[RP FB]Orqueback Mountain : petites batailles entre amis.

Le Mordor était une grande terre. Et contrairement à ce que pensaient habituellement les habitants des terres du milieu, tout le Mordor n'était pas désertique et désolé. En vérité, seul les territoires près des frontières communes d'avec les peuples libres étaient dans un tel état. Tout simplement parce que cela constituait un intérêt stratégique certain et décourageait les dis peuples libres de s'installer trop près des frontières du Mordor, voir à l'intérieur de celle ci si d'aventures il parvenaient à percer les défenses du Seigneur Sauron.
Les terres les plus reculées étaient elles, verdoyantes, voir forestières. Elles avaient par le passé bénéficié des cendres fertiles de l'Orodruin après tout.

C'était dans ce genre de terre que se trouvait Ciryandil. Il était couché sur un promontoire, surplombant une vallée très encaissée. Par bonheur elle n'avait pas d'arbre, ce qui facilitait son observation. Et ce qu'il voyait ne lui plaisait pas. Dans la vallée se trouvaient au bas mot 3000 hommes, femmes, et diverses variations d'esclaves. Ou, pour être exacte, des esclaves en rébellion. Cela le contrariait car ses renseignements les plus frais ne mentionnaient que 800 esclaves, et non 3000.

Le Loup du Mordor soupira sous son masque et nota de demander à Loréalle de créer un moyen de communiquer instantanément d'un point A à un point B très éloigné. S'il y avait bien quelqu'un capable de le faire c'était elle.

Bon. En attendant, il allait devoir trouver un moyen de mater cette rébellion, en capturant les chefs, tuant les autres esclaves et le tout en s'amusant. Ce qui serait beaucoup plus simple s'il n'y avait pas derrière lui une troupe de 800 orcs et une prophétesse incapable de prophétie [HRP : Si je ne me trompe pas? Il me semble que Prophétesse est juste un nom?]. Un concept qui lui échappait encore... Bref. Il avait tout de même repéré au moins 6 manières de mater cette rébellion d'esclave de manière amusante. Mais d'abord, il devait en parler aux autres...

Retournant discrètement sur pas (bien qu'il n'en avait pas besoin vu l'organisation - inexistante - des esclaves, qui tentaient de monter ce qui ressemblait à une embuscade mais qui du point de vue de Ciryandil ressemblait plus à une partie de cache cache géante), il se releva, s'épousseta et retourna vers l'armée, qui attendait sa reconnaissance. Arrivant près de l'état major de l'expédition, il déclara :

"La bonne nouvelle, c'est que finalement les orcs n'auront pas à se plaindre : il y aura bien assez de gens à tuer pour tout le monde, vu qu'ils doivent être 3000 à vue de nez. La mauvaise, c'est que je n'ai pas l'intention de faire joujou avec ces esclaves, ce qui veut dire qu'il nous faut un plan de bataille sérieux. Parce que oui, ils sont peut être deux fois plus nombreux mais on va quand même se débarrasser de cette rébellion.

Des questions?"

Une petite voix résonna dans sa tête, et il ajouta :

"Si possible sans tous les tuer en fait, vu qu'on a encore besoin de petit personnel au Mordor. Et que je n'ai pas envie de mourir sous les paperasses que l'intendante ne manquera pas de m'envoyer pour me justifier si aucun esclave n'en réchappe.
Et croyez moi, je ne serais pas le seul à en chier si on en arrive là," Conclut-il d'un regard appuyé et entendu.

