L'arrivée des hobbits

Le roi Nrylos ainsi qu'une cinquantaine de garde et Marroc arrivait aux grandes portes de la moria . Le roi hobbit portait une élégante armure de cuir quji lui permettait ample mouvement . Le roi hobbit se tourna alors vers la dénommée Marroc et lui chuchota à l'oreille :

Tenez , voici le sceau d'Elkâèl , vous pourrez ainsi passez sûr toutes terres elfes et entiques . Traversez l'esprit libre la terre du milieu pour trouvez les ents . A moins que vous ne vouliez rester . Je sais que ces choses peuvent paraître précipiter mais , maintenant , les négociations commence , enfin , Elkâèl vous a dit à vous et à vos soldat d'assurer ma garde donc partons .

Le hobbit tendit le magnifique sceau d'Elkâèl et rentra définitivement dans la Moria . Souriant Nrylos apperçut Hanzok ... Il s'approcha discrètement dans le dos du nain puis lui lança une tape dans le dos du nain attendant sa réaction , lui disant :

Hatori , je savais que tu n'étais pas loins vieux frère !!!

Il avait parlé à Hanzok comme à un ami et il s'inclinait devant le roi nain


hrp : Il y avait un petit problême Marroc alors j'ai posté ce topic et on reprend du moment de nôtre arrivée .

Marroc, dans son armure légère marchait ax côtés du Roi Nrylos, observant aux passage les voûtes gigantesques de la Moria, demeure des Nains.
Lorsque Nrylos lui confia le sceau d'Elkäèl, elle le pris lentement et le glssa dans une "poche secrète" :

" Merci, j'en prendrais grand soin." dit-elle cérémonieusement "Mais je partirais vers la Lorien lorsque les négociations seront terminées, comme il était prévu." ajouta t-elle.

Puis, ils s'avancèrent devant le Roi et Marroc s'inclina, respectueuse ...

Le hobbit regardant la triste scène fut étonné de voir ce qu'était devenu le devin ... Cendres et poussières . Etait-ce un fou qui s'était exprimé oû un homme de parole . Nrylos n'en n'eut aucune idée et essayant de détournée l'attention sûr lui :

Le monde exterieur se déchire ... Hatori . L'Angband s'est réveillé et prépare un assaut terrible contre la terre du milieu . Les terres du roi elfes Finrod sont en péril . Par-dessus tout , le rohan est pillé , brulé , et détruit par les serviteurs de Sauron .

Il avait changé soudain de voie . Il passait d'un ton plutôt triste à un ton fort et déterminé :

Mais , les elfes , se sont unis . Et je les ait rejoints . L'angmar à signé un traité d'alliance avec nous . Nombreux sont les soldat qui se battront jusqu'à la mort du seigneur noir Morgoth Baudlir . Les hommes semblent nous venir en aide . Les multiples généreaux du bien établissement des plans . Des rampart se dressent , des armes de sièges sont fabriquées en masse . Et vous , mon ami Hanzok , avez proposé votre aide !

Un petit oiseau qui avait pu se fofiler jusqu'ici arriva aux côtés du hobbits, un messages a ses pieds.

Citation :

Cher Nrylos,
J'espere que votre rencontre avec le maitre nain se deroule bien,
j'ai plusieurs nouvelles a vous anoncer, hélas pas celle que j'aurais voulu...
Nous avons donc été avec Pans et Oromë et 50 gardes voir Gothmog, pour parler, il a posé un ultimatum, soit on abroge le traité avec l'Angmar soit la guerre est declaré.
Nous avons refusé, il a masacré ma garde, mais nous avons reussi a nous enfuir. Ensuite il a reunit ses 500 000 orcs, et a dit que si on ne donne notre vie (pans oromë et moi meme) et que l'armée se rende il tuerai tous les prisonniers elfes...
Nous avons de nouveau refusé, mais le seigneur Aragorn, et jaryak nous rejoignent dans la guerre.
Voila, esperons que vos nouvelles sont meilleurs,
Mes salutations au seigneur nain que je respect profondement!
A bientot, mon ami!
Finrod.

Marroc était, durant tout le temps de la conversation, restée plongée dans ses pensées. Mais, l'épisode du vieux Nain tombé en cendre l'avait quelque peu ... refroidie. Puis, lorsque Hanzok parla, elle l'écouta, ébahie.
Quand des gardes les encerclèrent, elle ne fit pour seul geste que de se lever et regarda le Roi dans les yeux, féroce :

" Alors c'est donc ça ! Les grands nains sculpteurs choisissent l'Ombre ! ET l'Ombre n'est rien d'autre que la facilité ! La vérité est que vous avez peur ! Peur de vous dresser contre Sauron le grand ! Mais, jamais il ne triomphera ! Puisse-le monde être tombé entre ses mains, aucun Hobbit, moi la première ne le servira ! "

Sa tirage fini, la rage se lsiant sur son visage, elle se rassit attendant la réaction de Hanzok ...

Marroc écouta Hanzok parler, mais préféra se taire. Décidément, les Nains détestait les Elfes, et tout ce qui s'y rapportait !
Enfin, on les ammena dans une vaste cellule, qui ressemblait plutôt à des appartements.
La Dame, après s'être assise sur les lits qui leurs étaient réservés, se tourna vers Nrylos :

" J'imaginais ces Nains plus Sages, et moins lâches !" s'exclama t-elle. Puis, elle essaya de reprendre ses esprits et continua :

" Désolée, je me suis laissée emportée. Il va maintenant falloir trouver un moyen de prévenir les Elfes de notre capture, mais je ne sais pas du tout comment faire, et vous ?" demanda t-elle avec espoir.

