les adieux au rohan

HRP : Sont convié dans ce topic, Morphelin, Grimbold, Tulkas, Theodwyn, Eodwyn , Sileas.



Quelques jours avaient passés depuis l’arrivée des morts et Eodred se reposait tranquillement. Tous avaient eu peur cette nuit la mais il était en vie, en vie, il avait résisté aux morts mais a quel prix. Celui de la terrible décision qu’il allait annoncé dans un court moment. Il se leva du lit, dans la pièce ou il était seul. En fait seul eodwyn venait le voir assez régulièrement. Le mariage était terminé, l’armée des mort l’avait gaché mais cela ne remettait pas en cause le plus beau, les amours des mariés et c’etait bien la l’essentiel. De tous les invités seul sileas et sa famille était resté, car eodred avait murmuré son nom dans son sommeil. Il s’habilla difficilement, revetant un tatan rouge a carreaux ainsi qu’il fixa akudjuki dans son dos. Il respira doucement, puis sortit de la pièce. Il avait pris un canne pour s’appuyer tant il avait pas encore récupérer de son choc. Doucement il revint dans le salle du trône, la même ou il avait convoqué un réunion, un rassemblement de ses proches. Tous se levèrent, et Eodwyn pris le bras de son epoux pour le mettre sur le trône du rohan et elle s’assit a coté de lui. Etait present dans la salle, les epoux nirdin et theodwyn, grimbold, sileas, eodwyn et deux hommes qu’eodred ne connaissait pas mais qui avait demander a voir le roi ; aussi il parla d’une voix calme et posé :

« Mes amis, ma famille, ces jours furent long et vous avez été inquiet pour moi, je vous en remercie. Aussi je vais devoir m’absenter quelques temps, je dois aller dans le nord voir quelqu’un. Aussi j’aimerais m’entretenir avec chacun de vous. »

Il fit venir sileas avec handir et elrinna :

« Encore une fois je vous remercie de votre venue en rohan, j’aimerais sceller une amitié et une alliance permanente avec ma nouvelle famille en brethil. Qu’en pensez vous ? »



Il se tourna alors vers les deux nouveaux presents dans la salle :

« je ne vous ai jamais vu vous deux approchez et dites moi ce que vous voulez »
Il attendit alors les reponses des 1iers entretients.

Morphelin avait accourut a l'annonce que le Roi Eodred le recevrait.
Il était entré dans la vaste salle de réception du palais et avais patienté avec d'autres personnages apparement important . Il voyait les traits tiré du Roi dans lequelle il reconnut les malheurs qui ont frapper et qui frappe encore le Rohan . Qaund le Roi l'appelle il s'avance :

- Mon Roi excusez moi de vous importunez injustement mais le villages dans lequel j'ais vecu a été détruit par les flammes du Mordor ! Les vils Orcs , maudit soit-il . J'aimerais venger les miens et je vous demande l'autorisation de lever une compagnie d'éclaireurs et de chasser les hordes ennemis qui traversent et pille le territoire en toutes impunité !

Morphelin tremblais d'indignation envers ses vils monstres tandis que le Roi le fixait d'un air triste .

Le roi écouta attentivement les paroles des deux hommes venus le rencontrer a coté de ceux-ci sileas et sa suite restait silencieuse pour le moment aussi il enchaîna, il se devait de partir assez rapidement et les adieux a eodwyn risquait d’être assez long :

« Vous devez faire vos preuves, vous morphelin, partez en reconnaissance avec dix homme de Theodwyn prêt de la frontiere avec l’isengart, voyez ce qu’il prépare et si vous pouvez avoir un état de leur force. Vous Tulkas, je vous confie le soins d’escorter dame sileas et sa suite jusqu’en brethil. Restez chez eux pour leur faire connaître le rohan et pour nous faire connaître le royaume de brethil. Dame sileas, vous n’etes pas obligé de me repondre maintenant, si vous voulez rentrer chez vous, allez y, je sais la route longue et que votre royaume doit sûrement vous manquer. Grimbold, Theodwyn, Nirdin avancez. »

Les trois personnes avancèrent jusqu’au trône et eodred se leva s’apuiyant sur la cane :

« Les dame d’abord fit il avec le sourire. Theodwyn, tu vas me manquer, j’aimerais que tu assure l’intendance avec Eodwyn durant mon absence et t’inquiètes, tu me connais je reviendrais ( il serra sa petite sœur dans ses bras). Nirdin, tu es devenu mon beau frère maintenant, tu veilleras sur theodwyn même si elle n’a sûrement pas besoin et ma famille en mon absence (il enlaça son beau frere). Grimbold, tu t’occuperas du rhovanion, et surveille bien le rhun et le nord qui échappe parfois a notre contrôle, fais attention a toi (il serra son frère). »

Puis il dit :

« Allez mes amis, les valars sont avec vous a jamais. Vous me manquerez mais je dois rester seul avec eodwyn pour finir mes adieux en rohan. »

Aussi toutes les personnes présentes sortirent les uns après les autres en saluant le roi un dernière fois avant longtemps.

