Un commercant entre en villle

Courseur arriva devant les portes de kazad-dum,
il se présenta aux gardes de la manière suivante:

"Bonjour, je suis courseur, un nain de derrière Angband.
Je suis un forgeron assé habille pour mon peuple, et je suis en quete de mithril pour mes commandes, puis-je passer ses portes millénaires et pénétrer dans votre royaume, pour chercher le mithril dans vos mines?"

Courseur regarda les gardes, deux puissants nains armé jusqu'aux dents.
Mais il n'avait pas peur, il n'avait rien a se reprocher après tout....
Sauf pêut etre ses oreilles bien dissimulées derriere son menteau à capuche...

[MJ]

Un des gardes ronchonna un moment dans sa barbe, machouillant sa moustache, puis il déclara d’une voix rude :

« Par ma barbe ! C’est bien la première fois que j’entends parler de nains vivant plus au nord que Tumunzahar et Gabilgathol ! Un nain de derrière Angband, dis-tu ? Messire nain, que voilà un nom de sinistre réputation »

Il cracha par terre, marmonnant des jurons dans sa barbe :

« Ishkhaqwi ai durugnul, Je crache sur votre tombe »

Puis il soupira :

« Mais bon, comme mon père me l’a toujours dit, les affaires sont les affaires. Suivez la voie de Durin. A deux jour de marche se trouve Khazad- dum, mais des relais et des auberges ont été aménagés tout au long de la voie de Durin. Si vous le souhaitez, vous pouvez également louer des poney si vos jambes ne vous portent plus. Je gage qu’après un si long voyage depuis le nord, vous devez avoir l’estomac dans le même état que la semelle de vos bottes. Vous trouverez au prochain poste des jambons, du bon pain de route et une bière de grande qualité. Bonne route, messire nain ! »

Courseur remercia le nain, mais avant de partir il lui dit :

"Je viens de derriere Angband, mais pas de juste a coté, nous ne sommes pas sous son controle.
Vous n'avez jamais entendu dire qu'un peuple nain était soumis a un seigneur non-nain, et bien moi non plus !
Sachez aussi que il y a sept père des nains, durin nest que l'un d'entre eux
Merci des resneignements."

Courseur marcha ensuite jusque tard dans la soirée et arriva dans l'un des relais sur la route de Kazad-Dum.
Il se présenta à l'auberge et demanda une chambre, ainsi qu'un poney et du jambon.
Le tavernier perxplexe lui demanda :

Un jambon de poney ?

Courseur lui répondit: Non un ponney sellé pour demain et un jambon de porc pour manger aujourd'hui

Les taverniers étaient bien peut subtils

[MJ]

Le nain aperçut non loin de lui deux autres nains attablés devant un nombre respectable de chopines. L’un, le plus âgé, avait un ventre des plus imposant qui passait par-dessus une large ceinture de cuir incrustée de filigranes d’argent. Sa longue barbe blanche était tressées en 3 nattes imposantes. Son compagnon était un jeune nain vigoureux, qui lui ressemblait beaucoup. Se sentant observés, les deux nains se dressèrent aussitôt. Le plus jeune ôta dans un théâtral geste son couvre-chef, une petite casquette de laine en s’exclamant :

« Bonebitur, pour vous servir, et voici mon cousin Bonenflur. Joignez vous à nous, nous essayons de mettre à sec ce brave aubergiste ! »

Courseur se réjuit, quelque soit leur père les nains ont toujours le meme humour, courseur regarda les deux cousins, puis répondit :

"Bonne idée, tavernier sert m'en donc une"

"Un seule bière monsieur?"

"Non une charette remplie de tonnaux de ta biere"

Puis courseur s'attabla, ils parlèrent ensemble de tout et de rien.
Ils lui demandèrent ce qu'il venait, faire en Kazad-dum.
Courseur leur répondit, il n'avait rien a cacher.
Ensuite il dit aux cousins qu'il allait se coucher, pour arriver demain soir au centre ville.
Courseur leur demanda s'il était possible de faire ropute ensemble

[MJ]

Les trois compagnons ne parvinrent pas à mettre à sec l’aubergiste, finalement. Il fallut l’aide de Coureur à Bonebitur pour aider Bonenflur à se lever après leurs libations. Ce fut donc le vieux nain qui répondit à Courseur, après un rot sonore :

« Burp ! Bonne idée, ami ! Nous en profiterons pour te montrer les merveilles du Cavenain, car ce n’est pas la première fois que nous venons en ces lieux… Et nous connaissons quelques très bonnes adresses où nous pourrons faire bombance. A demain donc ! »

Courseur avait appris des deux nains qu’ils venaient des montagnes de fer ; eux aussi étaient là pour « affaires », mais ils avaient préféré tenir secrètes leurs intentions.

