La jeunesse de Simor (FB)

Simor venait tout juste d’avoir 13 ans, à cet âge-là, les jeunes ourouk-haï nés de naissance naturelle, apprenne à se battre et suivent un entrainement des plus difficile, dans le but qu’ils deviennent des guerriers aguerrit. Même si la violence et la cruauté est innées cher tous les ourouk haïs, Simor du s’entrainer avec les autres membres de la horde.

C’était vers la fin d’après-midi ou du moins Simor ne savait pas trop, en Mordor, on n’est jamais sûr de l’heure exacte, puis cela n’avait pas vraiment d’importance aux yeux du jeune ourouk, un guerrier adulte tout en armure venait de s’approcher du campement et venait de faire appeler à tous les jeunes ourouk-haï aux alentour. Simor et les autres venaient de se rassembler au niveau du guerrier dont la stature paraissait très imposante. Quand tous furent à portée de sa voix, il dit en prenant une voix forte et grave :

"Je suis le sergent Raskor, et ces avec moi que vous passerez les prochaines années de vos misérables vies, je vais vous montrer comment on dévie un guerrier"

Son regard était froid et agressif, en criant il laissait apparaitre ces dents pointues et ne cessa pas d’observer chaque tête des jeunes ourouk.

*Je sens que je vais bien m’amuser*

"Vous été tous une bande de rats puants, je veux que vous vous placer en cercle de façon a créé une arène et je veux que vous vous bâtiez les uns contre les autres jusqu’à ce que le sang coule, je veux voir ce que vous valez au combat"

À cet instant un jeune ourouk dénommé : Kurgs prit la parole, il était plus chétif que les autres membres du groupe, mais semblai avoir plus de cran.

"On ne va tout de même pas se frapper dessus, on doit aller frapper des orcs, c’est mieux"

Pensant que ce qu’il avait dit était une bonne idée, Kurgs prit une posture de fierté, mais cela n’eut pas l’effet escompter, le sergent dévisageait à présent le jeune audacieux.

"Grrrr, tu as dit quoi l’avortons ?" le sergent se reprochât du jeune ourouk et lui adressa un coup de poing violent au niveau du nez, celui si se brisa et le sang giclas dans tous les sens, tous les jeunes ourouk, y compris Simor, se mirent a jubilé et a grogné.

"Silence, je veux que vous m’écouter sans bronchée bande de larves ! Le suivant qui ose me contredire va le regretter"

Les jeunes ourouk exécutée l’ordre qu’avait donné le sergent et ce mirent en cercle, lassants Kurgs hors du cercle, assommée et gisant au sol.

La Simor vu une opportunité de pouvoir prouver sa valeur, c’est ce qu’il a toujours voulu souhaiter jusque présent, être le meilleur. Simor observait deux jeunes ourouk en train de se battre.

*voilà l’occasion de montrer ma puissance, si j’arrive a montré au sergent que je suis fort, peut être que j’aurai un entrainement spécial pour le devenir encore plus.il me suffit d’attendre que ces deux faibles finissent de se battre et c’est à mon tour*

Dès que le combat toucha à sa fin, Simor s’avança au centre du cercle en faisant rouler ces muscles, à cet âge-là l’avait déjà une bonne stature. Un autre ourouk haï s’avançât dans le cercle et se mit en garde, il avait une forte carrure.

*mon adversaire semble disposée d’un plus grand force que moi, je dois jouer sur la rapidité*

Les deux jeunes ourouk se regardaient dans les yeux, la rage se lisait sur leur visage, c’est l’adversaire de Simor qui vient frapper en premier, l’ourouk aux yeux bleus n’hésitât pas une seconde, il esquiva la droite lancée par son adversaire et vint asséner un coup de la tête en plein dans la mâchoire du duelliste, celui-ci tituba, mais resta debout, Simor profitait de l’occasion pour donner un uppercut qui acheva l’adversaire, celui si tombât au sol dans un râle de douleur.

