Arrivée d'un frêle espoir

La jeune femme eut une nouvelle grimace de douleur et fit un effort pour ne pas tomber dans les pommes. Elle se fit un bandage sommaire avec un lambeau de tissu pour arrêter un peu l'hémorragie et prit quelques secondes pour maudire à nouveau cet incapable qui l'avait soignée, si on pouvait appeller ça des soins. Il devait avoir autant de connaissance en médecine qu'elle en broderie.

-Je pense que ça ira. Pour le moment.

Elle essaya de se lever et s'appuya sur sa jambe valide pour reprendre son équilibre.

-J'espère que vous ne comptez pas m'emmener trop loin...

hargroth eu un sourire mauvais...

"...pourquoi pas?...mais...l'hapoticaire n'est pas tres loin..."

il claqua des doigt et on apporta a l'humaine une lance pour marché

"...suivez moi..."

il commenca a marché dans une direction quand un guerrier huruk lui ammena un message...le général fit une grimace

"...preparez vous a tous brulez..."

il se retourna vers hirilad

"...menez les humains hors de la cité...celle ci va etre detruitre..."

Entendant cela, Hirilad tira une tête de trois pieds de long. Quel gâchis! Il y avait tellement de richesses dans le château et dans toutes les maisons des bourgeois!
La jeune femme jeta un regard circulaire sur les maisons, les ruelels boueuses, les fenêtres aveugles sous le ciel plombé... Elle soupira brièvement et fit une croix sur ses sentiments. Les prochains jours risquant d'être rudes aussi il ne fallait mieux pas s'encombrer de choses aussi inutiles.
Maudissant sa blessure, elle serra les dents et s'appuya sur la lance pour rester debout.

-Je ne pense pas être en mesure de mener qui que ce soit dans cet état-là, ne pouvez-vous demander ça à quelqu'un d'autre pour le moment?

La douleur devenait insupportable.
Elle ferma brièvement les yeux, luttant pour ne pas s'évanouir.
*Pas maintenant... Pas devant lui...*

-Pouvons-nous y aller à présent? Je ne suis pas aussi résistante que vos soldats...

un des huruk non loin maudissait les humains...le général lui fit un sourire et tendis la mains vers sa nouvelle lieutenante

"...alors...suivez moi..."

hargroth ordona a un de ses lieutenant de preparé la mise a sac avant de faire un sourire a l'humaine

"...prete a un nouveau depart?..."

Elle lui lança un regard perplexe.
*J'aime pas quand il sourit comme ça...*

-Pourquoi pas..

Hirilad ne voyait pas trop où il voulait en venir mais se contenta de hausser les épaules en essayant de marcher droit.
Apparemment les orcs allaient également mettre la ville à sac, ce qui augmenta de fait sa mauvaise humeur: rater un pillage de cet envergure à cause d'un stupide combat, c'était vraiment stupide!

le général continua d'avancé

"...tes homme feront parti des destructeurs...donc...tu aura de l'argent...maintenant..."

il monta sur son enorme warg...celui ci portait une armure lourde...un humain s'aprocha de hirilad

"...cet humain va t'ammené a l'hapoticaire..."

l'humain entra dans une maison

"...je te veut prete dans une heure...apres je detruirais la ville..."

-Une heure suffira.

Elle suivit l'homme dans la maison et s'effondra à moitié sur un siège tandis que le soldat "demandait" à l'apothicaire de la soigner.

-Fais vite, marmonna-elle les mains crispées sur le bord du tabouret.

Une heure plus tard, la blessure était à peu prés soignée et soigneusement bandée.
Juste avant de sortir, Hirilad s'arrêta sur le seuil.

-Vous feriez mieux de partir tout de suite.

C'était une façon de le remercier.. Aprés tout il l'avait soignée..
*Je deviens vraiment trop sentimentale.*

hargroth fit un sourire...les legions etais prete a lancé la destructions...

"...bon...des que je le dit...vous chargez...les vermines d'orcs sont incapables de mieux faire que du pillages...mais...au moins les nabots sont fort a ca..."

il mit son armure et mit son casque

"...héhé...preparez les catapulte..."

*Faudrait vraiment qu'il arrête de sourire comme ça..*
Hirilad rabattit sa capuche sur son visage et s'apprêta à partir.

-Si vous me cherchez, je suis dehors.