[HJ: Je vous coupe la politesse, mais bon^^]

Malgré les paroles du Prince, on frappa à la porte. Une fois qu'il eut reçut la permission d'entrer, un des serviteurs pénétra dans la salle, pour annoncer la venue d'Handrad, Surintendant d'Arnor, et le retour au foyer d'Eothain de la Marche, victorieux qui plus est. Les deux hommes entrèrent.
Eothain, entra, observant le Roi... Il le trouva fatigué. Très fatigué, même... Il remarqua une canne posée près du trône, sans nul doute utilisée par Eodred... Ce fut un choc pour Eothain. Son Roi avait toujours été un homme puissant, maniant une longue et lourde épée avec facilité... Cet homme avait le pouvoir de rassembler une des plus puissantes armées foulant cette terre, avait le pouvoir de lever les Rohirims en masse, de les galvaniser et de faire courir en eux le feu de leurs ancêtres. Et aujourd'hui, il se tenait courbé, devait s'appuyer sur une canne... Et ne portait pas son épée habituelle. En lieu et place de la familière lame se trouvait une épée aux dimensions réduites, une merveille d'habilité, qui indiquait sûrement des origines elfiques, malgré le fait que la forme rappela celle des armes utilisées par les peuples d'extrême-orient. Eothain n'avait vu une telle arme qu'une seule fois, entre les mains d'un capitaine oriental, lors d'une vieille bataille... Intrigué, il resta néanmoins silencieux.
Après tout, il n'était pas parent du roi, et devait en conséquence garder une certaine humilité face à lui...
Il salua Eodred, avant de prendre la parole.

"Mes respects, mon Roi. Je reviens victorieux de mon expédition: la bande d'Orques qui terrorisait les villages proches de l'Anduin a été détruite... J'eut la surprise sur le chemin du retour de rencontrer Messire Handrad, Surintendant d'Arnor, que voici."

Il se tût, laissant la place et la parole à l'étranger. Par respect pour ce dernier, il s'était exprimé en commun, ne voulant pas lui commettre l'injure de devoir assister à une conversation à laquelle il n'aurait rien compris.

"Avez-vous des ordres immédiatement pour moi, mon Roi?"

Ce fut sa dernière phrase avant qu'il ne se mure dans un silence respectueux. Seuls les guerriers avaient droit à un réel respect de la part de l'officier...

[Puisqu'Eothain ne s'en est pas privé...^^]

Ainsi, les deux hommes, Handrad et le capitaine rohirrim dont ce dernier ignorait toujours le nom, chevauchèrent de front en direction d'Edoras. Quand le rohirrim évoqua le fait que les gens d’Arnor voyageaient si peu escorté, le Surintendant lui répondit simplement que les routes menant d’Annumínas à Meduseld étaient plutôt sûres ces temps. Il omit de lui parler des Morts. A la façon dont celui qu’Handrad connaîtrait bientôt sous le nom d’Eothain avait réagi aux attaques des villages du Rohan, il ne devait assurément pas avoir entendu parler des Morts. Aussi, le seigneur d’Annumínas garda le silence, et ce jusqu’à parvenir aux portes d’Edoras. Là, tous allèrent mettre leur monture aux écuries et seul Handrad, accompagné de Mardil le héraut et d’un autre homme de sa compagnie, se dirigea vers le palais avec Eothain. Ils arrivèrent dans une pièce adjacente à celle de la salle du trône. En sortirent plusieurs personnes inconnues à Handrad. Il reconnut tout de même Grimbold et Theodwyn, respectivement second et première Maréchal de la Marche avec qui il avait participé à la bataille de Gouffre de Helm. Il ne manqua pas de les saluer en s’inclinant légèrement, sans qu’aucune parole n’accompagnât son geste. Puis vinrent deux hommes à l’allure de soldat. Et enfin un homme à la noble apparence sortit en donnant le bras à une elfe à la bonde chevelure. Handrad sut immédiatement qu’il avait affaire là à quelque seigneur de Beleriand accompagné de son épouse car il n’avait jamais voyagé en ces terres septentrionales d’Arda et connaissait chaque souverain de la Terre du Milieu, sans forcément les avoir rencontrés. Il les salua également puis pénétra dans la salle du trône, Eothain le précédant. Ce dernier le présenta au roi Eodred. Handrad s'avança et se mit face à celui que l'on appelait Maître des Chevaux et son épouse.