*voilà qui est bien, j’ai mis hors combat ce faible en deux coups, j’espère que le sergent à apprécier la combat, hinhin*
Simor eu un rictus de moquerie, puis il se tourne pour voir la réaction du sergent.

Apparemment le sergent se moquait totalement de ce que Simor avait fait, il se contenta de dire de sa grosse vois hargneuse :

"Aller suivant, on n’a pas que ça à faire"

Pour la première fois de sa courte existence, le jeune ourouk aux yeux bleus sentit une sensation qu’il ne connaissait pas, certes, cela ressemblait à de la colère, mais ce n’était pas vraiment ça.

*Que… je viens de mettre à terre sans difficulté mon adversaire et tout ce qu’il trouve à dire c’est suivant ? Harrg, ça m’énerve*

En réalité le sentiment que Simor éprouvai n’était rien d’autre que de la frustration, celle de ne pas avoir réussi a épaté le sergent, mais il ne se laissera pas défaire de la sorte, il y aura bien d’autres occasions pour pouvoir prouver sa valeur, du moins la compétition allai être rude, parce que vu la taille de certains membres du groupe, cela s’avère bien plus difficile que Simor l’aurais pensée.
Simor regardait donc les autres se battre et il était songeur, bien que cela se manifestait rarement, il lui arrivait parfois de réfléchir sur des questions telles que son but dans la vie, oui il en avait un qui surpassait les autres, celui de devenir le meilleur et de tuer le plus d’ennemis possible, mais le jeune ourouk, pensait a autre chose, quelque chose de plus grand, la ou les autres ourouk inspirait a une vie de violence, Simor lui, inspirait à vouloir quelque chose de plus grand pour ça race, autre que ce qu’elle était maintenant. Dans un premier tant ce fut la vision d’une nation ourouk ou du moins que tous soit rassembler sous la même bannière, suivant un leader qui ne recevrait pas d’ordre de qui que ce soit, que les ourouk soit forts et craints. Mais viser les hautes idées avec les ourouk n’était jamais chose facile, car la race à la base ne vit que pour faire la guerre et servir les seigneurs puissants, mais l’idée d’une nation unie d’ourouk était très ancrée dans l’esprit de Simor.
Le jeune ourouk fut arraché à ses pensées par le sergent qui gueulait à vive voix :

"Bon est bien d’après ce que j’ai vu, cela est vraiment désastreux haha" le sergent rigolai d’un rire ironique qui irrita le plus par des membres du groupe. "Mais ne vous en fait pas bande de demi-portions, je vais y remédier, et pour ce faire vous aller courir jusque ce que vous soyez plus en mesure de…. et bien de courir, n’oublier pas que les vrais guerriers ourouk peuvent courir une journée sans ressentir la fatigue, aller au trop"

Sur ces ordres, la troupe se mit à courir à un rythme assez rapide, il ne savait pour aller, mais le sergent prit la tête du groupe pour les guider.

*il va voir, je vais lui montre ce que c’est de courir*

La petite troupe venait de courir 5 h, et il n’était pas prêt de finir, le sergent gueulait sur tous ceux qui ralentissait ou qui faiblissait, les insultant de diverse manier, il arrivait parfois que le sergent frappât sur les ourouk pour qu’il accélère, même Simor avait eu droit à un coup de poing dans le ventre, ce qui n’était pas pour lui plaire, mais il du contenir sa rage et sa haine, car cela ne lui servait à rien de l’exprimer, il préféra la mettre dans la course. Après quelque instant, un des ourouk tombât au sol et ne bougeait plus, l’allure et la rapidité, le temps et la fatigue avait eu raison de lui, la troupe ralentit et chacun un essayai de voir ce qu’il c’était passé. Mais le sergent était aux aguets et cria encore :

"On ne ralentit pas les larves, il est mort ? Et bien tant pis, c’est un faible, les charognes s’occuperons de son corps  en avant on en est à la moitié"

Effectivement la troupe n’était pas au bout de leur entrainement, décidément, le sergent était déterminé à éliminer les faibles, tels sont la situation, quand on est un ourouk.

