.

_Tu as entendu?
_Ouais et sa vient par là, ou est parti le commandant.
_Tu crois qu'ils sont mort?
_Non ils doivent blaguer
Belrog surgissa devant eux.
Bonjour! dit-il avec un sourire. Il avait sa massue à la main et les fit décoler, tous les orques arrivèrent et entrèrent dans la mine.
On pouvait entendre les cris des nains démentelé, mordu, déchiqueté...
4orques furent choisir pour porter un beau butin d'or, ce n'est pas mal pour les orientaux.

Il dormirent dans la mine et le lendemain partirent des montagnes du col du fer.
Une vaste plaine se tenait devant eux, heuresement l'Erebor était orienté dans l'autre direction, ils coururent telks des uruk-hai vers Dale ou des orientaux les attendés.

Suite à Dale.

Dale===> Les alentours de l'erebor
4 cases à pied soit 12 heures de trajet.

Belrog et ses 40 orques partirent en courant vers la foret, cela commencé à devenir une habitude ces allées retour, il espérait qu'un jour il serait assez important pour éviter de faire lui même ces allées-retour.

L'attaque de l'Erebor allait permettre à Belrog de se faire enfin connaitre comme grand général. En courant dans la plaine, on vit l'envie pressante que possédé les orques à tuer des nains, à en massacrer, écraser, manger...

La terre tremblée sous leurs pas, à force de se rendre à Dale, une sorte de chemin de terre c'était formée, heureusement les nains n'osaient pas trop s'interposer devant l'olog-hai et sa petite armée. Belrog avait beau voyager depuis plusieurs jours chez les nains, aucune alerte quelconque n'avait étée donnée. Belrog n'est pas bête, il allait utiliser la ruse pour vaincre les nains, il connaissait des plan tactiques, il avait tout étudié au Mordor.

Il arrivèrent alors à la foret la nuit, ils s'arretèrent et allumèrent un feu, Belrog sortit son ancien livre pour continuer à écrire:

Les Orientaux sont de grands guerriers que je respecte, ils sont nés soldats, ils ont la ruse, le courage, la sauvagerie. Si ils étaient bêtes ce seraient d'excellent orques. Ils ont des armes et armures,ainsi qu'un bon entrainement . Leur seigneur Torn est connu comme un grand général dont j'aimerai prendre exemple, si un jour je le rencontre se serait ma plus grande fierté .

Après avoir écrit ces quelques lignes, la nuit tomba.

Le lendemain ils repatirent au galop, ils arrivèrent après quelques heures à leur fortification, il prit deux orques dans sa tente, les deux orques le splus respecter et commença à leur parler de l'attaque qu'il allait effectuer sur l'Erebor, un plan minutieux et très difficile à comprendre.

Les alentours de L'Erebo======>Dale
4 cases à pied soit 12 heures de trajet

Belrog courut en ayant en tête ce qu'il allait dire à son chef à Dale, les nains ici sont beaucoup trop fort, on ne peut les attaquer sur un front cela ne fait aucun effet.
Belrog a beau être un grand commandant, ceci ne pouvait résister à la force des nains, il se dirigea vers Dale tout d'abord pour demander ces forces spéciales et ensuite changer les plans.

Il avait entendu des nains sur la route parler de l'attaque qui avait lieu dans la Moria, ceci pourrait lui être intéressant.
Mais est-ce qu'il s'entendrait avec l'orque commandant qui c'était rendu à la Moria?

[Dale------> La Moria]
Armée de 500 Uruk Hai donc 1case = 3H donc 33heures

Belrog avait pris le départ pour La Moria, une citée qui allait bientot sombrer sous le courou du Tueur de nains, sa réputation était faites en Erebor, il ne restait plus que Kazadh Dum et il serait connu de la race des nains. Ses troupes au nombre de 500 Uruk Hai était plus performant que ses anciens orques, on voyait très bien que cela avaient été entrainé par les Orientaux, ils étaient rapides et ne voulaient s'arreter. Belrog commenca alors à courir en meme temps que son armée tandis que l'oriental qui le suivait avait pris un cheval. Marché ? A quoi bon, il fallait doncé, ce n'est qu'aux portes des nains qu'il fallait ralentir.
Belrog dirigea son armée au Nord de la Foret Noire, il passa par son camp et prit les Montagnes Grises, de ces montagnes, il y pénétra et fit avancer son armée tout le long jusqu'à Kazadh Dum. Pratiquement personnes ne se baladait dans ses montagnes, elles étaient la frontière entre l'Erebor et le Royaume d'Angmar.
Le jour, l'armée trouva une grotte ou se loger, c'est seulement la nuit qu'ils couraient à grand pas, on pouvait entendre au de là des montagnes, un tambour de guerre, une marche qui faisait vibrer le sol. Comme ci les montagnes criés à eux meme, comme si les montagnes étaient en train de s'effondrer. Après tout une armée comme celle là ne pouvait etre silencieuse.
Puis arrivée à quelques kilomètres de Kazadh Dum, Belrog arreta son armée et les ordonna:

A partir de maintenant nous allons devoir etre silencieux, vous deux, vous allez vous diriger silencieusement sans armes juste avec une fine lame près de leur forteresse pour découvrir si des tunnels résident aux alentours, revenez dès que cela est fait.

Belrog avait choisit deux orques qui semblaient etre noir de peau, cela aller leur etre utile pour passer inapercu dans le noir, ils avaient tiré leur armure grise pour éviter tout repèrage meme si cela n'était pas très étincelant. Pendant que ces deux partaient, d'autres furent choisis pour surveiller els alentour et se mettre en sommet pour attaquer tout éclaireur nain. Bientot, nous rejoindrons les gobelins.

Suite:chercher un tunnel a quelques lieux au nord de Khazad-Dum.

Suite de chercher un tunnel à Quelques lieux:

Les deux uruk Hai étaient revenu vers le Commandant Troll et firent un rapport détaillé des sentinelles présents, puis ils donnèrent les coordonnées d'un passage une grotte au nord. Le Belrog poussa alors un cri pour tous les préparer et les mettre en rangs.
Les 500 uruk Hais se préparèrent, Belrog voulait montrer son intelligence à L'oriental. Il fit avancer à pas de loup les troupes et les firent entrées par 20 pour éviter toute détection, ceci prit du temps mais il fallait garder la surprise.
Les troupes furent alors entrées dans le tunnel et longée maintenant ses murs de pierre creusé certainement par des gobelin, jusqu'au mine de la Moria.