Renaissance.

HJ : Je vais me servir de se sujet pour expliquer le retour de Revan et faire la transition entres les événements passé jusqu'a l'époque actuel.


HALTE !

Dans les terres arides du sud, une petite charrette d’une famille se fait intercepté par des hommes qu’ils connaissaient bien de par leur renom et leur cruauté. Les mercenaires de la croisade écarlate étaient bien connus dans les régions du sud. Le couple accompagné de leurs petites filles n’était pas du coin, se qui attira l’attention des mercenaires avide de richesse. Les cinq hommes encerclaient la petite caravane alors que son conducteur se préparait à livrer bataille contre ses assaillants quand soudain, un homme se leva de la charrette. Ses cheveux long cachait son visage, ses cicatrice sur son corps démontrait son martyr mais ses yeux perçant qu’on pouvait entrevoir entres ses cheveux n’annonçait rien de bon. Ce regard rappelait quelques choses au mercenaire, un homme qui avait autrefois marché sur cette terre maudite et qui y avait laissé sa trace. Un homme qu’on préférait éviter plutôt qu’affronter, un homme aussi sombre que les terres maudites du seigneur des ténèbres. Sans son armure, il semblait être un homme comme tant d’autres, mais ses yeux cyan et percent le trahissant à chaque fois. Les mercenaires hésitèrent un instant, dégaina leurs armes, soudainement pris par une peur qu’ils n’osait avoué. Leur chef, arrogant et doutant toujours de l’identité de cette homme s’exclama alors :


Au nom des mercenaires de la croisade écarlate, je vous ordonne de nous suivre jusqu'a notre campement. Si vous refusez , nous allons prendre se qui nous revient de droit et laissé pourrir vos cadavres.


Jonas,le père de la famille, dégaina son épée avant de s’exclamer.

Nous restons ici, car je sais que tu nous réserves le même sort si nous acceptons. Tes camarades ont tenté la même chose et je ne me ferais pas avoir une deuxième fois. Je préfére mourir plûtot qu'être ton esclave.



Le chef ne pu s’empêcher de sourire après la déclaration du conducteur de la charrette. Pour qui se prenait t-il pour tenir tête au grand Tarak ? Se demanda-t-il alors qu’il dégainait son épée, sur-estimant ses capacités et se basant sur le nombre supérieur de ses mercenaires. Il fut le premier à charger en direction du père de famille, et le premier à mourir.


Le mercenaire se frotta à l’assassin qui en avait décidé autrement. Arouk alias Revan , intercepta l’arrogant barbare avec un croche-pied. Avant que celui-ci n’ait le temps de se relever , l’assassin lui cassa le bras et lui prît son arme. Le mercenaire n’eût le temps que de crier qu’une dernière fois avant que Revan ne lui porte le coup fatal et que son cerveau ne soit éparpillé sur le sable brûlant. Les mercenaires réalisant que leurs craintes étaient bien fondées décidèrent de prendre la fuite en laissant en paix la petite famille. Cependant, cette démonstration de ses talents trahit le peu de confiance que la famille avait en cet homme mystérieux qu’il avait trouvé au fond du cachot. Le père de famille pointant son épée vers l’assassin désormais, troublé par la démonstration de force que l’avait assassin avait réalisé sous leurs yeux. La mère tenait dans ses bras sa petite fille, marqué à jamais par cette image qui allait hanter ses cauchemars pour les années à suivre. L’assassin silencieux fixait le cadavre du mercenaire avant de retirer l’épée de son crâne. Jonas, prêt à défendre les siens s’exclama alors.



Qui est-tu ?

Votre sauveur. répondit l’assassin avec calme.

L’assassin, l’épée en main s’approcha de Jonas. Le déserteur gondorien se prépara à se défendre mais l’assassin n’avait aucunement l’intention de s’en prendre au père. Il prît la direction de la charrette avant de s’étendre à nouveau dans la charrette, comme s’il rien ne s’était passé. La famille ne sachant plus quoi faire, l’assassin se contenta de déclarer.

Vous m’avez tirez de cette enfer, c’est ma façon de vous remercier.


