Partir à l'aventure [PV Glorfindel]

Mirkwood, demeure ancestrale des elfes Nandor, aussi appelé elfe sylvain. Une belle forêt qui fut hélas à un moment un lieu de terrible bataille, notamment la récente guerre avec l’empire de l’ouest.
Cette forêt était aussi la demeure ancestrale de l’un des istari, Radagast le brun, connu pour être un ermite proche de la faune et de la flore d’Arda aux pouvoirs puissant par rapports à ces derniers.
Cette forêt, Araekin la connait bien pour y avoir vécu de nombreux siècle aux cotés du mage brun qui fut pendant ce temps son professeurs.

Très récemment, Dol Guldur a été purifier par le mage brun et Pallado, un autre mage qui fut le professeur d’Araekin, un des mages bleus qui était partit à l’ouest par le passé.
Araekin avait décidé, pour son départ de la Comté de partir donc ici, en Mirkwood, afin de discuter avec le mage brun, savoir les quelques nouveautés et rumeurs qu’il pourrait lui apprendre et savoir si son ancien professeur allait toujours bien ainsi que comment c’était passer la purification du lieu.

On pouvait ainsi voir se déplacer dans les bois un immense et magnifique mégeloceros, au pelage blanc comme la neige et aux bois très large parcourus de diverses arabesques. Le cerf, portait quelques attirails, une selle notamment et d’autres harnachement servant à tenir divers sacs ainsi que quelque plaque de ci de la ayant pour but de protéger l’animal.
Sur le coté avant droit était accrocher une épée dans son fourreau, aux manches fait d’or et d’argent, magnifiquement décoré ne ressemblant à rien de ce que les elfes d’ici peuvent faire, sur le coté était accroché, en long, un bâton fait dans une branche d’un mallorn et se terminant par un cristal sphérique, bellement fait et sur lequel était dessiné des runes naines.

Sur son bois gauche, un corbeau était perché, de grande taille avec un beau plumage noir que la lumière venait éclairer et qui se teintait alors d’un bleu sombre mais élégant. Chose étrange, peut-être une lubie de son propriétaire, ses serres étaient protéger par des sortes de bagues d’or qui faisait comme une armure sur chacune d’elles, protégeant ainsi la majeure partit de cette dernière ou ayant juste pour but de les décorer.

Mais donc, le propriétaire lui, se tenait là, non pas assis sur la selle comme l’on pourrait le croire, mais allonger sur le dos de ce cerf qui marchait paisiblement. Sans doute se reposait-il. L’elfe Sindar enroulé dans sa cape elfique de la Lorien, capuche rabattus sur le visage semblait dormir d’un sommeil léger.
Il portait avec ceci des bottes et des gants fait d’acier, un pantalon blanc devenant très amples sur le bas des jambes. Une sorte de morceau de cuir tenait à sa ceinture –elle même fait de cuir- recouvrant tout l’arrière de ces jambes avec seulement une large ouverture sur l’avant, semblant être comme une sorte de jupe de protection courte. Son haut lui était d’un blanc très beau et élégant et deux bandes de tissus rouges vermeil étaient quand à elle se trouvait attaché sur les manches au niveau des biceps. Une protection en plate entourait l’ensemble de son ventre et des épaulières venaient terminer le tableau.

C’est ainsi que l’on pouvoir voir le petit groupe d’Araekin, constitué de son mégaloceros, de Terokk, un corbeau provenant de Ravenhill en Erebor et étant donc doué de parole et d’une grande intelligence et de lui-même, elfe Sindar originaire des terres Immortels et gardien d’Arda de son état.

A l'orée de cette forêt, maudite pour certains, foyer pour d'autres, un cavalier d'une grande cape noire vêtu et capuchon rabattu se prépare, sur son magnifique cheval blanc à entrer. Cela fait plusieurs millénaires que Glorfindel arpente la terre du milieu, et en ces bois, il sait qu'il ne fait jamais bon de voyager à visage découvert. Épée au fourreau, arc et carquois accroché à la scelle et bouclier dans le dos, il chuchota quelques mots en Sindarin et voici son cheval s’avançant dans les bois.