« Salut à vous, roi Eodred. Je suis venu vous apporter la parole de l'Arnor. »

Au premier regard, Handrad remarqua immédiatement l'état déplorable dans lequel se trouvait le roi. Ce n'était plus l'homme fort et vigoureux qui avait maintes fois conduit son peuple à la victoire. Eodred n'était plus que la moitié de lui-même, le dos courbé, assis sur son trône. La canne à son côté témoignait de cet état amorphe.

« Si le roi du Rohan a quelque affaire plus importante à régler auparavant, je patienterai volontiers dans la pièce d'a côté. »

Handrad savait que ce pourquoi il venait trouver Eodred était de l'ordre la plus haute importance mais il préférait ménager le souverain et saurait se montrer indulgent.

Eodred laissa parler les deux hommes puis il répondit :

« Je vous attendais plus tot dit il en rigolant. Je sens en vous un désarrois de me voir dans cet état. J’ai connu pire. »

Il se leva sans sa canne et regarda eothain :

« Je connais ton visage. Ne serait tu pas eothain le fils de Deromir. C’était le capitaine de mon unité autre fois avant qu’il meurt prêt de fangorn. C’était mon ami et il avait un fils qui s’aplait eothain. Enfin bref, pour le moment je n’ai pas d’affectation a te donner, si ce n’est de te renseigner sur les morts, comment on peut les éloigner, les vaincre. Vous pouvez rester pour le moment»
Il se tourna vers Handrad :

« Seigneur handrad, je suis content de vous voir. Vous nous ne déranger pas, en fait je reservais mes adieux pour eodwyn, mais on garde le plus difficile a la fin. Les temps sont dur seigneur handrad, voila six mois que le front est calme. Le nouvel empereur ne m’inspire pas confiance, elessar n’a pu être vaincu ni laisser son royaume a quelqu’un d’autre que son fils. L’isengart se réveille brutalement. J’ai déjà posté des hommes prêt de la frontière. Le rhun regagne de l’activité aussi et ces morts qui viennent brutalement annonce la période de guerre. Il faut sceller une alliance seigneur handrad, une alliance qui nous permettra de déployer rapidement nos armée en en cas d’invasion et disposer d’une force assez conséquente pour riposter. »


Il s’arreta un instant puis un halo de flamme rouge l’entoura et il poussa un cri en tobant a genoux. Relevant la tete, chacun vit alors ses yeux remplis de flamme rouge, l semblait possedé. Mais tout disparu soudain. Laissant eodred affaiblit. Eothain et Eodwyn le relevèrent et le mirent sur le trône, dans un souffle :

« Je vous expliquerais ce qui viens de se passer mais chaque chose en son temps. A vous la parole messieurs. »

Eothain sourit quand Eodred évoqua son père.

"Vous avez bonne mémoire, mon Roi, mon père eut bien l'honneur de vous servir, et plus encore, de mourir durant une bataille qu'il mena pour vous..."

La réponse du Roi le surpris quelque peu... Se renseigner sur les morts... Jusque là, tout allait bien, Eodred voulait sûrement savoir quelles étaient les victimes des barbares attaques dont avaient été victime certains villages... Mais, quand il parla de "comment peut-on les éloigner?" et "comment peut-on les vaincre?", le jeune chef de guerre resta un instant perplexe... Soit son roi faisait référence aux auteurs de l'attaque, soit il délirait... Eothain se tourna discrètement vers Handrad, mais ce dernier ne paraissait pas plus intrigué que s'il avait été question d'Orques... Il s'apprêtait donc à demander un éclaircissement quand Eodred repris la parole, parlant des dangers des temps présents, du réveil d'Isengard, de la reprise de l'activité de Rhûn, ... et des Morts! Cette fois, Eothain ne comprenait plus grand chose à la situation.
Pour la seconde fois, il s'apprêtait à demander des explications, quand survint la "crise" d'Eodred. Il fit en pas en arrière, surpris, avant d'en enchaîner un autre en avant, pour porter assistance à soi Seigneur. Le temps qu'il soit à ses côtés, le halo rougeâtre, tout comme la flamme couleur de sang qui un instant plus tôt brillait de mille feux dans les yeux du roi, disparurent. Il toucha Eodred en même temps qu'Eodwyn, et tous deux l'aidèrent à se réinstaller sur le trône, le jeune homme se permettant de lander à la reine un regard interrogateur. La jeune femme n'eut pas besoin de parler, Eodred annonçant des explications prochaines...
Voyant qu'il avait là une occasion de demander une fois pour toute des précisions, Eothain repris la parole.