[HRP : et voilà! Bon je recommence à RP, donc le opremier message est toujours le plus douloureux LOL. Snardat n'hésite pas à intervenir avec le perso que tu veux, j'ai laissé ça flou exprès Wink

]

[HRP] J'ai choisi plutôt un millier de soldats (soit un bataillon) que huit cent, j'espère que cela ne te dérange pas. Pour ce qui est du grade c'est général. Voilà Wink

! [HRP]

Quelque part dans les plaines de Nurn …

« Bougez-vous bon sang ! Hurlai-je. »

Je suis Vorks, un capitaine Olog hai du Mordor, serviteur loyal de Sauron. Je suis parti avec une légion constituée d'un millier de soldats du Mordor dont cinq cents orques, deux cents uruks, une centaine d'assassins gobelins, une centaine de trolls des montagnes et une centaine d'humains berserkers (d'anciens esclaves humains réhabilités et endoctrinés).

Je commandais trois compagnies d'orques, de trolls et d'uruks. Je n'étais pas venu seul, il y avait avec moi un autre capitaine, Octavius un numénoréen noir. Je ne supportais pas ce type avec son « pseudo sens de l'humour » et ses manières. C'est le genre de gars qu'on a tous envie de frapper bien fort sur le crane. Le gars commandait aussi trois compagnies, il y avait avec lui son frangin, Doudou. Un troll … bizarre. Sa tête et son visage glace presque le sang de n'apporte qui. Le visage de ce troll est très proche d'un humain déformé à qui on aurait genre « défoncé le crane ». Donc imaginer une grosse tête humaine déformée sur le corps d'un troll et vous obtenez un beau résultat. Ce résultat c'est Doudou. Octavius considère ce troll comme son petit frère, car il aurait adopté alors qu'il n'était qu'un nourrisson. Ce dernier possède une intelligence assez limitée comme tous les trolls basiques. Toutefois, ce dernier a toujours faim et il n'hésite pas à bouffer presque tout ce qu'il voit qui est comestible y compris ses camarades (sauf Octavius). Mais, bon suffit juste de lui taper sur la tête pour qu'il se calme. Contrairement, à son frère et malgré cette faim insatiable lui au moins il ne me fait pas chier toute la journée !

Cependant, je n'étais que capitaine, il y avait des personnes plus hautes gradées que moi. Parmi-eux, il y avait ce jeune humain, un ancien esclave qui a montré ses talents. C'est un commandant de guerre et il se nomme … Eothan ! Ou encore « Le Sanglant ». Cet humain est … en réalité ce type a abandonné son humanité ! Il ne pense qu'à une seule unique chose, tuer encore et encore. Cependant, c'est loin d'être abruti, c'est un excellent stratège et quelqu'un de très rusé. Mais, ce n'est pas le genre de type avec qui on a envie de sympathiser à cause de son caractère à vouloir « massacrer tout ce qui lui fait obstacle ».

Fort heureusement, il y a l'autre commandant, un grand orque à la peau verte nommé Max Gorknom. Tout comme Eothan, c'est un excellent stratège. Même si c'est quelqu'un qui adore massacré tous ses ennemis (comme moi), il n'est pas comme cet Eothan qui n'arrive pas à avoir une « vie sociale ». C'est généralement avec lui que je discute de stratégies et de guerres. C'est également un bon ami et bon camarade de combat.

Il y a également des sous-officiers comme ce lieutenant gobelin, Roger. Il commande une compagnie d'assassins gobelins. C'est un bon ami que j'ai sous mes ordres, mais ce gobelin est … Vous savez ! On a tous un pote chelou ou dans la limite « le n'apporte quoi ». Cet ami c'est Roger, ce gars-là est accro aux champignons hallucinogènes et de diverses drogues. Toutefois, ce type s'y connaît en potion, mais surtout en remède et poison. Il m'a même sauvé la vie donc j'ai une dette envers lui.