L’assassin ferma les yeux, prêt à retourner dans les bras de Morphée. Tristan et son épouse s’échangèrent un simple regard, considérant qu’il fallait ne pas contrarié leur nouveau compagnon de voyage. Ils continuerent leur chemin vers les terres de l'est.

Depuis leur dernière rencontre avec les mercenaires, la charrette conduite par un déserteur du Gondor et sa petite famille continuait leur chemin vers les terres de l’est. Sur le chemin, il pouvait croisé les cendres et pu voir de leurs propres yeux les marques qu’avait laissé les mort-vivant lors de leurs passages. Keisha .tenant Miron assoupis dans ses bras, semblait troublé par cette soudaine apparition qui avait changé la vie de la petite famille à tout jamais. Ils avaient cru fuir la résurrection des morts dans les terres du sud, mais il n’y avait trouvé que des hommes aussi noir que les âmes qui régnait sur le royaume désormais. Les mercenaires de croisade écarlate étaient des fanatique sans merci qui pillait et tuait tout ceux qui osait poser les pieds sur leurs territoires. Le convoi de la famille gondorienne fut l’un des nombreux à être leurré dans un piège avant d’être attaqué sournoisement.

Cependant, se fut le courage du valeureux Jonas qui changea la tournure de la bataille et qui sauva sa famille in extremis. Alors qu’il fouillait les lieux en quête de vivre, ils tombèrent alors sur Revan. Voyant que son état semblait critique , la famille décidèrent de l’amener avec eux.

Après la démonstration de force que l’assassin avait réalisé sous les yeux , la jeune femme semblait perplexe à l’idée de garder ce mystérieux inconnu avec eux. Inquiète pour la sécurité de sa petite fille et de son mari , celle-ci attendit que l’assassin soit endormis pour aborder le sujet avec son mari alors qu’il continuait leur périple sur la grande route.

- Jonas, je veux qu’il s’en aille. C’étais une mauvaise idée.. il me fait peur dit-elle en baissant la tête, ayant honte de elle soudainement.

Jonas resta silencieux un instant , gardant ses yeux sur la route. N’ayant aucune réponse , Keisha posa sa main sur l’épaule de son mari avant d’ajouter


- Tu as vu comment il à tué cette homme sans aucune pitié ? Tu sais autant que moi qui sait. Ses yeux…

Jonas prît la main de sa compagne, jetant un regard en arrière pour vérifier si Revan était toujours assoupis.

- Je préfére l’avoir de notre côté plutôt que contre nous.
- Mais… si il nous réservait le même sort que les autres ? comme ceux qui était présent au banquet…

Lorsque Keisha fut mention du tragique événement , Jonas revoyait les images se bousculer de nouveau dans son esprit. Les images d’un carnage gratuit par un seul homme qui l’hantait le père de famille encore aujourd’hui. Sa première journée en tant que garde… une journée à recoller des morceaux afin qu’on puisse donnez des noms à des restes.

Une phrase qui allait se souvenir durant toute sa vie :

‘’ Le règne de Revan vient de commencer. ‘’

Un règne qui n’avait fque bouleverser son royaume avant que finalement, il disparaisse soudainement. Au fond d’un cachot, celui-ci goûtait à la souffrance et payait pour ses fautes d’autrefois. Pourquoi l’avait-t-il sauvé ? Pourquoi l’avoir libérer ?

Le père de famille était inquiet, mais avait aussi peur pour sa propre sécurité et celle de sa famille. Il transportait avec lui l’incarnation de la mort même, mais comment pouvait-il s’en débarrasser ? Se demandait-t-il sans cesse.

Jonas se contenta de rassurer sa femme et de lui promettre qu’il allait trouver une façon de se débarrasser de l’assassin, porteur de fléau. Ils passèrent une partie de la nuit sur la route, avant de finalement s’arrêter pour la nuit dans un endroit sûre. Jonas fut celui qui monta la garde pendant une bonne partie de la nuit pour être le premier à accueillir l’assassin lors de son réveil quelques heures plus tard.