HRP : On dit canevin pas cavenin non?

Au petit matin,ou du moin ce qui parraissait l'être, les trois compères partirent, courseur et Bonebitur se racontèrent des histoires, parlant surtout de profit, de leurs pays d'origine, Bonenflu quand a lui dormait sur sa selle.
Courseur demanda ensuite, si leurs "connaissances" étaient plutot contrebandières ou alors de la petite noblesse.

Ensuite le reste du voyage s'accomplit dans la gaité avec beaucoup de blague d'elfe...

"C'est un homme, un elfe et un nain qui entrent dans une taverne.
L'homme commande une bière.
L'elfe une rasade de vin .
Et le nain une bonne grosse mousseuse.
Ensuite l'homme boit cul sec sa bière lance le gobelet en l'air dégaine son épée et le tranche en deux avant d'annoncer :
Chez nous en Gondor on a tellement de gobelet que, l'on ne boit jamais deux fois avec le meme.
Ensuite l'elfe termine son vin lanca la bouteille, bande son arc et tire, la bouteille explose, il dit ensuite :
Chez nous en Mirkwood, on a tellement de vin que l'on ne boit jamais deux fois avec la meme bouteille.
Le nain, finit sa mousseuse cul sec lance le tonneau en l'air brandit sa hache et tue l'homme du fgondor et l'elfe de Mirkwood avant de dire aux gens de la taverne :
Chez nous dans les mines, ya tellement de craneur que l'on ne boit jamais deux fois avec les meme personnes"

Là dessus les compèrent rigolèrent un coup et Bonenflur tombat de son poney, il fallu le remttre dessus.
A la fin de la soirée ils arrivèrent enfin dans la légendaire citée de Kazad-dum

[MJ]

Le reste du voyage se déoula donc dans la bonne humeur. Visiblement, Bonenflur et Bonebitur étaient ravis de voyager en compagnie de courseur. Bonebitur connaissait peu de blagues sur les elfes, mais il en connaissait un rayon sur les blagues orcs. Celle qui expliquaient pourquoi lors d’un mariage les convives orcs s’enduisaient d’excréments fit rire tout le monde. Le petit groupe suivit la voie de Durin qui traversait de part en part les Montagnes Brumeuses. Bonenflur expliquait d’une voix tonitruante (et légèrement pédante) dont les échos se répercutaient le long des galeries :
« La voie de Durin fait environ 80 km, elle est la partie souterraine de la Route des Nains qui part d’Erégion. Nous sommes actuellement sous le Barazinbar, que les elfes nomment Caradhras, et bientôt nous passeront sous le sommet du Zirach-Zigil, le Pic d’Argent. Nous ne sommes plus très loin de Khazad Dum, le Château Nain ou CaveNain. La voix de Durin passe par une merveille naturelle, la Cheminée de Durin : cette caverne s’étend depuis des profondeurs insondables que nul n’a encore exploré vers le sommet du Zirak-zigil ; il y’a quelques siècles un escalier a été aménagé dans la cheminée de Durin, permettant d’accéder à la tour qui garde le sommet du Pic d’Argent. Mais je dois dire que je n’ai jamais eu le courage de grimper là haut, c’est pas un truc pour un bon nain ! »

« Surtout un nain avec ton embonpoint ! », rétorqua sur un ton mi-moqueur mi-amical Bonebitur.

Les deux nains avaient soigneusement évité les questions de Courseur concernant leurs "affaires". Alors que celui-ci se disait qu'ils n'aborderaient probablement plus le sujet, Bonenflur prit la parole:

"Hum, nous en reparlerons. Plus tard."

Courseur buvait les paroles historique de Bonenflur, son voyage ne lui aura pas seulement rapporté beaucoup d'argent, mais en plus il aurai la joie de raconter a son peuple les merveille de leurs cousins les fils de durin.
A l'arrivée devant Cavenain, courseur dit aux autres:

Eh bien, après les cachots de Fondcombe, me voici encore sous-terre, mais c'est quand même mieux ici !
Je vous paye l'auberge mes amis, choisissez celle que vous voulez.
Mais dans la limite du raisonable

[MJ]

-"voilà une proposition des plus sympathiques", maître courseur, répondit Bonebitur sur un ton enjoué.

