Les harondoriens chez les nains ...

Le soleil n'allait pas tardé à se coucher, nous étions partis de Methir à dos de cheval pour nous diriger vers le royaume des nains de Kazad-Dûm. Oh ! Je me présente, je suis Mark Sporn, je suis un négociateur envoyé par le gouverneur d'Harondor Solaiman Organa, pour traiter avec les nains de Kazad-Dûm. Bien que je sois un homme assez vieux, je n'ai pas perdu la vigueur de ma jeunesse. En effet, j'arrive toujours à être actif, à écouter les ordres de mes supérieurs et à gérer plusieurs choses à la fois. Avant que je devienne ambassadeur, j'étais un ancien capitaine de l'armée du Gondor, mais à cause d'une blessure dans ma jambe droite suite à une bataille, je fus obligé de démissionner dans l'armée. Malgré cela, on me confia un nouveau poste celui d'ambassadeur. C'est vrai que je n'aime pas m'occuper de rôle administrative, surtout quand il s'agit du domaine politique, mais l'idée de traiter avec des royaumes étrangers me plaisais et le Gondor avait besoin d'alliés en ces temps troubles. Je suis venu à Kazad-Dûm pour la future entente entre deux peuples. Toutefois, je ne suis pas parti seul, un autre ambassadeur plus jeune que moi m'a suivi jusqu'ici pour le même objectif (établir des relations avec les nains de la Moria). Un homme de la bourse de Methir et un puissant chef d'une entreprise privée ont voulus nous suivre pour aller traiter avec les nains (en espérant faire affaire avec eux). De plus, six soldats d'Harondor nous ont escortés durant notre voyage vers la Moria.

Après des jours de galops, nous nous présentâmes devant l'immense porte de la Moria sur le dos de nos chevaux. Alors que nous étions devant la porte, l'un des six soldats descendit de son cheval, il décida de se diriger vers un garde nain qui était posté près de la porte pour lui déclarer :

« Salutation maître nain ! Je suis un sergent de l'armée du Gondor ! Je suis accompagné de négociateurs envoyé par le Gouverneur Solaiman Organa qui dirige la province d'Harondor  ! Qui est sous la couronne du Gondor ! Nous souhaitons nous entretenir avec les dirigeants de Kazad-Dûm ! Nous sommes ici pour traiter d'affaires diplomatiques ! Y a-t-il quelqu'un avec qui on peut s'entretenir ? Enfin, plus particulièrement avec les négociateurs ! »

Le soldat qui s'était présenté était le sergent de la petite escouade des six soldats qui nous avaient escortés durant le voyage. En effet, depuis deux ans après la chute de L'Empire de L'Ouest, de l'exode massive des elfes et de la menace venue du nord, la Terre du Milieu n'est plus une terre sûre. Les orques en ont profité pour proliférer dans ces terres, mais ce sont surtout les bandits et autres rôdeurs malveillant qui peuplent ces anciennes terres qui jadis appartenait à l'ancien Empire de L'Ouistrenesse et à la Fédération elfique. Désormais, ce sont des terres où la loi du plus fort y règne en maître et où le danger est presque de partout et toujours présent. C'est pour cela que ces six soldats nous avaient accompagné pour assurer une protection permanente.

Ces derniers étaient vêtus d'une gigantesque armure avec des motifs et des symboles typiques du Gondor. Toutefois, ils n'étaient pas les seuls à porter une armure. Moi-même et l'autre ambassadeur en portaient. Seuls le patron de l'entreprise privée et l'homme de la bourse de Methir étaient vêtus de vêtements luxueux de la bourgeoisie harondorienne.

Soldats harondoriens :

Tandis que le sergent interrogea le garde nain. Je commençais à observer les environ en regardant les gens qui passaient devant moi, l’architecture naine et ce qui semblait une partie de l’intérieur de la cité au bout de la grande porte de la Moria. Je voulais entrer à l’intérieur de la cité pour découvrir et connaître l’art et la culture naine. Mais, je n’étais pas venu pour faire du tourisme, j’avais un devoir à remplir et il allait concerner la future entente entre deux peuples.