Simor et sa troupe venaient de courir pendant encor 5 heur, en chemin il avait perdu trois de leur compagnon, mort de fatigue et tous abandonner, mais cela n’affecta aucunement la mentalité du groupe qui trouvait cela normal. Lorsqu’ils étaient tous revenu au campement, Simor sentit tout de même une grande fatigue l’envahir, même si  il avait tenu toute la course en tête du peloton, cela n’avait guère impressionné le sergent. Cela énervait de plus en plus le jeune ourouk qui n’arrivait pas, même au meilleur de ces capacités, a attirer l’attention sur lui, cela le mettait en rogne a chaque fois qu’il y pensait. Mais Simor n’en avait pas finit ! Il voulait faire partit des élites de sa race et pour ça il était prêt a tuer sans l’ombre d’un doute.

*il faudrait vraiment que je fasse quelque chose, mais d’abord j’ai faim, et la faim coupe les idées*

Alors le jeune ourouk se mit en quête de nourriture, mais il n’en trouva pas, lorsqu’il vu que l’un de ces compagnons était en possession d’un morceau de pain, il se rapprochât de lui et demanda avec agressivité :

« Donne-moi un morceau »

Ce propos déclencha une friction entre les deux interlocuteurs, le jeune ourouk sans dire un mots se leva, posât le pain sur le coter, et d’un geste vif et rapide, mit un coup de poing dan la tête de Simor qui lui, encaissa, mais ne bougea pas, celui-ci démarra au quart de tour et a l’aide de son pied poussa son adversaire avec une grande force, celui si tomba au sol, Simor se jeta dessus et le mit 4 a 5 coups au niveau de la tête, l’ourouk au sol giclai le sang tandis qu’une troupe d’ourouk c’était maintenant agglutiner autour des deux jeunes pour observer leurs combat, mais celui si ne dura pas longtemps, car Simor venait de faire perdre connaissance a son adversaire, il se releva, les mains couvertes de sang, il prit son du et alla s’assoir sous le regard attentif des autres.

*Mmmm du sang avec du pain, quel délice, mais qu’est ce qu’ils ont c’est imbécile a me regarder, ils veulent quoi ? *

Le groupe commençai a se dispersée et Simor dégustait sa récompense tout en regardant le corps de l’ourouk gisant au sol, cela lui faisait sourire et le rendit heureux.
Mais il déchanta tout de suite quand il vu le sergent venir a sa rencontre, quand il fut a son auteure, le sergent regarnit un instant le corps, puis il revint sur Simor

Ser : « c’est toi qui as fait cela ? »

Simor n’avait pas peur et répondit en toute franchise

Si : « oui, j’avais faim »

Ser : juste faim ?

*Mais pourquoi il ne m’a pas encore frappé ? Que veux’ il ? *

Simor ne répondit pas, il resta silencieux et attendit la réaction du sergent…

Apparemment, le sergent n’était pas la dans l’attention de remettre en place Simor, car il eu un rictus, même un rire a gorge déployer.

"Haaahahaha, voilà qui est digne des ourouk-hai, c’est une attitude particulièrement sanguinaire, j’aime ça ! »

Simor ne répondit pas, ou du moins il ne s’attendait pas à cette réponse. Mais le sergent repris son regard de fer, il s’approchât proche de Simor et prit une voix sévère

« Malheureusement tu n’avais pas le droit de faire ça » et il empoignât Simor pour le jeter a terre, Simor se relevé rapidement et contre attaqua, malheureusement le sergent était bien trop fort, et il para sans problème l’attaque lancée par Simor, tout en lui affligeant un terrible coup de genou dans le ventre, Simor  s’écroula au sol, mais ne fléchi pas et se releva, le sergent lui flanqua encore un coup, mais Simor résistât, le sergent était surprit de la résistance et de la hargne du jeune ourouk.

« Mmmm tu es bien tenace demi-portion, mais tu mérites quand même ta raclée »

Pendant que Simor essaya de se relever le sergent vin lui infliger un ultime coup de pied qui mit au sol le jeune ourouk.