-"mais nous préférons payer nous même nos chambres", poursuivit Bonenflur sur un ton plus sévère, sa blanche barbe tressautant sur son ventre rebondi. Il poursuivit sur un ton plus amène:

-"Nous n'avons qu'à nous retrouver d'ici quelques jours à l'Auberge du Bras Amical... Il se pourrait que nous ayons des affaires communes, si vous n'avez point froid aux yeux, mon ami".

Après avoir échangé moult courbettes à la manière des nains, les nains partirent chacun de leur coté.

Courseur se promenat dans cavenin, discutailla avec les habitants
Il appris nombreuse choses, puis se rappellant de ce que Bonenfleur et Bonebitur, lui avait dit sur les affaires, il se dit qu'il était temps de continuer son contrat.
Il alla donc a l'auberge du bras amical, l'enseigne était très originale, un bras qui essayait d'en faire tomber un autre.
Il demanda ensuite a l'aubergiste, si ses anciens compagnons étaient passé par ici.

Mwais, zont meme louer une chambre, ils sdont partis se matin, mais vont revenir , lui dit le tavernier

Courseur lui répondit : Merci, servez moi donc une bonne pinte de mithril mousseux, votre fameuse bière, légère

Courseur prit sa bière en commanda d'autre en attendant le retour de ses compagnons

[MJ]

Evidemment, Courseur était revenu bredouille, les nains qu’il avait rencontré n’ayant pour rien au monde voulu céder du mithril à un nain inconnu, cette substance étant la plus rare des Terres-du-Milieu et ne se trouvant que dans les mines secrètes de Khazad-Dum. Alors qu’il réfléchissait sombrement à l’avarice tristement célèbre des gens de son peuple, et tout particulièrement du Peuple de Durin qui habitait le Cavenain, ses deux compagnons de la veille entrèrent dans l’auberge, accompagnés de deux autres nains. Ils étaient relativement jeunes, pour des nains. Leurs blondes barbes n’étaient pas très fournies ; elles étaient tressées et ornées de perles. Ils portaient tout deux des hauberts de cet acier nain que seuls savaient forger les artisans des Khazad-Dum, et dont on disait qu’il pouvait arrêter la hache la mieux maniée. Des bottes de cuir remontaient jusqu’aux genoux, et à leurs ceintures pendaient de grands heaumes de fer. Ils posèrent sur contre le mur de grandes haches, dont la tête était enveloppée de cuir, à la fois pour les protéger et pour montrer leurs intentions pacifiques en ces lieux. Ils avaient l’air de rudes guerriers, malgré leur jeune âge.

Jetant un coup d’œil par la porte entrouverte, Courseur aperçut 6 poneys lourdement chargés, comme pour un long voyage. Bonebitur s’avança et soulevant une fois de plus sa casquette de laine à sa manière extravagante, présenta les nouveaux venus en ces termes :

« Voici Gror et Fror, deux robustes guerriers, qui me sont apparentés par ma grand tante du coté maternel ».

Les deux nains s’avançèrent et s’inclinèrent, quoique de manière fot roide à cause de leurs imposants hauberts. Une fois les cinq nains attablés devant une bonne bière, Bonenflur prit la parole :

« Hum ! En tant que doyen de cette table, c’est à moi qu’il revient d’expliquer les choses, il me semble ».

Il se pencha en avant, prenant des airs de conspirateur et, baissant le ton, demanda :

« Tu nous as dit que tu étais bon forgeron, et cela pourrait nous être utile, car sous peu nos haches auront du travail et un bon forgeron est toujours utile. Mais surtout, sais tu manier la hache ? »

Question triviale posée à un nain, bien sûr, mais le véritable sens n’échappa pas à Courseur : était-il tenté par une expédition guerrière ?