Alors que le sergent s'avança près du soldat nain en lui demandant :

« Salutation maître nain ! Je suis un sergent de l'armée du Gondor ! Je suis accompagné de négociateurs envoyé par le Gouverneur Solaiman Organa qui dirige la province d'Harondor  ! Qui est sous la couronne du Gondor ! Nous souhaitons nous entretenir avec les dirigeants de Kazad-Dûm ! Nous sommes ici pour traiter d'affaires diplomatiques ! Y a-t-il quelqu'un avec qui on peut s'entretenir ? Enfin, plus particulièrement avec les négociateurs ! »

Le garde nain commença regarda minutieusement de haut en bas l'armure du sergent. Après quelques moments de réflexions ce dernier répondit :

« Salutation messieurs, restez ici quelques minutes, je reviens tout de suite. »

Très vite, il partit en direction de la cité. Pendant-ce temps, je commençais à discuter avec l'autre ambassadeur ainsi qu'avec l'homme de la bourse et le patron :

« Nous y voilà ! Cela a été rapide ! Bon terminons avec ces négociations ! »

Puis, c'est alors que l'autre ambassadeur commença à me regarder étrangement. Ce dernier était plus jeune que moi, c'était même juste un jeune homme âgé à peine de dix-sept ans, il avait une courte chevelure blonde avec des yeux marron. Bien qu'il soit âgé de dix-sept ans, il avait l'air encore plus jeune. En effet, sa voix assez aiguë, sa petite taille et surtout son visage comparable à un jeune enfant faisait penser à un jeune garçon à peine âgé de douze ou quatorze ans. Toutefois, il était aussi un bon combattant très bon au maniement de l’épée, mais il était surtout quelqu'un qui savait bien s'organiser et négocier avec les autres. Tandis que je prononçais mes paroles, ce dernier me répondit :

« Nous devons être patient mon seigneur ! Nous sommes ici pour traiter d'affaire d'une importance capitale ! La relation entre nos deux peuples en dépend ! Et les temps sont durs en ce moment et il nous faut des alliés ! »

« S'il vous plaît ne m'appeler pas « seigneur » ! Je suis un soldat ne l'oublier pas ! Et vous savez très bien que je n'apprécie pas trop la noblesse ! Lui répondis-je »

« Très bien capitaine Mark Sporn si vous préférez … Répondit-il avec un ton assez provocateur.»


« J'ai l'impression que le nain ne nous a pas vu ! Pourtant, nous sommes aussi venus pour faire affaire avec les nains de Kazad-Dûm ! Répondis à soudainement l'émissaire de la bourse.»

Soudain, un nain débarqua, mais ce dernier était différent des autres. Je le reconnu très rapidement grâce à sa couronne sur sa tête. Ce dernier nous regarda attentivement et nous demanda :

« Bienvenue, mon garde m'a signalé votre présence, vous dîtes venir de l'Harondor sous l'ordre de Solaiman Organa et je vous crois, on m'avait averti de votre venue. Je veux bien m'entretenir avec vous mais je demanderai à vos gardes de laisser leurs armes ici. Ils vont être accompagnés dans une taverne où ils pourront se divertir.

Si vous vous  voulez bien me suivre. Nous demanda-t-il.»

Puis, c'est alors que le sergent vêtu de sa gigantesque armure s'agenouilla près du roi nain avec les cinq autres soldats. Très poliment, il demanda au roi :

« Seigneur de la Moria ! Nous vous demanderons de rester avec les deux ambassadeurs et les deux autres hommes ! Nous avons juré de les protéger et de les suivre où qu'ils aillent pour assure leur … »

« Cela suffit ! Vous avez accompli votre devoir ! Nous ne risquons rien ! Reposez-vous soldats je vous en pris ! Le voyage a étté long et fatiguant pour vous ! M'exclamais-je avec un ton assez grave.»

