Petites Transactions entre amis

Une belle journée ensoleillée à Methir ! Les oiseaux chantent gaiement ! Les habitants et les voyageurs sont à leur occupation. Methir est devenu en deux ans, une ville à la fois « industriel », « moderne » et culturel. Le Streep, le quartier des plaisirs et des fêtes accueillent de plus en plus de voyageurs chaque jour et chaque nuit. La cité n’a jamais été aussi portée aussi avant l'arrivée au pouvoir de Solaiman Organa. Cette cité est le siège de la démocratie Harondorienne, mais aussi du capitalisme. Les bourgeois, les marchands riches et les « requins de la finance » sont devenus les véritables maîtres de la ville au détriment de l'aristocratie. Le capitalisme et la démocratie ont permis l'émergence de nouvelles classes, comme la « classe moyenne ». En effet, grâce à l'augmentation des salaires, des lois sociales, du dimanche et des deux semaines congés payés, les habitants ont pu devenir plus riches. Certes, les habitants travaillent moins et ils payent moins de taxes, mais l'argent qu'ils gagnent, ils le dépensent pour divers loisirs. De plus, on manque de moins d'œuvres dans les manufactures et autres travaux, c'est pour cela que l'immigration est très encouragée. Des milliers d'hommes, femmes et enfants fuyant la guerre, la pauvreté, la misère et pire encore viennent en Harondor pour créer une nouvelle vie. De plus, Methir est un port très important au Gondor, des bateaux chargés d'épices, de contons, de produits fabriqués dans les manufactures et encore pleines d'autres quittent le port. D'autres bateaux ramènent des produits qui viennent de l'étranger. Voilà, comment Methir prospère !

Je me prénomme ! Je suis Norman Stone ! Je suis le directeur de la Bourse de Methir, c'est moi qui contrôle les actions dans tout l'Harondor. Mais, ces temps-ci, mon ambition s'est tournée vers les autres contrées de la Terre du Milieu. Je suis riche, puissant et célèbre ! L'année dernière, j'ai gagné cinq millions neufs cent mille pièces d'or ! Ce qui me fait chier, c'est que j'étais presque à cinq cents mille pièces d'or par mois. Vous savez le monde de la finance est un monde dangereux où seul la loi du plus fort règne ! Et le plus fort bouffe et aplati tous les autres ! Je passe mes journées à travailler dans la Bourse à traiter avec des marchands, de riches entrepreneurs, des aristocrates et encore pleins d’autres. Tandis que les nuits, je passe mon temps à baiser des putes, à prendre de la drogue, à boire et à m'amuser comme taré ! J'aime les femmes, mais aussi les gros cigares, les jeux de cartes et d'argent ! Je déteste les aristocrates, la pauvreté et surtout les personnes qui m'ennuient ou qui me trahissent.

Tandis que je me rendais vers le quartier des affaires ! Ah ! Le quartier des affaires ! C'est mon lieu préféré avec le Streep. Ces bâtiments sont d'une taille gigantesque avec leurs colonnes (comme à la façon grecque et romaine dans votre monde cher lecteur), leur toit gigantesque et leurs murs d'un blanc éclatant. C'est ici où se rassemble, les personnes les plus riches et les plus influant de tout Harondor. On peut trouver de riches entrepreneurs, des marchands, ses « requins de la finance », ses actionnaires et encore pleins d'autres.

Puis, c’est alors que de mystérieux personnages firent leur apparition. D’après leurs vêtements, ils doivent être des mercenaires Suderons. J’espère que ces derniers ne vont pas nous traiter de Gondorien. On n’est pas des paysans et des connards d’aristocrates nous autres Harondorien ! Sinon, je ne leur donne pas chère de leur peau ! Enfin, bref ! Alors que je me rendais vers la Bourse qui m’accueillait avec ses gigantesques colonnes, ses immenses escaliers et sa grande façade. L’un des gardes me dit comme d’habitude à chaque fois que je me rends vers la Bourse :

« Bonjour monsieur Stone ! »

Sur ses mots, le groupe de Suderons commença à porter un étrange regard sur moi. Que me voulait-il ?

