De curieux visiteurs!

[Mode MJ: ON]Les gardes de la Citadelle se regardèrent. Puis, ils appelèrent leur Capitaine. Celui ci descendit des murailles, et sortit. Il se tenait devant ses grandes portes de Mithril, face au Nains.

Bonjour à vous, amis Nains. Mais que faites vous ici alors que notre Roi est à Khazad Dum, se battant pour ceux de votre race?

Aragorn n'était pas encore revenu. Et ses Hommes commençaient à s'inquiéter. Se pourrait-il qu'il lui soit arrivé quelque chose?[Mode MJ: OFF]

[Mode MJ: ON]Le Capitaine sourit, pris la pinte et la vida d'une traite. Puis il rendit la pinte au Nain.

Alors bienvenue à Minas Tirith. Que la bière coule à flot, pour la victoire des peuples libres. J'espère que le Roi sera bientôt de retour. Ainsi, vous rencontrerez celui qui à aider les Nains dans leur lutte contre Sauron. Mais allez, entrez et posez vos tonneaux à l'auberge du Cheval Vert. Elle se situe au 3° niveau. Nous pourrons fêter cette victoire, entre Nains et Hommes!

Le Capitaine entra dans la cité et fit ouvrir les portes. Alors, les 2 lourdes portes de mithril tournèrent sur leurs gonds. Il leur sourit et répéta

Bienvenue à Minas Tirith[Mode MJ: OFF]

Hador était enfin arrivé à Minas-Tirith (voir voyage), il attendait d'Aragorn qu'il l'héberge et en échange Hador lui offrirait son aide en cas d'attaque du Mordor.

Le roi avait laissé son armée dans le champs du Pelenor et était entré avec ses généraux dans la cité. Il vit devant lui un chariot sur lequel se tenait un nain une pinte à la main. Le voyage avait été rude et la vue de ce bon breuvage lui faisait envie. Il s'avança vers le nain et dit.

Salut à vous, Maitre Brasseur, d'où provient votre bière, il me plairait d'y gouter, le voyage m'a épuisé et une pinte ne serait pas de refus, j'ai de quoi vous payer. Et si elle s'avère délectable je vous en achèterais pour mes hommes.

Un homme se tenait aussi devant le chariot, Hador le reagarda et le salua d'un mouvement de tête.

Pans arriva et regarda la scène mais il était surtout absorbé par la cité.
Elle était merveilleuse.
La cité taillé dans la montagne semblait dominé les lieu et les muraille était si impsant qu'il se demander si un seule enemi auserais l'attaquer.
Pans avait hate de visiter les 5 niveaux de la cité mais fit une halte en attendant que Hador II de Dor-Lomin est fini de se reposer.

Trois jours plus tard, deux autres membres de la compagnie des sept nains nains se présentèrent devant les portes de la cité blanche. L'un était de fière allure avec des habits qui laissaient paraître une certaine noblesse. Par contre, le deuxième, donnait l'impression d'être son serviteur : il portait une cape sombre de sorte qu'on ne puisse voir son visage et se situait derrière le premier.
Le premier nain, d'un ton grave mais qui montrait son rang noble, tient se langage:

-Bien bonjour brave soldats de la resplendissante cité blanche! Je viens en ces lieux qui sont bien loin de mes terres pour visiter vos merveilleuses banques pour y placer mon argent! En effet ! Je suis le seigneur d'un petit royaume nain insignifiant qui ne mérite point d'être connue dans la somptueuse Minas Thirit! Je suis accompagner de mon fidèle serviteur et demande la permission d'entrer dans cette fabuleuse cité!

Les gardes acquiescèrent d’un hochement la tête et les deux mystérieux voyageurs qui étaient monnaies courantes dans Minas Thirit pénétrèrent dedans!

Une fois à l'intérieur, Alrik eu un petit sourire car le plan se déroulait à merveille!

Quelques heures à peine après l’arrivée d’Alrik, Tagazok arriva, dans une charrue, sur laquelle était posé une cargaison voilée. Tagazok était revêtu d’habits plus pauvres qu’à l’ordinaire, mais plus grotesques aussi. Quand il fût devant la porte de la cité, les gardes le hélèrent.
- Qui donc es tu, toi ?
- Messieurs, je ne suis qu’un simple saltimbanque, qui va ça et là, au gré du vent. J’ai ouïe dire qu’une fête entre nains et hommes aurait lieu ici même. Je viens donc y participer, pour gagner humblement mon pain, en espérant vous faire rire, vous faire rêver, vous faire peur, aussi.
- Que caches tu donc sous ce drap ?
- Messieurs, sous mes draps se trouve mon ours, enfermé dans sa cage. Je fais des tours avec lui. Mais en ce moment, il se repose.
Les gardesn quelques peu suspicieux, soulevèrent le drap. Ils vîrent un ours profondément endormi, et, attendris par ce spectacle, ils le laissèrent passer.
- Vieil homme, si tu viens pour la fête, va donc au cheval vert, qui se situe au troisième niveau.
- Je vous remercie, messieurs, dit Tagazok.
En entrant, Tagazok fût ébahi par la splendeur de la cité. Puis, il se dirigea vers le troisième niveau... Bientôt, tout serait en place.

Gazzha prit unepinte et fit de même avec le Prince de Gondor. Celui ci la goûta avec plaisir et rendu la pinte au brasseur.

-Bonne journée meseigneur, j'ai à faire et la fête commencera bientôt!! Je vous attend à la taverne. J'espère vous y voir vec de joyeux compagnons!

Le nain remit sa charette en marche et un qart d'heure plus tard, il parvint avec sa cargaison à l'enseigne indiqué. Lorsqu'il fut seul dans l'arrière boutique, il se précipita vers deux tonneaux non déchargé car il se trouvaient en dessous des autres. Les ouvrant, deux têtes enémergèrent.