Elle s'éloigna en boitant, sans se retourner.
Une fois hors des murs, elle s'assit au sommet d'une colline proche de la ville pour admirer le spectacle.
Ne manquait plus qu'une bonne bouteille...

hargroth abaisa le bras...les legions chargerent la ville...mais cette fois dans le but de la detruire...aragorn n'aura pas de soucis a batre l'armée de l'huruk...mais ce dernier allait laissé un tas de ruine...les catapulte firent feu...le géneral regardais avec un regard brulant...cette strategie etais...lache...esque le général huruk fesait bien?...esqu'il avait bien choisie son camp?...il baissa les yeux et se retourna...

"...sauron...esque cette destruction etais neccesaire?..."

sans la moindre esperance que son maitre lui apporte la moindre attention le guerrier tourna la tete vers ses propres huruk...esque sa troupe et lui se detachait tellement du reste de la race?...esque l'honneur etais interdit au serviteurs du mal?...

"...puissiez vous connaitre la paix dans une autre vie..."

le guerrier ferma les yeux...il en avait assez de tous ses combats...assez de ces massacres...assez de ces freres de combat perdu...le général avait fait beaucoup de chemins depuis le stupide garde du corp...

"...pardonnez moi..."

il serra le poing et un mince filet de sang noir tomba au sol...le guerrier releva la tete pour regardé les etoiles au dessus de lui et les flames qui apparasait dans la cité...des cris...des bombardement...le général claqua le fouet de sa monture monstrueuse pour la calmé...

Sauron n'était peut être pas si loin de son serviteur que celui ci le pensait.Un corbeau noir arriva et se posa sur l'épaule du général uruk.A sa patte,un message et ce messae portait le sceau de Sauron.

Citation :: Hargrot,mon fidèle serviteur et vailant général,nos armées sont vaincues partout en Terre du Milieu.Aussi je rentre avec à peine une centaine d'uruks qui n'ont pas fui.
J'ai appris ce que vous faites au Rohan et je les approuve.
Récompenses et honneurs seront là à votre retour pour reconnaitre votre juste mérite.
Les uruks ne seront plus ce qu'ils étaient et grâce à vous Hargrot....

Sauron

hargroth eu un sourire mauvais...apparament...lui et sa force huruk etais la troupe de choc de sauron...car jusque la aucun de ses guerrier n'avait fui et une bonne partie etais morte au goufre de helm...la ville etais en flame...apres tout... ce genre de destruction sont necessaire pour le bon maintien de l'effort de guerre...il se sentait...fiere de lui...qu'un etre aussi puissant que sauron daigne le valorisé...tres impressionant...le général huruk regardait ses propre guerriers...l'honneur mais aussi la puissance etais dans chacun d'eux...maintenant les huruk etais completement different des vermines d'orc...les huruk etais fiere et puissant...ils etais l'arme absolue du maitre du mal...et cela fit lancé un cri de bataille aux général...vite repris par sa troupe pour couvrire les cris de terreur

"...bien...je ne rentrerais au mordor que lorsque le rohan ne sera plus que flame...maitre...et que j'aura combatu cet humain...aragorn...allez!huruk en avant!"

la haine monta vite dans le coeur du général...il voulait afronté les envahisseur...apres tous...ces chiens n'avait pas le moindre honneur...il se diriga vers hirilad

"...tu dirigeras la destruction du rohan...tout doit etre brulé et pillé...ils faut que des esclaves soit capturé....une fois cela fait tu ira au mordor pour m'attendre...va..."

il fit un sourire a hirilad et parti avec son warg...suivie pas ses huruk

Hirilad l'écouta avec une étrange indifférence et enregistra soigneusement ce qu'elle devait faire.

-ça ne me changera pas beaucoup...

Aprés tout, meurtres et pillages, ce n'était que quelque chose de bien banal pour elle.
Le train-train quotidien en somme.
Elle se leva enfin et se dirigea vers ses hommes qui contemplaient les ruines fumantes de la cité. Le vent se leva, portant vers eux une écoeurante odeur de brûlé et de mort. Les corbeaux étaient déjà à l'oeuvre, tournoyant dans le ciel encore obscur.

Hirilad donna ses ordres et inspecta le butin qui résultait du pillage.
Des richesses diverses et variées et quelques chevaux, ainsi que quelques esclaves qui avaient par miracle réussi à échapper aux flammes.
Il y avait également là quelques épées de belle facture ainsi que quelques cottes de mailles.
Elle en profita ainsi pour remplacer son épée courte et sa vieille armure usée au possible avant de choisir un bon cheval qui pourrait la porter jusqu'à ce que sa blessure guérisse.
Avant de lever le camp, elle regarda le soleil se lever au dessus des collines et se demanda combien de temps s'écoulerait avant que le vent tourne et ne la pousse "de l'autre côté"...

Le dégoût de soi-même peut parfois mener bien loin...

Sujet: Re: Arrivée d'un frêle espoir