C’était qui ces types ?! Décidément, je croise plein de types bizarres dans la rue ces temps-ci. Il y a un moment, j’avais croisé des membres de l’ordre des chevaliers. Ces fanatiques tarés qui vouaient une sorte de culte au dieu Eru Ilúvatar. On pouvait facilement les reconnaître avec leurs immenses armures et leurs motifs. D’ailleurs, un prêtre les accompagnait, on pouvait même l’entendre crier depuis ici :

« Eru Ilúvatar est notre seul dieu ! Que les vils créations et serviteurs de Morgoth et Sauron soient brûlés et purifiés ! Eru Ilúvatar Akbar ! Eru Ilúvatar Akbar ! »

Les chevaliers d'Harondor:

Le prêtre :

Mais, quelque chose avait attiré plus mon intention. Une jeune demoiselle d’une beauté indescriptible se tenait devant moi ! Mais, putain c’est quoi cette femme ! Des jambes fines, une longue chevelure blonde, un visage d’ange, un corps athlétique avec en plus un beau c** et de super « censurer » ! Putain, même si c’était ma sœur je l’aurais direct « censurer ». Bon, il fallait que je me calme ! Mais, alors que cette beauté se tenait devant moi, elle commença à me regarder avant de dire d’une voix suave :

"Mr Stone, puis avoir un instant s'il vous plait"

Oh putain ! Il faut que je me calme ! Il ne faut surtout pas que je me fasse de fausses idées ! Il faillait tout de suite que je calme mon entre-jambe ! Aussitôt, je me retournai vers cette jeune demoiselle, d'une voix calme et courtois, je répondis :

« Bien le bonjour jeune demoiselle ! Que désirez-vous ? Êtes-vous là pour m'inviter boire un verre ou pour discuter d'affaire ? Ou peut-être êtes-vous là pour les deux ? »

Même, si j'ai un faible pour les jeunes demoiselles. Je l'avais vu avec le groupe de mercenaires Suderons. Apparemment, ils connaissaient déjà un peu mon identité et ils avaient décidé d'envoyer cette jeune femme pour m'amadouer. Mais, bon ça ne marche pas comme ça ! D'un air confiant et d'un sourire jovial, je déclarai à la jeune demoiselle :

« Et si vous venez aller boire un verre dans une taverne de luxe avec moi ! Ce ne sera pas long ! Je suis sûr que vos amis accepteront de venir ! »

La jeune femme tourna sa tête vers l'auberge rapidement avant de répondre :

"Celle ci ne fait pas l'affaire ? Un établissement en face de la grande Bourse qui ne serait pas assez luxueuse ? est ce possible ?"

Elle rajouta timidement en clignent des yeux. Oh ! Mais, elle me provoque cela ! Pas au sens où elle me cherche, mais au sens où j'ai encore plus l'envie de « censurer ».

"Et mon patron c'est installé a la terrasse, il faudrait pas qu'il croit que je ne fasse pas bien la mission qu'il ma confié. Il veut vous proposer une affaire possiblement lucrative, rien de bien méchant, ni très long"

Mais, alors que la jeune femme terminait ses paroles. Une autre femme fit son apparition, mais cette dernière était plus petite. Une naine ! Oh un beau morceau ! Elle était avec la bande de mercenaires de Suderons dont la jeune femme fait partir. Il n'aurait pas par hasard un harem le chef de cette bande. En tout cas, si c'est le cas, j'aimerais bien lui emprunter quelques jolies filles. La jeune femme qui se tenait devant moi et la naine m'intéressait beaucoup.

Cependant, la naine ne se dirigeait pas vers moi, mais vers les gardes pour essayer de les occuper. Cette dernière déclara d'une voix … chaude :

" Bonjour les beaux garçons, alors on tapine ? c'est combien pour des gaillards comme vous ?"

Dès que la naine termina ses paroles, les gardes étaient comme hypnotisés par sa beauté, l'un d'entre eux bavait. Très vite, l'un des garde déclara à la naine :

« C'est gratos chérie ! Surtout quand tu le demandes poliment ! »

Mais, alors que le premier garde termina ce qu'il avait à dire. L'autre déclara à haute voix vers la bourse :

« Hé les gars ! Il y a une naine qui baise gratos ! »

Aussitôt, des dizaines d'actionnaires, de riches marchands et de « requins de la finance » sortirent de la bourse pour se précipiter vers la naine. Ah oui ! J'ai oublié de vous le dire. Presque tous les gens de la bourse sont des put** de pervers. C'est vrai quoi ! Quand vous devenez riche, vous perdez les simples goûts de la vie. Du coup, vous devez trouver de nouveaux loisirs pour vous détendre. Par exemple, les opéras,  les théâtres, mais aussi l'alcool, les jeux d'argent, la drogue et bien entendu le sexe.  Oui ! Plus vous gagnez plus vous en voulez ! Au fil du temps, on devient un conna** de gros riche qui en veux encore plus et qui a tout le temps besoin de calmer ses pulsions. Pour être franc, c'est ce que je suis et j'en suis fière en être un !