-Merci Gahzza dit le forgeron Hatori Hanzok.

Djeunki parvint à son tour à s'extraire du tonneau.

-Cachez vous là les gars.

Le brasseur pointa le grenier du doigts. Les deux compagnons allèrent se poser à l'endroit indiqué.

Puis Gahzza alla trouver le tenancier de la taverne.

-Ne touchez à ma bière sans ma permition. C'est une bière de qualité. Tout le monde en aura, mais si je prend un seul homme à farfouiller ou à en boire en cachette et sans ma permition, il risuqe d'y avoir un noyé ou un pendu dans les minutes qui suivront! On s'est bien compris?

Le gros tenancier secoua la tête en signe d'approbation. Tout pouvait commancer à présent...

Tagazok arriva quelques heures plus tard à l'auberge du cheval vert, après s'être perdu pas moins de huit fois, avant d'enfin y parvenir. Puis, il alla voir l'aubergiste.
- Holà, tavernier, c'est vrai qu'une fête se prépare dans la cité ?
- Et bien oui, cher ami nain. Nous allons fêter notre victoire face au Mordor, ce nom soit mille fois maudit. Vous venez poue cela ?
- En tant que saltimbanque, je me dois d'être partout et nulle part. Mais je présume que cette fête aura grand succès. Il y a sans doute déjà du monde en ce moment.
- Ah, ça oui. Tenez, il n'y a pas si longtemps, un brasseur est venu s'installer.
- Tiens donc... Et bien, je viens m'installer aussi, tavernier. Avez vous encore une chambre ? demanda Tagazok en sortant une poignée de pièces d'or.
- Mais bien sûr, répondit le tavernier en lui donnant une clé. Soyez le bienvenu à Minas Tirith.

Au même moment, les deux nains se dirigèrent vers les nobles quartiers de la citadelle. Mais Raspoutine ressentait une inquiétude inhabituelle chez son compagnon; et cela le tracassait plus que tout car se ne fût point dans les habitudes de Alrik de douter. Quelques minutes de marche plus tard, il décidât de commencer par une banque modeste afin qu'Alrik se mette en confiance de la dure tache qui l'attendait. En entrant dans la boutique il prononça ces paroles:

-Bonjour à toi noble propriétaire de cette humble banque! Je viens dans ta demeure pour regarder si elle me semble convenable pour accueillir mes bénéfices.

-Salutation noble nain! Lui répondit le responsable de la banque. Il est rare de voir des nains comme vous dans les environs en ces temps bien sombre! Je vais vous faire visiter ma banque en espérant qu'elle puisse vous apporter se que vous chercher!

Durand la visite, Alrik disparu sans se faire remarquer de personne et nul ne put donc savoir se qu'il mijotait. Il revint bien sur vers la fin de la visite de sorte que personne ne puisse s'apercevoir de son absence! Apres avoir dit au revoir au maître des lieux et de belles paroles, ils repartirent vers d'autres banques du même type et récidivèrent avec ces actions et toujours en étant invisible de tous!

Alrik eu un petit sourire puis commença son discoure sur la récolte de son espionnage:

-Tout d'abord, il y a une banque particulièrement bien remplie! Je pense qu'elle est possible pour nos capacités. Mais j'ai la certitude que ce que nous cherchons est aussi dans cette banque. Il faut absolument frapper ce soir en profitant de l'arnachie causée par ton vin Gazzha et la fête! Par contre leur tour de garde est très régulier et si on parvient à assommer les deux gardes nous avons peu de temps (une heure trente environ) avant que la relève passe! Mais tout cela est faisable bien sur.

Alrik se rassit après son discoure et laissa ses compagnons plongé dans une réflexion profonde.

Tagazok frémit en entendant cela. Pour lui et ses compagnons, le risque et l'excitation étaient le plus savoureux des mets. Tous autour de la table réfléchissaient à la manière dont pourrait réussir cette opération. Étonnament, ce fût Tagazok qui prit la parole.
- Alrik, il faudra que tu prêtes ton déguisement à Raspoutine pour qu'il se déguise en garde. Tu resteras prêt de l'entrée, Raspas. omme ça, s'il y a un problème, soi tu nous alerte, soi tu assommes les gardes qui arrivent... à la réflexion, je devrai peut être rester avec toi.
-Moi je veux bien, dit Raspoutine. ça assurera la sécurité de notre action.
- Alrik, Hattori, vous en profiterez pour faire votre besogne. Je vous confierai Pardekich si besoin est. Cela est-il bon ?

Ceux qui se trouvaient sur le devant de la charette étaient Alrik, Ghazza et Tagazok, autrement dit ceux qui s’étaient montrés ouvertement dans la cité.
- Holà, voyageurs, dit un garde. Que faites vous là, à cette heure de la nuit ?
- Nous faisons notre tournée, répondit Ghazza. Je suis vendeur de bières. Voulez-vous goûter ?
- Et comment, dire les gardes.
Tagazok descendit de la charette, comme Alrik, pour ouvrir un des fûts, et servir les gardes.
- Quelles bonnes bières, se réjouit un des gardes.
Presque tous les gardes bûrent. Puis, ceux-ci fûrent pris de tournis, avant de s’évanouir... Les gardes qui n’avaient pas bus faillirent crier, mais Alrik et Tagazok, qui s’étaient glissés derrière les gardes, les assomèrent. Ensuite, ils ouvrirent la porte, avant d’effacer le maquillage qu’il y avait sur leur visage, qu’ils avaient mis pour ne pas se faire reconnaître.
- Heureusement qu’il y avait le produit soporifique de Djeunki dans la bière, dit Alrik.