« Hahaha, voilà qui t’apprendra sales rats » le sergent tournât les talons a l’ourouk et il partit, Simor quand a lui resta un instant au sol pour se reprendre.

*haaaa, si j’avais la force de me batte contre lui, je le promets, un jour je lui fracasserai le crane a cette ordure, il va le regretter, et puis après je le mangerais, ha oui, ça, c’est bien, je vais le manger*

La haine de Simor était grandissante, on pouvait la lire sur son visage, dans ses yeux bleus. Se relevant péniblement, il décida d’aller se coucher pour reprendre des forces et être en forme, afin de persévérer dans son but.

Alors qu’il se dirigeait vers sa couche, Simor se fit aborder par un autre ourouk de sa compagnie

« Bien essayer, mais tu n’es pas le plus fort »

La haine en Simor était vraiment a son comble et maintenant il fallait qu’un autre vienne le dérangée, Simor se retourna et fixa dans les yeux le jeune ourouk d’un regard noir.

« Tu viens jusqu'à moi juste pour me dire ça ou pour te battre ? Je n’aie nullement besoin de ta pitié ou encore de quoi que ce soit, si tu cherches les ennuis je sens que tu vas les trouver »

*je ne suis pas en état de me battre, espérons qu’il va partir*

L’autre ourouk haï ne disait rien, son visage se crispa, mais sans dire un mot il s’éloigna. Simor affliger par une fatigue musculaire se coucha.

*je suis un faible, je ressens la douleur et la fatigue, mais un jour, je serai puissant et beaucoup trembleront devant moi*

Sur cette pensée, Simor s’endormit.

Simor fut réveillé aux premières lueurs du jour par un cri de ralliement. Tous les ourouk accourent, Simor n’eut même pas le temps de prendre de ma nourriture, mais ce qui constatât alors qu’il courrait en direction du sergent c’est que la douleur et la fatigue avaient disparu. Remit, Simor était prêt pour entamer cette journée.

« Aller les vermines, on se rassemble. Comme vous été une bande de fillettes, je vais vous entrainer à la résistance et je vous le jure que vous allez souffrir. haha »

Le sergent mena l’escouade près d’un champ de rocher : « maintenant vous aller en choisir un » et il désigna de sa main les roches.

Tous les ourouk hésitaient sur un ordre aussi flou que celle-là, il ne comprenait pas l’utilité d’une chose aussi insensée que ça.

Le sergent perdit patience. « Vous attendez quoi ? Que je choisisse pour vous ? Bouger vous larves »

Les jeunes guerriers s’exécutaient et il commençait à choisir un rocher bien que cela paraissait complètement irrationnel. Simor n’eut pas de préférence dans un choix de rocher, il prit n’importe lequel. Maintenant il attendait ce que le sergent allait dire.

Celui si marchait, les mains dans le dos. « Même si vous paraissez fort, vous n’été pas assez résistant, quand vous été face à un adversaire, la seule chose qui peut vous faire prendre le dessus, c’est votre force, vos résistances, votre puissance, et je sais comment améliorer la resistance.je veux que vous frappiez sur ces rochers, je veux que vos mains se brise sur la roche, que j’entende le bruit de vos os brisée et que le sang tapisse la roche, je vous dirais quand stopper, aller on y va »

Simor fut tout de même surpris par la demande du sergent, mais il s’exécutait, il préféra encore s’acharner sur un rocher. Simor commençait donc a frappé sur le rocher, mais il n’y mit pas toute force, car il ne voulait pas être mis hors d’état tout de suite, la douleur était là.

*Facile, ya qu’à s’imaginer la tronche du sergent, ces exercices est débiles, complètement inutile, on devrait aller tuer de vrai ennemi au lieu de faire des choses débiles*

Le sergent passai voir chaque ourouk, parfois il disait des insultes, parfois il disait « plus vite » lorsqu’il arrivait prêt de Simor il prit la parole « Alors comme ça tes un vrai guerrier, tu tapes
comme une mauviette, aller plus vite, plus fort, je veux que ce rocher se brise »

Simor frappait de plus en plus fort, il n’entendait même plus la voix du sergent, il frappait pour lui.