Les soldats acceptèrent et donnèrent leurs armes lourdes aux gardes nains. Puis, ils partirent en suivant d'autres soldats nains. Après cela, nous suivions le roi nain où il nous emmena à la salle du trône où se tenait une grande table ronde. Ce dernier nous demanda de nous asseoir tout en nous saluant en même temps :

« Bonjour Messieurs, comment vous vous appelez ?  Et que voulez vous ? »

Il se tourna ensuite vers un page, et lui demande :

« Apporte de quoi boire à nos invités, ils doivent être fatigués après leur long voyage »

Tandis que le jeune serviteur alla vite chercher de quoi boire dont il posa deux choppes de bières devant moi et mon ami. Je décidais de répondre à la question du roi nain qu'il avait posé quelques secondes auparavant :

« Les soldats qui m'accompagnent sont des spartiates de l'ordre des chevaliers ! Une branche d'élites soldats en Harondor ! Ils font partir des guerriers les plus puissants de l'humanité ! Mais, ils sont surtout très loyaux, voir même un peu trop ! Enfin, bref, nous sommes heureux de vous rencontrer roi de Kazad-Dûm ! Je me présente Mark Sporn, je suis accompagné de mon ami qui est un autre ambassadeur, ainsi que d'un émissaire envoyé par la bourse de Methir et d'un patron d'une puissante entreprise en Harondor ! »

Alors que je pris une belle chope de bière, l'autre ambassadeur regarda à son tour le roi nain pour lui dévoiler :

« Nous sommes des négociateurs et nous voulons établir de bonnes relations avec vous ! Harondor est une province où la libre circulation des personnes et des marchandises sont garanties pour les alliés du Gondor ! Nous voulons surtout établir de bonnes relations économiques ! En effet, nous voulons créer de nouveaux axes commerciaux entre l'Harondor et la Moria ! Comme la libre circulation des personnes et des marchandises sont garanties, vous n'aurez pas à payer de taxes ! Ce qui serait bénéfique à la fois pour vous et pour nous ! Quand pensez-vous ? Avez-vous des questions ? »

Alors que Borgïn le roi de Kazad-Dûm termina ses paroles, ce dernier décida de prendre une chope de bière en attendant une réponse. Mon compagnon répondit d'un ton amical :

« Si vous voulez de la nourriture ! On n'en manque pas en Harondor ! Nous nous sommes spécialisés dans l'agriculture, mais surtout dans l'élevage ! En effet, nous produisons d'immense plantation au nord D'Harondor ! Toutefois, nous ne pouvons pas en installer dans les autres coins d'Harondor, car le climat y est très sec et aride ! Mais, nous avons compensé cela en nous spécialisant dans l'élevage ! Notre province est très connue pour élever d'immense troupeau de bœufs, de moutons et de pleins d'autres animaux ! En Harondor, un troupeau de bêtes cela peut aller de 300 à 2000 ! Vous n'aurez peut-être pas beaucoup de blés, mais vous ne manquerez pas de charcuterie et de viandes ! Cependant, dans l'ouest, nous possédons des produits qui n'existent nulle part ailleurs, les épices ! Nous avons du poivre, du curry, des fines herbes et encore pleins d'autres épices typiques du sud ! Les épices n'existent pas seulement en Harad ou en Rhùn ! Nous en avons également dans notre province et en grande quantité ! Mais, nous élevons également des champs de cotons pour en faire des habits ou du textile ! De plus, grâce à l'industrialisation et à nos manufactures nous pouvons fabriquer des habits et des vêtements en grandes quantités ! Récemment, nous avons élevé des champs d'herbes médicinales en tous genres ! Mais, Harondor ce n'est pas seulement ces produits, c'est aussi une histoire et une culture qui lui est propre ! Mon ami va vous l'expliquer ! »

