Une ville sous la ville

Pilgrim observait la grande salle. Les réfugiés avaient installé des lits de fortune au près du feu. Une douce chaleur émanée des brasiers,il suivit du regard les filets de fumée remontant vers le plafond. Malgré l’obscurité on pouvait distinguer un trou servant à évacuer la fumée.Shane vint se placer à coté de lui.

« _Le trou donne sur la cheminée d’un maison située juste au dessus ainsi cela passe inaperçu.
_Est-elle habité?
_Bien entendu sinon comment voulez-vous qu’il y ai une fumée qui sorte d’une chaumière inhabitéee?Mais elle est des notre il n’y a aucun risque.
_Y a-t-il d’autre moyen de sortir d’ici?
_Il y a deux tunnels au fond de la salle. L’un mène au cœur de la foret,à 5 km d’ici.L’autre aboutit hors de la ville à une centaines de mètres de la porte Nord. Il faut donc faire attention de ne pas etre vu par les gardes. »

Pilgrim écoutait avec attention toute ces informations allez lui etre utile pour la suite.
Puis il regarda autour de lui.

« _Mais où est Noria?
_La pauvre était dans un triste état ,elle est entrain de se faire soigner. Venez Pilgrim je vais vous donner de quoi dormir il se fait tard ».

Elle le guida auprès des feux,ramassa une épaisse couverture et lui tendit.

« _Tenez,la soiré fut longue,tachez de vous reposer. »

Il se saisit de la couverture,la posa au sol,puis déposa ses armes sur le sol,gardant toutefois ses épées à porté. Sa cape en couverture il s’allongea sur le lit de fortune et songea à la journée de demain qui s’annoncé chargé. Il lui faudra parler aux nains présent ici,demain il saurait si son plan pourra etre mis à exécution

Parmis les deserteurs on pouvait observer un goupe différent des autres. Ils avaient des visages farouches aux barbes longues et tréssées d'anneaux d'argent. Leurs silouhettes étaient plus trapus et plus haute que les autres. Ils portaient tous des capes de voyages de couleurs vertes ou grises, à l'exeption d'un seul dont la cape était rouge grenat. Ils restaient silencieux tandis que leur yeux plissés fixaient chaque détail du lieu.

Une voix se fit entendre: elle était profonde et grave comme le chant de la pierre dans les montagnes. Une impression de transparence se dégageait de cette voie. Sur les champs toutes les discussions cessèrent.

-Le combat est une belle voie, mais le combat des femmes et bientôt celui des enfants ne doit pas faire partie de nos guerre. Car ce serait nous rabaisser. Seuls demeurent les actes de bravoure, pas les révoltes de guerres fratricides. Les forces ennemis des naugrims sont bien assez puissantes, prête à nous envahir. Il me semble qu'une guerre interne serait contraire à nos interêts. Je pense que les soldats de Kazad Dûm ne sont pas tombés dans l'ombre. Si leur tyran est vaincu il regagnerons nos rangs dans l'instant. Et c'est pourquoi je suis venu jusqu'ici pour régler cette guerre. Je n'ai qu'un seul but: tuer Kesil. C'est pour cela que je vais lui tendre un piège, et lorsqu'il viendra à moi ce sera pour mourir sous ma lame.

Disant cela il rejetta sa cape pourpre en arrière. Et alors tous virent un guerrier portant une armure des plus travaillé. Et à son coté pendait une longue épée dans un fourreau de cuivre. Un casque était rejetté derrière la nuque, pendant autour du coup par un fil de cuire. Ses compagnons immitèrent le mystérieux guerrier. Ils portaient tous divers armes sous leurs manteaux et leurs capes. Leurs armures vermailles luisaient dans la lumière sombre des flambeaux.

-Je suis Hatori Hanzok, Archiforgeron de Kazad Dûm, et ces gens sont mes compagnons d'arme. Je suis là pour détruire le tyran et nul ne pourra m'en empècher.