Il y a un autre lieutenant cet uruk à la peau grise, Bog. Je ne le connais pas très bien, mais d'après Max, c'est un lieutenant ambitieux, mais ce dernier n'arrive pas à le supporter. D'après ce qu'on m'a dit, c'est un raciste qui traite les orques comme des « snagas » (comme la majorité des uruks), mais lui c'est encore pire. Il a même crié qu'un orque ne devrait pas être commandant ou général ce qui a énervé Max. Pour le corriger, Max l'avait obligé de divertir Doudou en se travestissant en femme elfe en faisant des danses haradrims devant toute la légion. Il déteste également les humains et les elfes du Mordor. C'est un peu le tonton raciste qu'on a presque tous, le genre de type qui n'aime personne à part sa gueule. Depuis, la punition de Max, il s'est juré de le battre en duel, mais ce dernier a toujours fini par terre avec trois bosses sur la tête.

Cependant, celle qui commandait toute la légion était le général. Pour être plus précis, c'est une … femme. Elle se prénommait Maria, « La Chaoticienne » ou encore « La Prophétesse ». D'ailleurs, pour le dernier surnom, je n'ai toujours pas compris le sens et le délire. Cette femme est mystérieuse, c'est l'énigme de la légion. Bien sûr, Roger a tenté de voler quelques culottes et soutiens gorges sans grand succès (quoi que ! Il a réussi à dérober une petite culotte, mais il se l'est fait piquer juste après par un autre lieutenant). Cette femme qui pourtant mesure seulement 1 mètre75 a réussi à battre moi et Max en un rien de temps. Elle nous en a fait voir celle-là ! Elle est également bizarre, mais quand il s'agit du « n'apporte quoi » c'est pire que Roger. Je ne vous citerai pas d'exemple, mais sachez qu'elle était autrefois une connétable du Gondor il y a à peu près une décennie.

Le jour se levait, les soldats se mirent en marche. Après trois heures de marches, nous arrivâmes vers notre objectif. Notre but était de nous occuper d’une rébellion d’esclaves. Sauf qu’en arrivant, on s’attendait à une petite rébellion. Boum ! Trois milles esclaves qui se rebellent face à un bataillon d’un millier de soldats.

Max qui était à côté de moi déclara :

« Cela fait beaucoup de monde pour une simple rébellion. »

« Ouais ! Je me demande comment ils ont pu se rebeller ? Demandai-je. »

« Je ne sais pas, mais on le sera bien assez tôt ! Répondit Max. »

Tout en haut d’une colline, il y avait un drôle de type avec un masque. C’était qui ? La générale s’approcha de lui. Ce dernier se leva avant de déclarer :

"La bonne nouvelle, c'est que finalement les orcs n'auront pas à se plaindre : il y aura bien assez de gens à tuer pour tout le monde, vu qu'ils doivent être 3000 à vue de nez. La mauvaise, c'est que je n'ai pas l'intention de faire joujou avec ces esclaves, ce qui veut dire qu'il nous faut un plan de bataille sérieux. Parce que oui, ils sont peut être deux fois plus nombreux mais on va quand même se débarrasser de cette rébellion.
Des questions?"

Je voulais lui poser la question, mais ce dernier rétorqua :

« Si possible sans tous les tuer en fait, vu qu'on a encore besoin de petit personnel au Mordor. Et que je n'ai pas envie de mourir sous les paperasses que l'intendante ne manquera pas de m'envoyer pour me justifier si aucun esclave n'en réchappe. Et croyez-moi, je ne serais pas le seul à en chier si on en arrive là. »

C'est à ce moment-là que je demandais à cet étranger :

« Vous êtes qui au juste ? »

Puis, c'est alors qu'un autre soldat, un humain en armure lourde demanda à haute voix :

« On aura le droit de violer les femmes esclaves ? »

Puis, un autre soldat, mais cette fois un orque demanda aussi à haute voix :

« On pourra jouer au golf avec la tête des esclaves morts ? »

« On peut bouffer les esclaves rebelles ? Interrogea un autre orque. »

« On pourrait … »

Puis, c'est à ce moment-là que je criai sur les soldats :

« Vos gueules ! »

Tout le monde reprit son calme. C'est alors que Max me déclara :