Mon coéquipier décida de reprendre son souffle à force de parler sans prendre de pause, on finit par s'essouffler. Toutefois, je n'ai pas aimé quand il m'a désigné comme mon « ami ». Ce gamin est loin d'être amical, je le trouve arrogant, énervant et il cherche souvent les ennuis. D'ailleurs, il me faisait un regard assez provocateur qui m'énervait. Mais, je ne pouvais m'énerver devant le roi de Kazad-Dûm, cela risquerait de rompre les négociations, voir même créer un incident politique. Rapidement, je terminais ma chope de bière que l'un des serviteurs du roi avait déposée devant moi avant de dire :

« En effet, nous avons bel et bien une culture qui nous est propre en Harondor et cette dernière provient de notre passé. Notre peuple est dû au mélange de deux autres peuples, les Gondoriens et les Suderons. Notre culture, notre mode de penser, nos coutumes est un mélange de nos deux peuples ! Sacher aussi que nous n'aimons gère d'être traité comme des Gondoriens, ni même pour des Suderons. Les autres royaumes nous voient comme des Gondorien. Tandis que les autres provinces du Gondor, nous voit comme des Suderons. Nous formons un peuple à part entière, même si c'est vrai que nous sommes issus à l'origine de ces deux peuples. Enfin bref ! Nous voulons aussi établir une ambassade et un comptoir commercial dans votre cité, mais aussi des théâtres, des balles et des opéras pour vous faire découvrir notre culture et nos coutumes,  si vous l'acceptez. Toutefois, nous voulons aussi découvrir votre culture et vos coutumes. Si vous le voulez, vous pourrez construire une ambassade et un comptoir commercial en Harodor, mais aussi des lieux culturels et de fêtes typiques de votre royaume. Nous pourrons travailler main dans la main nous en ouvrant nos frontières. Pas seulement pour le commerce, mais aussi pour d'autres domaines. En Harondor, nous avons développé ce qu'on appelle le « tourisme », c'est une activité qui consiste à faire découvrir aux étrangers notre culture et notre histoire en leur proposant un cadre de vie attractif. Nous pourrons ouvrir nos frontières pour permettre à nos jeunes étudiants d'étudier dans de nouveaux domaines qui n'existent seulement dans nos pays ou encore permettre à nos professeurs d'enseigner la jeunesse dans des domaines qui leur sont inconnus. Je comprends que vous n'acceptez pas de dévoiler vos secrets, mais nous pourrons quand même partager quelques petites choses tout en gardant nos secrets les plus importants pour nous, mais c'est à vous de voir. Voici ce qu'on vous propose et vous ? »

Alors que je terminais mes paroles, le serviteur revint une nouvelle fois en posant une assiette de saucissons sur la table. Tandis que je remerciai le serviteur, le roi de Kazad-Dûm après avoir avalé son apéritif répondit :

« Ecoutez, vos élevages m’intéressent énormément, en effet, je ne vais pas vous le cacher, ici, à Khazad-Dûm, nous mangeons beaucoup de viandes animales. De par notre culture Naugrim évidemment. Et comme vous pouvez le voir avec cet apéritif, on adore ça. Mais nous n’en avons pas assez pour la population.  Pour le reste, nous ne manquons pas d’habits, ni de plantes, et les épices nous intéresse pas pour l’instant. Donc si nous devons signez un accord pour des échanges, ce sera principalement du bétail.

Pour ce qui est des ambassades et ce qui va avec, cela me semble être une bonne idée pour rapprocher nos peuples et créer une belle amitié. Cependant, je ne souhaite qu’accepter l’ambassade et le comptoir commercial pour l’instant. Les Théâtres et Opéras ne nous intéressent pas pour le moment, je dois vous l’avouer. Mais qui sait, si cela se passe bien, dans le futur je pourrais accepter vos éléments culturels chez nous.

Donc si nous résumons,  j’accepte votre offre concernant l’Ambassade, et les comptoirs commerciaux. Ainsi nous construirons dans chacune de nos villes, ces bâtiments-là.