"Et bien... Monseigneur, je ne comprend pas trop ce que vient faire cette histoire de morts... Qu'on veuille savoir combien furent les victimes, leur identité à la rigueur, je comprendrai, mais là, je vois assez mal le besoin qu'il y a de vaincre des morts... N'y voyez pas de manque de respect, mais j'ai l'impression de ne pas avoir été mis au courant de tout..."

Tout en parlant, il s'était éloigné de quelques pas, reprenant sa position initiale. Il n'était guère à l'aise: d'abord parce que son maître semblait se porter bien mal, secondement à cause de ces événements dont il ne savait rien, et enfin à cause du mystérieux halo rouge... Et comme si cela ne suffisait pas, Handrad n'avait été nullement surpris que le Roi se mette à parler de Morts qu'il fallait combattre...
Il pris le parti d'attendre une réponse de la part des deux seigneurs présents...

Handrad afficha un demi-sourire à la remarque du roi Eodred, avant de lui rétorquer:

« Il est vrai que je n'ai pas souvent eu pour spectacle un roi courbant l'échine. Maintenant, si vous me dites que vous avez connu pire... »

Handrad laissa ses paroles en suspend. En son fort intérieur, il savait qu'Eodred n'était pas dans sa meilleure forme. A présent qu'il savait que les Morts avaient aussi frappé au Rohan, il se dit que, tout comme lui, cette menace pesait sur le roi. Il garda cette réflexion pour lui-même et écouta Eothain et son roi échanger quelques paroles au sujet du père de celui-là, mort au combat pour sa patrie.

Puis Eodred porta à nouveau son regard en direction d'Handrad. Les deux hommes allaient enfin pouvoir s'entretenir quant au danger que pouvaient représenter certaines puissances voisines. Au grand soulagement du Dúnadan, le roi du Rohan n'avait non plus pas confiance en Herunumen, le nouvel Empereur qu'Handrad nommait l'Usurpateur. En ayant réussi à se faire nommer Surintendant de l'Arnor, il était parvenu à prendre contrôle d'une partie de l'Empire de l'Ouest ainsi que son armée.

Au moment où Handrad s'aprêtait à prendre la parole, Eodred glissa de son trône et se retrouva à genoux, pris dans une espèce de démence furieuse et ses yeux s'injectèrent de sang. Handrad reconnut là la même folie qui s'était emparé du capitaine des défenses d'Annumínas, sur les marches de l'escalier du palais. Eothain et l'épouse du roi lui portèrent secours et le rassirent sur son trône. Eodred était redevenu normal. Handrad hésita quelques secondes mais son vis-à-vis l'incitait à parler.

« Il apparaît à présent comme une chose évidente qu'il nous faut se méfier de l'Empereur. Ce Herunument n'aurait-il pas conclu quelque accord avec le Nécromancien que cela ne m'étonnerait guère. Et si le front est si calme, comme vous le dites, c'est que nos ennemis se préparent secrètement à l'offensive. J'ai vu l'émissaire de l'Isengard, ce Grima, apporter mille trésors resplendissants à l'Empereur de la part de son maître. Le magicien blanc est rusé et je doute fort qu'il prenne à cœur son état d'assujettissement à l'Ouistrenesse. Curunir n'acceptera pas son rôle de pantin envers l'Empereur. Ou si c'est le cas, le fera-t-il pour mieux le poignarder par la suite.
Je tiens à récupérer les cités de Tharbad et de Lond Daer. Saviez-vous, roi Eodred, qu'en ces lieux ont été érigés des autels au Vala Melkor ? Y pensez me donne la nausée. »

Handrad s'arrêta, laissant au roi le temps de bien assimiler ses propos.