*Il veut que je brise ce rocher, il va voir, je vais lui montrer, et quand j’aurai fini avec ce rocher et cet entrainement, je m’occuperai de tous ceux qui se dresserons contre moi.*

Simor frappait, le sang commençait à couler et les os de sa main était surement brisée, mais le rocher commençait à se fendre aussi incroyable que cela puisse paraitre, Simor mit sa haine envers les autres races, sa haine qu’il avait naturellement, a présent il avait une fissure sur le rocher. Simor s’arrêtât et regarda c’est main, elle était ravagée, mais la douleur, la douleur elle, n’était pas là.

*Est-ce que son entrainement a marché ? Je ne sens pas la douleur en revanche, mais mains, je sens pratiquement plus ma main gauche*

Le sergent regardait Simor de ces yeux jaunes, il se racla la gorge et cracha « mmmm voilà ce que j’appelle du beau travaille demi-portion »

Le sergent s’éloignait pour aller voir d’autre ourouk, Simor quant à lui s’effondra au sol, appuyer contre le rocher. Il prit quelque seconde de repos pour faire le point.

Simor regardait les autres ourouk, certain ce tordait de douleur, d’autre continuait sous la menace du sergent. Le jeune ourouk était toujours assit, un autre ourouk vient a sa rencontre :

« Alors toi aussi tu as réussit a brisée le rocher ? C’est surement une sorte de teste. »
L’ourouk s’assit à côté de Simor qui ne dit rien

« Mon nom est Hokmir »

Simor regardait Hokmir, il avait l’aire d’être passé par la même situation que lui, ces mains étaient dans le même état.

Simor :" tu as brisé le rocher toi aussi ? » Simor sentit qu’une discussion allait s’engager."

Hokmir : "oui, même si j’ai eu du mal, j’ai réussi, grâce à toi !! "

Simor : "à moi ? Il fut surtout étonné de ces propos.je n’aie rien fait pour toi."

Hokmir : "mais si, indirectement, j’étais sur le rocher d’accoter, j’ai tenu parce que je te voyais tenir, tu as fini avant moi, mais ça ma donner encore plus envie de finir"la il cracha.

Simor : "et bien tant mieux !"

Au loin le sergent s’acharnait sur un autre ourouk

Hokmir : "j’aurai bien aimé le démembre celui-là, mais on n’a pas le droit."

Simor : "le droit ? Bien sûr que l’on a le droit, par la suite je compte bien me venger, je n’aime pas ceux qui me manquent de respect."

Hokmir : pareille pour moi, je serai vraiment partant pour qu’on lui mette sa dérouillée.

Simor :"haha oui je suis partant, mais pas tout de suite, plus tard"

Hokmir :"bien évidemment"

*Je suis conscient qu’il fait son devoir, même si cette valeur n’est pas très rependue dans notre race, mais je pense tout de même me faire plaisir à le tuer, pour celai faudrait être cachée des autre, que personne ne sache que ce soit nous. Haaaarg, c’est perfide, mais nécessaire, j’en aie besoin.sa sera le seul acte sournois que je ferai de mon existence je le promets*

Cher les ourouk, on ne parlai pas d’où on venait, on ne parlai pas des parents, simplement parce que tout le monde s’en foutait, et les ourouk eux-mêmes s’en foutait, ce qui était important, c’est qui on devient et ce que l’on accomplit, la est la vraie source de la puissance des ourouk, s’attarder sur le passer n’avance a rien, on ne pleur pas les ancêtres, d’ailleurs on ne pleur pas tout cour, on n’honore pas les morts, on adule seulement les vivants. Ce qui a vraiment de l’importance pour les ourouk-hai, c’est l’avenir de la race ou du moins pour une partie d’entre eux, la haine, la colère, la violence font partite d’une vie d’ourouk, mais cela était normal venant de la part d’une race qui a été crée pour se battre. Il arrive parfois que certain ourouk pense, ou réfléchissent, et ces c’eux la qui sont dangereux, car si la race des ourouk venait à s’unir sous un même commandant, alors elle deviendrait la race la plus dévastatrice, ou du moins ces ce qu’elle pensait, ou que Simor pensait.