Quelques mois plus tôt, la préparation de la fête de la fédération elfique était déjà bien avancée, certains invités étant déjà sur place, il ne manquait plus que certains détails afin que les festivités ne débutent. Nombre de personnes étaient attendues afin de fêter la nouvelle alliance et par surcroit la nouvelle puissance s'élevant à la tête des peuples libres. Des elfes, mais aussi des humains, des personnes influentes de toutes sortes en terre du milieu.

Bien que Glofindel soit quelqu'un d'assez sociable, ces célébrations rassemblant la fine fleur d'Arda l'ennuyait plus qu'autre chose. Voulant à tout prix éviter les nombreuses poignées de mains et les discours des personnes voulant absolument essayer de bien se faire voir en changeant d'identité pour une courte durée, il décida de partir. Après avoir voyagé en comté, dans le lindon, l'Eriador et n'ayant jamais été à Dol-Guldur après la défaite des orientaux, Glorfindel cru bon d'y retourner afin d’inspecter les lieux, car chacun en ce monde sait que dans cette forteresse, existe un mal qui ne dort jamais. Étant prudent et ayant une grande expérience, l'elfe savait que même si le mal est éradiquer, il finit toujours par revenir sous une forme ou une autre.

L'air était frais, et plus Asfaloth avançait, plus la lumière s’amenuisait. Bien que la faune et la flore refaisait surfaces et étaient déjà fort présentes, le nombre de plantes et d'arbres pourris, ancien théâtre d'une lutte entre le bien et le mal, ne faisaient que croitre à mesure que Glofrindel s'approchait de la forteresse. Bien que cette dernière ait été vidée, il restait sur ses gardes, une main tenant les rennes de son cheval, l'autre posée sur le pommeau de son épée sous sa cape.

Soudain, il entendit un bruit de sabot, au son qu'il faisait c'était surement un gros animal, sûrement un cerf, et un gros. Glorfindel continua sa route et quelques mètres plus loin constata qu'il avait raison, c'était bien un ongulé, mais les échos de ses pas lourds venait du fait qu'il portait, couché sur son dos, un elfe avec tout un attirail, enfin, de grandes probabilités que ce soit un elfe au vu de la cape de lorien dans laquelle il est enroulé. Étant caché par quelques arbres qui commençaient tout doucement à retrouver leur verdure, il observa cet étrange personnage.

Dans la tête de notre héro: "Mais qu'est ce que ce drôle de personnage fait là, on dirait bien qu'il se repose. Vu son armure et son épée qui a l'air de première qualité, c'est à forte probabilité un guerrier et convaincu, se frotter à lui serait une mauvaise idée, du moins sans le connaitre. De plus, il est magicien, faisons preuve d'une grande prudence. Pour finir, un corbeau se trouvait accroché à l'autre animal. Donc récapitulons, un mage guerrier avec des animaux se trouvant à quelques lieues d'un autre mage vivant avec les animaux:  je pense qu'il doit ou a dû être disciple ou du moins amis de radagast, soyons prudent mais  je pense que le danger n'a pas lieux d'être. De plus, il m'a surement remarqué depuis pas mal de temps."

Gardant tout de même sa cape noir à capuche et posant la main sur le pommeau de son épée se trouvant à l'intérieur de sa cape afin de ne montrer aucun signe d'hostilité visible sortit des buissons, c'est ainsi qu'un cavalier vêtu de noir de la tête au pied sur un cheval blanc comme neige, ne laissant aucun signe visible de ses attraits guerriers s’avança vers son compatriote elfe et dit en Sindarin:

"Je ne veux points être grossier en vous réveillant, mais je pense que nous allons au même endroit."

"Je ne veux points être grossier en vous réveillant, mais je pense que nous allons au même endroit."

Ces quelques mots, prononcer par un elfe en sindarin firent s’éveiller Araekin, dormant d’un sommeil léger il percevait encore les sons alentours et Terokk lui avait discrètement rapporté qu’une personne se trouvait non loin ce qui n’avait pas empêché Araekin de profiter pleinement d’une sieste.

Ouvrant ainsi les yeux, Araekin par politesse se releva, monté en amazone sur son cerf puis releva sa capuche, dévoila son visage et sa longue chevelure.