Mais j’accepte aussi  votre offre concernant le bétail, l’élevage. Et je vous propose en échange de cela, la spécialité Naine, la spécialité de Khazad-Dûm : Des minerais, c’est vous qui les choisirez, je peux également vous proposer du Mithril, mais qu’en petite quantité. Je vous propose aussi de la bière, nos cultures de Maltes et d’Houblon nous permettent d’acheminer suffisamment de bière dans tout Arda. Et vous-même savez, que la bière de chez nous est la meilleur. »

Cela faisait plaisir d’entendre cela ! Les nains étaient des personnes honorables et fières qu’on pouvait faire confiance. Mais, du Mithril ! Certes en petite quantité, mais je n’aurais jamais imaginé que ce dernier nous en proposerait. Je pensais que les nains voulaient garder le secret de ce fameux métal. De la bière naine ! Même si on fabrique de l’alcool en Harondor, la bière naine est la meilleure boisson de la Terre du Milieu, avec l’eau pure et la population d’Harondor serait ravie d’en recevoir. Mais, alors que le Roi reprit une gorgée, il termina :

« Pour résumé plus clairement, nous avons donc :
Du bétail contre de la bière ou des minerais, ou les deux.
Et une ambassade et un comptoir de l’un dans la ville de l’autre.
Cela vous convient-il ? »

Cela me convient parfaitement, mais je ne trouvais pas ça équitable. Enfin, ce que je veux dire ! Il nous offre les minerais et la bière ! Et nous seulement le bétail. Il fallait bien leur proposer quelque chose pour que cela soit plus équitable entre nous. Tandis que je terminais de manger un bout de saucisson, je repris d'une voix calme :

« Vous nous offrez la bière et les minerais. Et nous nous vous offrons le bétail. Mais, j'aimerais aussi vous proposer autre chose. En Harondor, nous sommes proches des côtes, ce qui fait que l'on bénéficie de la mer ainsi que de ses produits. Nos bateaux de pêches récoltent des tonnes de poissons, de crustacés, de fruits de mers et d'algues comestibles. Nous récoltons aussi de belles perles et autres joyaux provenant de la mer. Est-ce que les produits de la mer vous intéressent ? Ou voulez-vous seulement vous contentez du bétail ? »

Le roi Borgïn avait l’air intéressé par les produits de la mer que je lui proposais. Ce dernier répondit :

« Vos produits de mer m’intéressent, alors j’accepte pour le bétail et ces produits maritimes. Cependant j’aimerai revenir au Mithril, vous devez certainement le savoir ce métal est précieux, et nous vous en donnerons en petite quantité, seulement cette petite quantité vaudra quand même un grand nombre de bêtes et de nourriture. Donc faites attention à la vraie valeur du Mithril. D’ailleurs cette petite quantité vous sera donnée tous les 6 mois, le reste du temps nous vous donnerons les minerais plus communs comme le fer, or etc… en échange de vos produits.

Est-ce que cela vous va ? Si cela vous va, ce fut une joie de traité avec vous, vous pouvez rester ici le temps qu’il vous faudra, nous avons des chambres d’amis. »

Le roi nain se leva attendant une réponse de notre part. Aussitôt, je fis de même avant de lui déclarer :

« J'ai oublié de vous le dire avant, mais je vous remercie pour votre générosité et pour avoir accepté de discuter avec nous. Je vous suis redevable roi de Kazad Dûm. Pour le bétail et les produits de la mer, vous ne regretterez pas. Mes supérieurs et le peuple d'Harondor seront ravis de tous vos produits. Il ne reste plus qu'à signer un papier et le marché sera conclu. Nous acceptons votre offre d'hébergement avant de reprendre le voyage demain matin. »

Très vite, je sortis la feuille de mon sac avant de la déposer près du roi nain. Ce dernier signa rapidement la feuille, le contrat était maintenant conclu. Aussitôt, je fis mes adieux au roi Borgïn en le remerciant. Cependant, nous restâmes à Kazad-Dûm durant toute la journée et la nuit pour reprendre des forces avant de nous remettre en route.