« Il parait qu'il y aura d'autres types qui vont venir. »

« C'est qui eux ? »

« Une compagnie ou un régiment d'orque. Enfin, je ne sais pas plus, mais il semblerait que celui qui les commande s'appelle … « croc blanc » un truc comme ça. Mais, je ne suis pas sûr que cela soit lui le chef des renforts qui vont venir nous aider. Répondit Max. »

« Bof ! On aura bien besoin d'aide face à trois mille esclaves. Dis-je. »

Les renforts étaient arrivés. Contrairement à notre bataillon, il était presque composé que d'orques et de quelques trolls. Je n'arrivais pas très bien à estimer leur nombre, mais les voilà enfin arrivé.

Mais, alors que les renforts venaient d'arriver, le lieutenant Bog, cet uruk casse pied déclara à haute voix :

« Hey ! Ils ont envoyé des « snagas » pour nous aider ou quoi *rire* ?! »

À ce moment-là, Bog fut projeté en l'air après un énorme coup dans la mâchoire de la part de Max. Ce dernier retomba quelques mètres derrières, mais celui-ci n'était pas mort, il était simplement assommé.

Max s'approcha ce qui semble être le chef des renforts qui venaient d'arriver avant de dire :

« Je suis désolé de l'égoïsme de cet ururk, soyez les bienvenus frères d'armes ! Je suis le commandant Max Gorknom, chef du régiment « les poignes en fer ». Vous êtes qui ? »

Tandis que Max saluait le chef des renforts orques, la générale discutait avec l'étranger en haut de la colline. Cette dernière avec une voix plutôt calme demanda :

« Je suis la générale Maria, mais on m'appelle aussi « La Chaoticienne » ou encore « La Prophétesse ». Pour ce qui est du dernier surnom, c'est une longue histoire. Le genre d'histoire qu'on ne se rappelle plus après soixante chopes de bières. Bien vous êtes qui ? Et quel est votre plan pour arrêter cette rébellion ? Je suis venu avec un bataillon de soldats du Mordor de diverses races. Une sorte de club métissé partir en vacances pour jouer avec des esclaves. Oui ! Pour eux les vacances, c'est de partir en guerre. Bien revenons au fait ! Plan et identité ! Votre bouffe préférée ! Votre chien de garde ! La plaque d'immatriculation du fer de votre cheval ! Et le blablabala habituel. »

Bon. Voilà. Ça y est. Quand faut y aller, faut y aller. C'est pas tout ça mais il serait temps de s'y mettre.

...

Non vraiment, ça n'aide pas à s'atteler à la tâche. Bon. Par où je commence?

Voilà quelle furent les premières pensées de Ciryandil lorsque les individus qu'il avait en face de lui eurent fini de... Hem. Il n'était pas tout à fait certain de savoir ce qu'ils avaient fini, mais une chose était sûr, il allait pouvoir en placer une. Derrière le masque, un sourire apparut. Bien sûr, personne ne pouvait le voir, mais ceux qui le connaissaient bien pouvait deviner qu'il souriait, en cet instant.
La générale Maria avait amené le... Fameux... Max. Max. Max Gorknom. Max. Nom d'un valar à roulette, qu'est-ce que c'était que ce nom? Encore, Gorknom, c'était bien orc, ça cadrait bien avec le personnage. Il y avait le lot de G et de K assemblé en sons gutturaux pour signifier à tous que non, le propriétaire de ce nom n'était pas gentil et que non, il n'était pas non plus là pour discuter mais bien pour vous faire un grand ravalement de façade façon Arwen D'amid'au à grand coup de marouflage.
Mais Max? Il était arrivé en bout de queue à la distribution des consonnes ou quoi?
Et.... Et... Oui. C'était bien ce qu'il lui semblait. Il venait aussi d'apercevoir... Doudou. Le troll au nom le moins menaçant du monde. Si... "Max" était en bout de queue, Doudou lui était arrivé juste avant la fermeture.
Bon, dans la bande des noms improbable il y avait aussi... Roger le gobelin. Un nom qui fleurait bon le pilier de taverne au Rohan, en train de remplir sa grille de pari pour la prochaine course de chevaux. Arrg.
Et pour finir il y avait Eothan, qui aurait sans doute bien voulu s'appeler Eothen, mais pas de bol, c'était déjà pris et petite cerise trop mûre sur le gateau, ils s'appelaient les poigne en fers. Sans doute qu'à l'origine, les premiers orcs de la compagnie étaient portiers.
Bon ok, ce dernier nom n'était pas si mauvais, mais dans l'esprit de Ciryandil, impossible d'y penser sans penser à des poignées de porte. Allez savoir pourquoi. Bref. Autant oublier tout ça et se concentrer, si possible, sur la tache à accomplir.