-Mae Govannen, cela dépend, si vous allez en direction de la forteresse de Dol Guldur, alors en ce cas nos chemins ont une route commune *Inclina la tête en signe de respect* Je me nomme Araekin Nirokini, peut-être me connaissez vous sous ce nom, ou sous celui de l’Errant, vous votre réputation vous précèdes Glorfindel, je suis heureux de vous rencontrez

Araekin avait en effet reconnus Glorfindel en observant ce dernier. Même s’il n’avait plus sa grandeur d’antan, il ne restait pas moins un des elfes les plus puissants d’Arda, le rencontrer était un honneur.

-Quand a vous dites moi, si vous vous dirigez bien vers Dol Guldur, pour quelle raison y allez-vous ? Si vous allez bien à l’ancienne forteresse, peut-être pouvons nous y aller ensemble ?

Araekin sourit à Glorfindel, en effet même s’il était habituer aux longs voyages esseulé, la compagnie d’un autre être ne lui était guère déplaisante, surtout lorsque l’on avait à ses cotés une figures importantes du peuple elfique.

Le personnage étendu sur son animal sembla avoir entendu les mots de Glorfindel, car il se releva, assis, les deux jambes du côté droit de son cerf. Il releva sa capuche, et révéla un visage fin, de longs cheveux noir et de petites oreilles pointues, dont la pointe de l'une d'elle, dorée, traversait d'un centimètre le rideau noirâtre. Glorfindel avait vu juste, il s'agissait bien d'un elfe, mais contrairement à ses semblable, il n'avait pas la peau blanche claire, mais légèrement basanée. 

-Mae Govannen, cela dépend, si vous allez en direction de la forteresse de Dol Guldur, alors en ce cas nos chemins ont une route commune
L'elfe inclina la tête
Je me nomme Araekin Nirokini, peut-être me connaissez vous sous ce nom, ou sous celui de l’Errant, vous votre réputation vous précèdes Glorfindel, je suis heureux de vous rencontrez

Une fois de plus, sa cape ne lui avait servit à rien et son interlocuteur l'avait reconnu, il ne laissa aucunement paraitre sa frustration et continua d'écouter le dénommer Araekin.

-Quand a vous dites moi, si vous vous dirigez bien vers Dol Guldur, pour quelle raison y allez-vous ? Si vous allez bien à l’ancienne forteresse, peut-être pouvons nous y aller ensemble ?

Ses derniers mots furent accompagné d'un sourire qui semblait sincère, Glorfindel pu remarquer une seconde fois qu'il avait vu juste. Il releva à son tour sa capuche noire, ce qui fit tomber ses cheveux dorés en dessous de ses omoplates, dévoilant à son tour son visage. Il salua son nouveau compagnon et dit:

"Un disciple des Istaris ne reste que peu longtemps anonyme, même s'il porte trois nom différents, surtout s'il s'agit d'un elfe."

En effet, connaissant assez bien les Magicien de couleur, Glorfindel avait appris qu'un de ses semblables avait été l'apprenti de 4 sur 5. Connaissant uniquement son nom, il n'avait pas fait le rapprochement.

"Voyez vous, je n'ai jamais trouvé les grandes festivités attrayantes, la fête de la fédération approchant à grand pas, j'ai donc décidé d'inspecter chaque frontière, cela fera bientôt un an que je suis partis de Fondcombe. Étant passé par le Gondor et remontant vers Erebor, j'ai décidé de passer par Dol Guldur pour m'assurer que le mal y soit à jamais éliminé. Même si je pense que des lieux comme cette forteresse devraient être totalement détruite."

Glorfindel ayant terminé sa tirade resta quelques secondes à observer son l'Errant et dit:

"Je profiterais volontiers de votre compagnie, car cela fait fort longtemps que je n'ai pu profiter de celle d'un de mon peuple. Mais dites moi, que venez vous faire chez le magicien Brun?"

Araekin reprit une posture de cavalier standard, puis tapota sur le flanc de son cerf à l’aide de sa main pour lui intimer la demande d’avancer. Ce dernier avança au petit trot, suivis à ses coté par Asfaloth le cheval de Glorfindel, Araekin tourna ensuite la tête pour s’adresser à ce dernier.