Avant de dire oui, courseur releva son capuchon, et tous purent appercevoir ses oreilles pointues, après avoir remis ce capuchon, il expliqua aux nains cette malformation de naissance et que pour prouver qu'il était fier de sa personne
(chose très importante chez les nains) il ajouta qu'il maniait également une courte lame elfique.
Mais qu'une expédition, tant qu'elle soit rémunérante, ne le dérengerait pas, on ne crache pas sur l'argent.
Puis il demanda quelle rémunération il en récupérerait, et d'autres question utiles a ce genre d'expédition

[MJ]

Bonenflur, une main sur sa panse rebondie, regarda Courseur dans les yeux, comme si il évaluait quelque minerai. Puis il caressa sa longue barbe blanchie par les ans avant de répondre :

« Du profit, il yen aura, c’est certain… Mais il y aura surtout de la gloire, mon bon ami nain ! Et qu’existe-t-il de meilleur sur cette bonne vieille Terre-du-Milieu, je te le demande ? Bref… »

Il fit une pause théâtrale, buvant de longues gorgées à sa chopine, avant de poursuivre après un rot sonore :

« Et bien, je gage que tu as entendu parler de Erebor, le Royaume Sous la Montagne ? Tu sais sans doute qu’il y’a quelques années, un dragon, Smaug le Doré, l’un des plus puissants de sa race, a chassé les nains de sous la montagne et s’est emparé de leur trésor, avant de disparaître dans les plus profonds souterrains qui se sont effondrés derrière lui. Pour ce qu’on en sait, il est peut être mort dans un éboulement, ce fichu dragon, car il n’est jamais reparu à l’air libre. Quoi qu’il en soit, des nains se sont réinstallés à la Montagne Solitaire, il y a même un régent là-bas, mais personne n’a jamais osé prospecter les galeries effondrées, de peur de tomber sur le dragon, si il vit toujours. Eh bien, il se trouve que quand j’étais jeune, un ami qui m’étais très cher ma sauvé la tête d’un coup de cimeterre d’un grand gobelin. Cet ami est mort aujourd’hui, mais son fils a décidé de s’emparer du trésor du vieux dragon. Comme j’ai une dette envers sa famille, je lui ai promis de recruter pour lui des nains dignes de ce nom… »

Bonenflur finit sa chopine, la mousse de la bière restant accrochée dans ses moustaches. Ce fut Bonebitur, son cousin plus jeune, qui parla :

« Alors, tu en es ? »

Courseur souris un sourire qui voulait grandement dire que l'on ne crachait pas sur l'argent, il se laissa choir sur la chaise et dit a ceux qui était présent a coté de lui

Bien sur que j'y suis.
J'ai d'ailleur dans mon sac quelques cottes de mailles en acier gris-bleu dont mon peuple a le secret, je vous le spreterait volontier, c'est inférieur au mithril mais c'est beaucoup moin cher, en restant plus solide que une cotte normale.

Courseur voulu vidé le restant de sa chope avant de s'appercevoir qu'elle était vide , son sourire s'effaca.
Puis il rajouta :

Ma choppe est vide, je suis donc en disposition pour partir maintenant

[MJ]

Les nains se levèrent pour admirer le travail de courseur, leurs doigts habiles passant sur les mailles des hauberts, leurs regards avertis examinant la façon dont le métal s'enchevêtrait pour produire une protection efficace. Bonebitur prit la parole:

"Mon ami, j'ai rarement vu travail aussi habile. Les forgerons de ton pays doivent être des gens avisés et fort prospères. Quand cette histoire sera terminée, c'est avec joie que j'irai parcourir avec toi les forges de ton royaumes!"

Bonenflur apprécia du chef, puis posa sur son crâne un casque de cuir.

"Hum, mieux vaut ne pas vendre la peau du dragon avant de l'avoir tué, mes amis! Ce trésor est loin d'être gagné, et je gage que cela ne se fera pas sans un lourd labeur. Bien! Mettons nous en route! Quand à toi, Courseur, tu es des nôtres! Notre prochaine destination est Dale, près du Mont Solitaire, ou nous allons rejoindre le reste de notre compagnie! En route, et haut les coeurs!"

HRP: je te laisse poursuivre ce récit dans les "voyages"

Courseur salua les nains puis dit :

Nous faisons la route ensemble j'espère.

Puis courseur sortit dépenser de l'argent pour l'achat d'un poney.
il ne manqua pas d'envoier des matières première et des nouvellesa son assistant resté au pays .
Puis courseur enfourcha sa monture et se mis en route
fredonnant une veille chanson de son pays :
Sur la route tadam talalala sur la route...

Sujet: Re: Un commercant entre en villle