Mais, je devais me rendre aussitôt vers cette taverne pour discuter avec le patron de cette bande de Suderons. Très vite, je me dirigeais vers la taverne. Le fameux patron était assis près de la terrasse de la taverne. Par réflexe, je m'asseyais près de lui avant de lui déclarer :

« Bien le bonjour monsieur ! Alors, vous êtes venus à Methir pour faire affaire avec moi. Mais, avant ça, j'aimerais vous poser une question. Auriez-vous un … harem par hasard ? Etant donné que vous êtes entourés de jolies filles que je n'ai jamais vu auparavant. »

"Enchanter de vous rencontrer, maître Stone, je suis Abattarik, Capitaine de la Belle d'Arda. Et pour répondre à votre question, ces dames font  partie de mon équipage, et oui, mon équipage est exclusivement féminin"

Intéressant ! Très intéressant ! Je suppose que ses demoiselles soient toutes de jolies filles *rire* ! Tandis que la servante revenait avec divers plats les posant sur la table. Le capitaine Abattarik reprit :

"Je dois dire que je suis impressionné, maître Stone. Tous dans les bas fond de Methir s'accorde à dire que vous êtes le plus grand business man du Gondor, l'homme le plus puissant d'Harondor et j'ai rarement une telle unanimité quand à votre aptitude n'avoir aucuns principes des qu'il s'agit d'argent.
J'ai des marchandises à vendre, dont j'ai oublié l'origine et perdu les factures, ce qui m’empêche de les proposer aux marchés officiels...."

Après, quelques secondes de réflexions, je répondis d'une voix sérieuse, mais calme :

« Des produits de contrebandes, … Faudrait voir ! Mais, ce n'est pas impossible de les vendre sur le marché. Je n'ai qu'une seule question, c'est quel genre de marchandises vous transportez ? De la bière, du vin, des bijoux ou peut-être des esclaves. Au début, j'ai cru que vous étiez un simple mercenaire, mais dès que j'ai posé votre regard sur vous, j'ai toute suite su qui vous êtes. Vous êtes un pirate ou un corsaire, je ne me trompe pas. Même, si les corsaires sont rares dans cette ville, il y a de nombreux pirates qui sont dans le coin. Ne vous inquiétez-vous pas, je ne vais pas alerter les gardes qu'il y a un pirate ou un corsaire dans le coin. En même temps, ce n'est pas rare que je négocie avec ce genre de personne. »

C'est alors que je commençais à me retourner vers la Bourse. Décidément, mes subordonnés sont excités de savoir qu'il y a une « prostituée naine » dans le coin. La naine avait elle aussi l'air satisfait. Je me demande si cette dernière avait le même genre de goût que moi. Cependant, le dénommé Abattarik n'avait pas l'air apprécié ce spectacle, ce dernier me déclara :

"Maitre Stone, l’honnêteté m'oblige à vous prévenir que vos hommes ne sont pas en sécurité, à essayer de séduire mon maître de guerre. Elle à des appétits assez ...violents. Ceux ci risque d’être blessés."

Ce dernier avait l'air s'inquiéter pour mes hommes. Je n'avais pas peur pour eux, ces derniers allaient tous les soirs aux Streep pour s'amuser avec de nombreuses jolies filles. Cependant, d'après le capitaine, la naine avait  des appétits assez « violents ». Intéressant ! Bien que je n'aie pas peur pour leurs sorts, ces derniers avaient quitté leurs postes et ça m'embêtais légèrement. Il fallait tout de suite qu'il se mette au travail, je ne les paye pas pour qu'il aille glander quelque part. Aussitôt, je me levai de la table avant de me diriger vers mes subordonnés. Ces derniers voulaient emmener de force la naine dans la Bourse, mais j'intervenus au bon moment. Très vite, je leur déclarai :

« Les gars ! Du calme ! Je ne vous paye pas pour que vous alliez glander ! Alors, vous allez tout de suite vous remettre au travail ! »

Aussitôt, ces derniers retournèrent à leur poste, sauf les deux gardes de la porte qui continuaient encore à draguer la naine. Rapidement, je regagnai ma place au côté du capitaine avant de reprendre :

« Bien ! C'est où vous voulez débarquer la marchandise ? »