-Si j’ai bien entendus, maître Radagast ainsi que maître Pallando aurait dissipé tout mal en Dol Guldur, je n’en doute absolument pas mais j’aimerais savoir si cet évènement c’est passé sans aucune accroche. De plus il ne pourra-t-être que bon de pouvoir revoir Radagast, mais vous ? Quelle raison vous conduise jusqu’au mage brun ?

Araekin attendit alors la réponse de l’elfe contempla le reste de la forêt en souriant. Il y avait beaucoup de souvenir ici, Araekin y a passé quelque siècle en compagnie du vieux Radagast ainsi que des animaux, c’était aussi ici qu’Araekin avait fait la connaissance de l’animal qui aujourd’hui lui sert de monture il y a quelques années de cela.

La vie dans la forêt et notamment au sein de Rhosgobel lui avait énormément plut et l’avait inspiré lorsqu’il fit poussé l’arbre sur sa colline dans la Comté, arbre qui depuis a bien grandis et qui sert tout autant de lieu de vie à Araekin que le reste de son trou.

- La foret et est belle en cette saison, je suis heureux qu’elle ait retrouvé sa beauté d’antan, je suis impatient de voir aussi ce qu’est devenue Dol Guldur, cette vieille forteresse à du devenir un lieu emprunt de nature depuis que Radagast s’y est installer.

Araekin se remit droit sur son cervidé, et d'un tapotement le fit avancer au trot. Voyant son compagnon avancer, Glorfindel chuchota quelques mots en Sindarin et Asfaloth suivit l'autre animal en se mettant à son niveau. l'elfe basané tourna la tête et dit:

-Si j’ai bien entendus, maître Radagast ainsi que maître Pallando aurait dissipé tout mal en Dol Guldur, je n’en doute absolument pas mais j’aimerais savoir si cet évènement c’est passé sans aucune accroche. De plus il ne pourra-t-être que bon de pouvoir revoir Radagast, mais vous ? Quelle raison vous conduise jusqu’au mage brun ?

Avant Que Glorfindel ne puisse répondre aux premoères questions, Araekin continua et dit:

- La foret et est belle en cette saison, je suis heureux qu’elle ait retrouvé sa beauté d’antan, je suis impatient de voir aussi ce qu’est devenue Dol Guldur, cette vieille forteresse à du devenir un lieu emprunt de nature depuis que Radagast s’y est installer.


Glorfindel observait lui aussi la nature les entourant. En effet, il remarquait bien l'influence du mage brun. La dernière fois qu'il était venu en ces lieux, cette partie de la forêt transpirait les ténèbres, et la mort, tout y était pourris et aucun être n'y vivait. Aucun être pur, car la seule population de cet endroit était des araignées géantes, disgracieuses et puantes. Il répondit:

"Dans ce cas, en plus d'aller au même endroit, nous recherchons en partie le même but, car ayant fait une bonne partie des frontières des peuples libres, il m'a semblé évidant de venir faire un tour à Dol Guldur. Ce n'est pas que un manque de confiance envers Radagast qui m’amène ici, mais le désire de vouloir bien faire."

En disant ces mots, la silhouette d'une forteresse se dressait au loin à travers les arbres. faites de pierres aussi noir qu'une nuit sans lune, cet endroit reflétait bien l'âme des ses anciens propriétaires. Des tours noires elles aussi transperçaient un ciel bleu tel un harpon lancé dans une mer calme. Néanmoins, la marque du mage brun était bien présente, car de grandes lianes et lières montaient jusqu'au toits des grands édifices, des arbres plantaient leurs racines à mêmes la pierres, de grands et vigoureux feuillus taillé pour résister au mal qui résidait toujours en ces lieux. Car, en ces lieux maudits, jamais il ne disparait entièrement. Glorfindel tourna sa tête vers Araekin et dit:

"Je crois que nous arivons, mais dites moi, savez vous si Pallando est lui aussi toujours dans les parages, car cela fait bien longtemps que je ne lui ai parlé, d'ailleurs, il me semble que la dernière fois que nous nous sommes vu nous étions sur un bateau nous amenant sur arda."