‘’ Tu n’aurais pas dû t’échapper, mon prince. ‘’

Revan se réveillant en sursaut après son altercation quelques heures plus tard au sud. Il avait fait encore un cauchemar, encore Xana qui semblait le hanter sans relâche depuis son évasion de sa cellule. Il tentait de remettre les pendules à l’heure alors qu’il réalisait que son taxi jusqu’au terre de l’est s’était arrêter pour la nuit. L’assassin scruta rapidement les alentours pour voir la lumière du campement de fortune à quelques mètres de lui et décida d’aller le rejoindre. Il n’y trouva que le conducteur de la charrette , assis aux côtés de sa famille étendu auprès du feu. Revan s’approcha en silence et Jonas dégaina son épée et mis en garde le visiteur.

-Ne t’approche pas de ma famille, étranger.


Revan leva les bras, montrant à son interlocuteur qu’il n’avait pas avec lui la lame qu’il avait prît du maladroit mercenaire. Torse nu avec un simple pantalon, l’assassin ressemblait à un clochard avec ses cheveux long sales et sa barbe de plusieurs semaines. Il n’y avait que ses yeux qui le trahissaient auprès du chevalier et il voyait son interlocuteur comme un monstre. Un monstre aux yeux de tous, mais qui n’étais pas différent à tous les hommes de cette terre. Il avait écrit son histoire avec la lame de son épée, combattu pour assurer sa survie dans se monde hostile et vécu d’un des métiers les plus vieux de cette terre maudite. Les assassins n’ont jamais été bien vus, car c’était les seules qui osaient faire la tâche ingrate que les âmes corrompues n’osaient faire eux-mêmes. Il avait arraché de sa famille et vendu en tant qu’esclave. Cependant, il avait eu la chance d’être formé par un assassin pour qu’un jour, il reprenne le flambeau de bourreau des terres du milieu. Son maître savait qu’un jour, il allait périr sous la lame de son apprenti comme tant d’autres avant lui. C’étais l’ordres des choses , cependant celui-ci espérant que Revan soit celui qui redonne des lettres des noblesses aux hommes de l’ombre et que sa quête de vengeance l’amène un jour à découvrir la vérité

C’était le début de cette quête depuis longtemps entamé, le début d’une série d’événement qui allait changer le monstre en héro malgré lui.

Autours du feu se tenait deux hommes complètement différents aux yeux de tous, mais qu’au fond qui n’était que le reflet de deux choix différent. Deux guerriers et amants, qui avait cependant prix des chemins différent. L’un avait accepté la naissance de son enfant et qui maintenant était prêt à accepter le rôle difficile de père. Il avait laissé derrière lui son ancienne vie et se battait maintenant pour protéger la chose la plus importante a ses yeux. De l’autre côté se tenait un homme qui avait décidé autrement et qui maintenant, vivait de regret et dans la solitude. Il enviait la famille, il enviait le courage que l’homme qui se tenait devant lui. Il avait perdu celle qu’il aimait et était maintenant condamné à vivre du sang et de la corruption.

L’assassin ne pouvait s’empêcher de regarder la petite famille en silence, perdu dans ses pensées alors que Jonas l’observait en silence, n’ayant aucune idée de qu’est qui se passait dans l’esprit de l’assassin au regard vide. Ils restèrent ainsi pendant plusieurs heures, en silence. Lorsque le soleil se leva quelques heures plus tard, Keisha et Miron se réveillèrent et furent accueillis par Jonas qui avait préparer le petit-déjeuner. L’absence de Revan fut remarquée, mais ils préféraient dévorer le déjeuner plutôt que de s’attarder sur la disparition de l’assassin. Celui-ci qui avait décider de continuer son chemin seul, préférant éviter de causer des problèmes à la paisible famille. Il ne méritait pas que du mal leurs arrivent, car dans le fond, il représentait le peu de bien qu’il restait sur terre damnés aux yeux de l’assassin. C’est ainsi que leurs chemins se séparèrent et que Revan prît la direction de Angmar. Se faisant passé pour un clochard avec son habit crasseux de moine, l’haradrim se faisait guidé par des rêves qui ne cessait de le mené vers les sombres terres. Il était en quête de vérité et de rédemption et sa seule piste allait le mené vers celle qui était responsable de sa transformation.



HJ : Le voyage de Revan à duré plusieurs semaines , donc explicant sa disparition et tout. C'est fini , je vais recommencé mon RP d'ici peu.