L'enchantement ce lis encore dans les yeux du jeune nain, la forteresse avait subjugué Karak. Les héros d'antan hantaient ces lieux, le martellement des outils sur la roche raisonnait encore en la cité des géants.
On ce perd facilement ici ! Grogna le nain. Mais heureusement j'ai le sens de l'orientation et me rappel les esquisses du plan de la forteresse.
Nom d'un warg, c'est bien calme ici ! Une si magnifique cave à nain et si peu de fils de Gloïm pour la faire vivre.
Karak foulait le pas de la porte de la salle du trône, quelques gardes l’aiguillèrent pour ce présenter aux responsables des lieux. Ils avaient parler d'un "régent", étrange vue d'un nain de la montagne solitaire. Là bas, les Rois siégeaient sur le trône depuis des siècles.
La cité des légendes était l'un des derniers joyaux de la couronne naine, les années passaient pour les nains et effaçaient les traces du passé, sans oublier sa grandeur.
Le fils de Balak ouvrit alors les yeux sur la splendeur de la salle du trône, les mots s’évanouirent alors sur les lèvres et dans la tête du nain. Il ne lui restait plus qu'à avancer vers l'immense trône qui siégeait au milieu de la splendide pièce.
La fioriture des elfes n'avait pas sa place ici. Tout était que figure géométrique et pierre massive, une douce luminosité filtrait à travers plusieurs puits de lumières aux quatres coins de la salle. Les yeux de Karak ce fermèrent soudainement lorsqu'il avança dans le halo de lumière provenant de la rosace siégeant à peu près deux mètres au dessus du siège royal.
Le forgeron termina son chemin qu'il commença à Erebor ; au millieu du cercle de lumière et la tête baissée en signe de respect pour les anciens de Khazad-dûm.
Je vous présente mes respects Seigneur Régent, que votre règne soit long et prospère.
Il pose alors un genou à terre, tout en conservant le regard posé sur les pieds du trône.
Je suis Karak BlackRock, fils de Balak volonté de pierre du Royaume d'Erebor. Je répond à l'appel de Khazad-dûm et viens proposer à sa Seigneurerie mon marteau et ma hache.
Votre mot est mon verbe.