Simor et Hokmir marchaient ensemble afin de trouver de quoi manger, sur le chemin ils débutaient une conversation, une conversation étrange pour deux ourouk.

Hokmir :"Alors tu projettes de faire quoi après l’entrainement ?"
Simor aimai lorsque l’on parlait de son avenir, c’est l’un des sujets qu’il préfère.

Simor :"je veux servir le Mordor et entrer dans les élites, tuer et récolter pouvoir et puissance, mais ce qui surpasse tout, c’est de devenir un leader. Cela est difficile, je pense."

Hokmir :"non je ne pense pas, tu vois j’ai toujours considérer que quelque ourouk était dotée d’une certaine intelligence et ces ceux-là qui mené notre race, voilà pourquoi je pense que c’est faisable."

Simor : tu penses que je suis doté….D’intelligence ?

Hokmir :"haha non, je pense juste que tu peux être un leader ces tout"

Simor :"mmmm je pense que je devrai te fracasser le crane pour m’avoir insulté d’imbécile"
Les deux jeunes ourouk se regardèrent et puis ils rirent ensemble.

Simor :"je pense que toi et moi on va s’entendre"

Hokmir : "oui je pense que l’on va accomplir de grande chose ensemble"

Simor :"de grande chose ? De grands massacres oui ! "

Et ils rirent encore tous les deux à vive voix.
Cette nouvelle alliance entre ces deux jeunes ourouk était prometteuse, Simor savait Hokmir comme plus intelligent que la moyenne et il allait profiter de cette occasion pour pouvoir arriver a ces fins, cela tombait a pique, car c’est d’un allier que Simor a besoin en cet instant.

*je ne suis pas dupe, il veut aussi m’utiliser pour faire quelque chose, quoi que ce soit, je m’en moque, car moi aussi j’ai besoin de lui pour devenir le meilleur de cette section *

Simor et Hokmir pénétra dans le campement, en quête de nourriture, mais aussi en quête de rêves et de gloire.

Aujourd’hui, Simor eu un entrainement moins dur et plus technique, en effet l’entrainement a l’arc et a l’arbalète était une discipline que tout ourouk devait maitriser un minimum, Simor opta pour l’arc, bien que la spécialité des ourouk soit l’arbalète, Simor jugea bon de s’entrainer à l’arc.
Il se rendit donc à l’armurerie ou on prenait soin de lui fournir arc et flèches, l’arc était de mauvaise qualité, en effet on n’aurait pas pris le risque de donner un bon arc a un jeune ourouk en début de formation. Simor prit ça comme un défi et se dit que s’il arrivait à quelque chose avec cet arc, alors il sera meilleur avec un bon arc.

Le jeune ourouk aux yeux bleus se rendit donc en « stand de tir à l’arc », c’était plutôt des cibles improviser avec des caisses et du bois, mais cela devrait suffire pour le début. Le sergent n’était pas là, il avait été réquisitionné pour une affaire plus importante, l’ordre qu’il avait donné avant de partir était de s’entrainer à l’arc, tout simplement. Et c’est ce que Simor et ces paires contaient faire.

Donc Simor qui était face à sa cible, encocha une flèche et visa, ensuite il tira, la flèche partie totalement à coter de la cible. * mmm je pense que je tire, trop vite je devrai, me concentrer* l’ourouk encocha une flèche, il attendit un moment et prit le temps de tirer, la flèche touche le bas de la cible, Simor n’était pas m’mécontent, mais à vrai dire il n’était pas fier non plus, un tire aussi médiocre le laissai perplexe sur ces compétences d’archer.