« Jadis, en des temps bien mémorables, sur la colline d'Amon Anwar, Eorl des Éothéod et Cirion le Surintendant prêtèrent serment que durerait une éternelle amitié entre leur deux peuples. Aujourd'hui, je viens renouveler ce serment. Puissions-nous nous apporter une aide mutuelle et que tremblent nos ennemis devant nos forces réunies. »

Alors, Handrad s'avança vers le roi. Il lui prit la main et la serra dans la sienne. Il sentit l'ardeur qui s'en émanait. Relâchant gentiment prise, il se recula et contempla le roi.

[HRP: je laisserai le soin à Eodred de répondre à Eothain au sujet des Morts^^]

[ j'interviens il faut quand meme que je parte ^^ ]

Après avoir recu l'ordre du roi Morphelin c'était réjouis, que 10 hommes mais cela suffisait pour venger les siens ! Il executerais sa mission avec brios et il reviendrais fier et puissant ! Du moins ainsi était son espoir .
Puis 2 hommes rentrèrent à l'allure altière et donc les armures cabossées dénottait de nombreuses et rudes batailles . En les voyant prendre la parole il se rendit compte que le sujet lui était totalement inconnu et désirant partir au plus vite il profitea d'un instant de silence pour se r'avancer .

- Merci pour les hommes que vous m'avez gracieusement accordé Puissant Eodred . Je mènerais ma mission a bien dusais-je en mourir . Me vie appartient au Rohan et à sa sureté . Je demande donc de pouvoir me retirer pour préparer ma mission et choisir les hommes et les vivres . Puisse l'honneur et la gloire toujours éclairer le Rohan et son Roi .

Puis morphelin se dirirgea lentement vers la sortie en dévisageant encore une fois le magnifique palais et ses habitants tous plus ou moins malheureux et fatigué . il n'avait pas remarquer de prime abord la canne du roi mais la voir maintenant lui fit froid dans le dos car les temps n'était pas faste ni tranquille pour le rohan . Néanmoins il ferait de son mieux .

Eodred écouta en respirant lourdement la réponse des deux hommes. Il commença par répondra a handrad :

« Le serment d’Eorl concernait le gondor, non l’arnor mais je serais heureux de sceler le serment d’edoras avec vous. Par le serment d’edoras fait ici en présence d’eodwyn du rohan et d’eothain le rohan promet de venir en aide a l’arnor si il le demande. Ce serment incluse aussi un juste retour des choses de la par de l’arnor. Etes vous d’accord seigneur handrad. Sachez qu’il nous faudra le maximum d’effectif possible, le magicien blanc est bien plus malicieux que vous ne le pensez. »

Il laissa un silence avant de repondre :

« Vous vous posez des questions sur les morts je suppose et aussi l’halo rouge qui ma saisit tout a l’heure. Je ne sais pas d’où ils viennent nous comment ils sont apparus mais ils sont la a présent : Les morts. Je veux dire des fantômes, d’hommes et de femmes se vengeant sur les enfants. Tout armée, toute choses qu’elle soit puissante ou non possede une faille, une arme cpapable de la détruire. Il faut donc savoir si quelqu’un sait dans la terre du milieux comment peut on battre ses morts. Voila la mission que je vais te confier Eothain. »


Il s’arreta encore avant d’enchainer :


« Vous vous posez des questions sur l’halo. Pour comprendre il faut que je sorte Akudjuki, la lame d’oromé.( il sortit la lame qui fut entouré d’un halo rouge). Voila d’où vient mon malaise. Ce que je vais vous dire doit rester ici, je l’ai appris de l’épée lorsque j’étais évanouit. Il y a bien longtemps, Morgoth avait un serviteur plu puissant que sauron lui-même. Il terrorisait la terre du milieu et les créature d’illuvatar. Alors qu’il propageait son chaos, un homme se dressa contre lui ou plutôt un valar, il s’agissait d’oromé la valar. Il s’etait fais forgé cet lame dans les profonds est sur une île nommée Itochi. Elle avait le pouvoir d’aller plus vite que l’épée du demon en question. Un combat titanesque se deroula entre eux. Une semaine s’ecoula avant que par une feinte oromé frappa son adversaire et aspira son ame par un sortilege dans l’épée. L’épée etait desormais maudite et il devait regagner Valinor. Mais avant il confia l’épée aux elfes noldo, leur chargeant de purifier et de calmer l’esprit du demon. Pendant des siecle elle fut cachée par les elfes, mais galadriel me la remis recament, je ne sais pour quel raison. Elle m’a juste murmuré que c’est mon destin de la porter. Alors je l’ai pris ignorant le danger mais un mort, il y a peu l’a réveiller en touchant la lame. Le démon veut sortir et tente de s’emparer de mon âme pour renaître. Depuis quelques jours je le combat, mais il gagnera tot ou tard. Il y a un moyen de s’en défaire, je dois aller a Itochi, la ou la lame a été forgé pour que son créateur détruise une bonne fois pour toute l’âme de ce démon. Voila pourquoi je m’exile et voila pourquoi je dois le faire seul. Maintenant si vous n’avez pas de questions, je dois faire mes adieux à Eodwyn en privée. »