Celui qui faisait face à la dénommée Maria était un elfe de grande taille, à la silhouette athlétique, plus fine que celle des orcs. Son visage était caché par un masque de loup hurlant ne laissant apparaitre que des yeux jaunes, pénétrant. C'était un regard qu'il était difficile d'oublier, lorsqu'on le croisait. Il donnait la vague impression de vous avoir mis a nu, de tout savoir de vos secrets, jusqu'au plus honteux, mais aussi d'avoir évalué la menace que vous représentiez et déterminé une demi douzaine de manière de se débarrasser de vous. Le tout en une fraction de seconde.
Quant au reste de son apparence, elle était au moins aussi singulière. Une seule épée pendait à son côté, dans un fourreau de facture simple mais d'apparence solide. On ne voyait que la garde et la poignée, tout deux... Trop simples pour être elfique : aucun joyau, aucune décoration. Pas de forme intimidante ou d'inscription. On restait avec la désagréable sensation que le forgeron avait jugé tous les froufrous habituel superflu, voir déplacé, pour une arme de cette trempe.
Enfin, il y avait le reste de la tenue. Dont il était impossible de dire si c'était une armure à laquelle on avait donné l'apparence de vêtements, ou de vêtements auxquels on avait donné l'apparence d'une armure.

Qui je suis? Attendez... Comment vous avez fait pour devenir général sans avoir entendu parler de moi? Non, laissez tomber.

Alors qui je suis? Au dernière nouvelles, l'un des 5 seigneurs du Mordor, le maitre Espion de Sauron, son bras droit et... Ah non. Depuis l'intendante, je suis le bras gauche. M'en fout Sauron est ambidextre. Bref. Genre le tout premier elfe à s'être mis à son service et votre supérieur hiérarchique. Accessoirement. Le Loup du Mordor quoi. Ou simplement le Loup. Peu m'importe.

Parmi les orcs, qui n'étaient pas si éloigné que ça, il y eut soudain des cris de surprises. L'individu qui avait demandé si on pouvait violer les femmes esclaves venait d'attraper une maladie fulgurante et mortelle : une dague dans la gorge. La voix de Ciryandil se fit entendre, plus fort, car parvenant à couvrir le vacarme de deux compagnies du Mordor en déplacement, sans pour autant crier :

Oups. J'étais en train de nettoyer ma dague et j'ai glissé. Si quelqu'un d'autre veut violer quoique ce soit, qu'il n'hésite pas à se manifester. J'ai encore quelque dagues à nettoyer.

Maria n'avait pas pu voir Ciryandil lancer cette dague, ce qui menait à plusieurs hypothèse : soit quelqu'un d'autre l'avait lancée, soit Ciryandil était très rapide, soit il savait s'y prendre pour agir sans qu'on le remarque. Une chose était sûr, le Loup du Mordor ne semblait pas du tout s'inquiéter de la réaction des orcs. Se retournant vers Maria, il déclara :

Mon plan, je vous le dévoilerait lorsque le commandant des renforts sera là.