"Tu ne bloques pas ta respiration, tu n’es pas patient, je sais qu’il faut être rapide, mais au début tu dois passer par la"

Simor reconnu la voix de Hokimr "décidément nous somme liée voisin", Simor réencocha une flèche puis continua “Patient ? Comment veux-tu, je suis un ourouk, la patiente c’est pour les hommes et les elfes” l’évocation de ces deux races lui permit de tire droit au but, en plein centre de la cible, Simor eu un sourire en coin, il regarda Hokmir et lui dit “la rage et mon, seul moteur”

Hokmir ne dit plus rien et il tira en quelque seconde au même endroit que Simor. “Tu vois”

Simor rétorqua “je vois que tu es douée pour ça, nous verrons lorsque je te mettrais ta raclée à l’épée haha” Simor reprit le temps de visée, il appliqua les conseille de Hokmir, retint sa respiration et puis il tira, la flèche vint se loger là ou normalement il y avait la tête. Simor fut s’attisait.

*C’est qu’il a raison, il ne faudrait surtout pas qu’il devienne meilleur que moi, cela passerait mal, et je serai dans l’obligation de le tuer, mais attendons de voir ces capacité à l’épée*

Entre Simor et Hokmir se développait une amitié, mais c’était plus de la compétition pour Simor. Le concept d’amitié n’était pas du tout rependu cher les ourouk-haï, les ourouk pensait que l’amitié rendait faible, car cela rendait dépendant de quelqu’un, hors, on ne peut compter que sur soit, il n’y a que de la rivalité au sein d’une horde.

Simor et Hokmir s’entraina une bonne partie de la matinée, Simor, sous les conseils de Hokmir, progressait à vive allure, cela n’avait que du positif pour Simor qui peut a peut sentait la frustration qu’un autre lui apprennent, mais il ne la fit pas paraitre, il devait jouer le jeu pour pouvoir devenir meilleur
L’entrainement de la fin de journée s’annonçait meilleur lorsque le sergent revint avec de bonnes nouvelles.

"Alors, à présent bande de vermisseaux, je vais voir si vous été douée pour chevaucher des wargs"

Simor c’était entrainer toute la journée a chevauchée des wargs, et il s’en était bien sorti, en tout cas il ne fera pas chevaucheur de wargs plus tard c’est sur, a la fin de l’entrainement le sergent avait révélé des informations, cet entrainement avait pour but de déterminée a quels poste ou métier ils seraient affecter. Ce qui était le plus dérangeant c’est que Simor avait toujours essayé de faire le maximum dans tous les domaines, en espérant rejoindre les élites.
L’avenir de Simor était incertain, sauf pour une chose, sa détermination et sa volonté de devenir un guerrier redoutable, Simor se devait de réussir, de ne s’imposer aucune limite. Sa soif de sang, de tuer, avait grandi.

Bien que Simor avait rencontre Horkmir et celui-ci ait fait preuve de grand qualité, il parut aux yeux de Simor comme un rival et non comme un alliée, car Simor savait que peut pouvait accéder au rang des élites. Quant au sergent, Simor savait qu’il devait l’épater, mais cela s’est révélé plus dur que tout, car apparemment le sergent est très difficilement impressionnable.
Simor était assis sur un rocher, il contemplait le Mordor, il ne cessa de réfléchir et pour la première fois il eu des pensées plus poussées :

*quel est mon avenir ? Je ne demande pas mieux que de pouvoir être reconnut et puissant, je veux simplement que ma race devienne meilleure, quel est la plus forte, la plus crainte. Je veux voir le monde brulé dans le néant, je veux voir le sang coulé sur le sol. Mais il n’y a pas que ça, je veux voir la gloire du Mordor, et celle des elfes ou des hommes tomber.*

Et pour la première fois, Simor chantait le chant qu’il avait composé plutôt :

« L’aube se lève, l’aube est le signe.
Signe de notre avènement, celui des ourouk-hai
Écoute bien et tu percevras au loin
Les cris et les hurlements
Accompagner par le bruit des armures
Entends-tu ce bruit de tonnerre ?
C’est nos pas qui font trembler la terre
Tu ferais mieux de fuir
Car nous serons bientôt sur toi ! »

Simor se leva, prit la route du campement, il avait une destinée à accomplir.