Non pas qu'elle n'appréciait pas ces "appartements", mais rester là, sans savoir ce qu'il se passe au dessus, c'était frustrant. Aussi, Marroc commença à réfléchir pour négocier avec les Nains, pour libérer au moins Nrylos, ou alors qu'ils puissent envoyer un message !!

Marroc sourit, retrouvant un peu d'espoir, mais se demandant quel était ce plan :

" Décidément, vous aimez garder vos plans en surprise !" dit-elle. Puis, la Dame se tut et elle regarda le Roi mettre en oeuvre son plan ...

Hanzok revint accompagné des gardes et de ses serviteurs. Son suivant était toujours là, portant l'épée du maitre forgeron nain sur ses épaules. Ses épaules étaient recouverts d'épaulières faites de multiples pièces de métal.
Hanzok tenait des parchemins dans sa main.

-Votre conversation m'a été rapporté par le garde. Méfiez vous les murs ont des oreilles. Et des yeux aussi. Il ne vous sert à rien de vouloir prévenir vos alliés elfes. Ils le seront bientôt. Mais soyez patient. Peut être le sont ils déjà. Vous espérez fuire malgré mes paroles d'hier. Je pense que vous n'y parviendrez pas. Vous êtes suivit sans cesse, et vous risqueriez de vous égarer. Cette mine est un dédale. Et de plus même si vous y parveniez, je ferais executer vos cinquante gardes qui eux n'ont pas vos privilèges. Il serait génant que je doive vous tuer. Mais si vous m'y forcez je n'hésiterai pas une seule seconde...

Les yeux d'Hanzok semblait tristes et inquiets. Il s'assit sur un siège de la salle. [/b]

Lorsqu'Hanzok entra dans la pièce, Marroc se redressa et s'avança vers lui, attendant qu'il finisse de parler, puis pris la parole :

" À quoi cela vous servirait-il de nous tuer ? Les Elfes n'auraient plus aucun intérêt à vous donner de l'or ou faire quoi que ce soit pour vous !" s'exclama t-elle. Mais, préférant tout de même prendre au sérieux les menaces du Roi Nain, elle lui jeta un regard noir et laissa le Roi Nrylos parler. Quand il proposa de leur envoyer tout de même un message elle acquiesça :

" Si vous véririfez ce que le Roi a écrit, vous ne risquez rien !" dit-elle.
Bien que la Dame n'ait aucune idée du plan de Nrylos, elle jugea préférable de convaincre Hanzok pour qu'il envoie une lettre. Nrylos semblait être sur de lui et Marroc, ayant toute confiance en lui, ne put qu'espérer que le Roi Nain accepterait. Normalement, il ne devrait pas dire non ....

Hélàs, Hanzok refusa et quitta la pièce. Marroc soupira, puis réfléchit avant de parler :

" Malheureusement, il a raison, nous n'avons aucun espoir de nous échapper, et encore moins de sortir des mines. Quant aux Elfes, même s'ils parviennent jusqu'ici, ils seront obligés d'aider en quelque chose les Nains pour qu'ils nous relâchent ..."

La Dame se surprenait elle-même. Elle, d'habitude si optimiste, voila qu'elle se mettait à douter. Se reprenant, elle s'exclama :

" Mais, je suis sûre que nous ne pourrirons pas ici ! Et, même si les Elfes refusaient les conditions de ces Nains ..."

Marroc s'interrompit et grommela quelques paroles indistinctes, se rappellant celles du Roi des nains et s'assit dans un coin, vérifiant discrètement si le sceau du Roi Elkäèl était toujours là, en tatonnant dans sa poche : oui, il y était ...

Marroc acquiesça, puis fronça les sourcils :

" Je doute qu'il nous livre au Seigneur Noir, n'avez-vous aperçut son regard, lorsqu'il a affirmé que l'on ne pourrait s'échapper d'ici ?
Je crois qu'il regrette de vous avoir emprisonné, vous étiez son ami ..." dit-elle.

* Oui, c'était cela ; il ne tuerait pas son ami. Il avait simplement été obligé de le capturer, pour Sauron, car il leur avait promis beaucoup d'or, mais restait loyal envers le Roi Nrylos ... * pensa la jeune femme, esseyant de trouver un moyen pour le déstabilser à partir de cette supposition ...

" Peut-être, peut-être ... tant de questions sans réponses ... et pourtant, je pense que cela va s'arranger ... Sauron ne désire pas vous tuer, seulement faire de vous un otage à troquer contre un suspens des attaques menées contre lui, je pense ..." avança Marroc, peu sûre.

Mais elle aussi était songeuse ; car, Nrylos intéresserait sans nuls doutes le Seigneur des Ténèbres, mais elle, ne présentait aucun intérêt. Qu'allait-il faire ? La tuer ? L'obliger à l'aider dans ses sombres manigances ? Décidémment, la trahison du Roi des Nains n'arrangeait pas les choses pour Nrylos et l'Intendante d'Eregion ...
La Dame, alors forcée de laisser ces questions sans réponse s'allongea, lasse ...

Marroc esquissa un faible sourire et se tourna vers Nrylos :

« Ses possibilités ? Elles sont moindres, Sauron ne laissera pas les Nains mettre en danger sa victoire qu’il considère acquise. Il aurait tout intérêt à se mettre à nos côtés … » puis, elle réfléchit quelques secondes aux paroles du Roi :

« Séparés, cela est inévitable, je pense. Quant à savoir ce qu’il se passera, seul l’avenir nous le dira … »

Puis, la Dame étudia toutes les défenses citées par Hanzok, mais hélas, aucun ne semblait avoir une faille. Il était donc impossible, pour le moment, de tenter de s’enfuir. Comme l’avait dit si justement Nrylos, la Cité des Nains, la grande Khazak-Dûm, était trop vaste ...