Il parlait d’une voie claire, et attendait qu'une chose:

Les adieux a eodwyn

Eothain mis quelques instants avant de commencer à entrevoir quelle était la situation... Il mis le manque de clarté des explications de son Roi sur la grande fatigue qui accablait celui-ci, et décida de demander plus de détails à Handrad le cas échéant... Il s'inclina en signe d'assentiment...
Quand Eodred tira son épée du fourreau, la main du jeune guerrier échappa à son contrôle, et se porta à la poignée de sa propre lame. Akudjuki contenait un mal pur et simple... Il le ressentait, et ne voulait rien avoir à faire avec lui... Il écouta son roi parler avec un malaise grandissant sur le visage...

"Je m'acquitterai de la tâche que vous me confiez du mieux que je pourrais, mon Roi... Qui est chargé de l'Intendance du Royaume, afin que je sache à qui reporter? Et qui sera en charge des armées?"

Il était de plus en plus soucieux. Comme si cette histoire de morts tueurs à laquelle il n'avait pas tout compris ne suffisait pas, il fallait que non seulement son Seigneur soit souffrant, mais qu'en plus de cela il doive s'exiler pour exorciser un démon d'une arme... De quoi rendre le jeune homme confus...
Il comprenait que son Roi veuille faire ses adieux à sa reine le plus vite possible, mais il y avait encore quelque chose qu'Eothain se sentait devoir demander...

"Si je puis vous le demander... Qui vous accompagnera dans votre quête, mon Roi?"

Question essentielle: la sécurité de son roi... Le ton d'Eothain indiquait qu'il était réellement inquiet pour lui... Et que malgré la crainte que lui inspirait l'arme maudite, il n'hésiterait pas à se porter volontaire pour faire partie de l'escorte...

"Puisse la victoire suivre les vôtres, Handrad de l'Arnor..."

Le silence du Roi avait été éloquent. Le jeune Rohirim avait une mission à accomplir désormais... Il salua son Seigneur, et sortit de la salle, laissant seuls Eodred et son épouse... Mariés il y a peu, et devant déjà se quitter... Il regarda le palais avec un oeil nouveau. Il avait été heureux de le voir se profiler à l'horizon, car c'était synonyme de repos, pour lui, pour ses hommes, pour les chevaux. Au lieu de cela, il avait trouvé son Roi défait, parlant de choses assez confuses... Il avait vu le regard d'Handrad, et l'interrogation de celui-ci quand à la santé mentale du Souverain était légitime.
Néanmoins, il y avait au moins quelques éléments dont on ne pouvait douter... Primo, les massacres avaient bien été commis par quelqu'un. Deuxio, Handrad, qui n'avait pas l'air mentalement atteins, avait renchéri sur la nécessité de trouver des informations sur les "Morts". On pouvait donc en déduire que sur ce point là au moins, Le Roi de Rohan ne délirait point... Tertio, concernant Akadjuki, l'instinct paysan d'Eothain avait ressenti le mal... Il pouvait de toute façon s'abriter derrière sa loyauté pour justifier l'apport de son soutient à son Seigneur...
Ses pensées avaient occulté la commande de ses pas, et quand il revint à la réalité, ceux-ci l'avaient amené sur le parvis du palais... Comme d'usage, la Garde Royale se tenait là, prête à tout pour protéger le souverain régnant de Rohan. La vue qu'on avait sur les plaines de Rohan s'étendait sur plusieurs lieues... La tristesse envahit son coeur. Son pays se retrouvait sans chef. Bien sûr, il y aurait des gens nommés par le Roi pour assurer l'intendance... Sûrement Eodwyn, Theodwyn aussi, peut-être... Grimbold était aussi homme à s'être vu confier une responsabilité... Il y avait là de grands noms, certains avaient une telle renommée que le peuple les suivrait... Mais il y avait toujours un danger...
Il savait par expérience que le problème de la légitimité se posait toujours. Un de ses officiers supérieurs était mort lors de la Seconde Bataille du Gouffre, et Eothain n'avait pas suivi les ordres de son remplaçant de bon coeur, lui désobéissant même pour porter le combat à un autre endroit... Dans la confusion de la bataille, on avait pris cela pour une mauvaise compréhension des ordres, qui avait mené à un résultat équivalent... Jusqu'à quel point le peuple était-il prêt à suivre ces remplaçants? Pire, jusqu'où étaient ils prêts à les suivre en restant uni? Il suffisait d'un désaccord pour que chacun de ses grands noms ait un camp, une armée... Et les choses seraient pires...
Eothain secoua la tête, chassant ces mauvaises pensées de son esprit. Mais autour de lui tout semblait mort... Le soleil était constamment voilé par de sombres nuages, ce qui faisait planer sur les plaines une ambiance crépusculaire... Un mal était à l'oeuvre, un mal qu'on ne saurait fuir, un mal qu'on ne saurait combattre par des moyens classiques... Il se redressa. Pris une décisions. Hélant un garçon d'écurie qui passait non loin:

"Eh! Toi! Fais passer le mot aux écuries, je veux mon cheval et ceux de mes hommes prêts à partir demain dès l'aube. Tu les reconnaîtra facilement: les selles sont posées non loin de chacun, et sur le tapis de chaque est brodé une épée et un bouclier croisés..."
"Ça sera fait, Seigneur!"
Avec un sourire:"Et je ne suis pas un Seigneur... Juste un Capitaine..."

Il regarda le garçon d'écurie s'éloigner... Il lui restait à annoncer la nouvelle à ses hommes, connaissant leur tendance à se transformer en soûlards sitôt une mission terminée... Voilà qui n'allait pas leur plaire, mais il le fallait... Il prit le chemin de la caserne où ils étaient logés.
Passant la porte, il s'aperçut que la fête avait déjà commencé. Il tenta de se faire entendre, mais sa voix, bien que relativement puissante, ne couvrait pas le bruit ambiant... Il escalada un banc, puis monta sur une table. Il fallut quelques minutes pour que la nouvelle de son arrivée circule partout, et beaucoup moins de temps pour qu'on lui porte un toast. Eothain tendit ses bras, demandant le silence, qui fut de mise après quelques hésitations.

"Navré d'interrompre une fête allant si bon train... Mais je dois jouer les oiseaux de malheurs... Le Roi nous a confié une mission. Nous devons nous renseigner sur ceux qui ont commis ces massacres..."

Il y eut un silence de mort, et il ne manquait plus que le bruit d'un grillon chantant au loin pour compléter le tableau.

"Et il veut que ça soit fait le plus rapidement possible... Je suis tout aussi surpris que vous. D'autant plus que toute cette histoire est particulièrement embrouillée, mais passons. Ces ennemis ne sont pas comme ceux que nous avons déjà combattu..."

'La suite du programme va vraiment leur plaire' pensa-t-il.

"C'est pourquoi demain dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, nous partirons pour la Lothlorien."

Tollé est un mot un peu faible pour décrire le concert de protestations qui s'éleva presque aussitôt. Il fallut à Eothain plusieurs minutes pour rétablir un semblant d'ordre. Dans le même temps, il comprenait ses hommes. Ils avaient été élevés dans une crainte religieuse de la Lorien et de sa dame... Tout comme lui.

"Ne croyez pas que j'y ailles de bon coeur, car j'aurais préféré une autre fin que perdu dans les toiles enchanteresses des Elfes qui habitent ce bois... Mais le Roi me l'a demandé, et vous le savez, je n'ai qu'une parole. J'ai juré de servir ce pays jusqu'à ma mort, et je compte le faire! Je ne vais pas vous forcer à m'accompagner. Qui m'aime me suive et me retrouve demain à l'aube devant les Portes d'Edoras!"

Il quitta une assemblée médusée. Il connaissait suffisamment ses homes pour savoir qu'une bonne partie viendrait... Mettons au moins les deux tiers... Nettement suffisant pour une visite de politesse...