~ Les Jardins d'Argent ~

Ces paroles revenaient sans cesse....Que voulaient elles dires? Rien de bon, car elles furent assourdisantes comme un lourd et sourd orage...Un nuage noir paru dans la chambre et grossissait à vue d'oeil, il semblait sombre comme tout les choses malfaisantes de ce monde! Sa voix semblait à son tour noire et profonde, elle devenu grave et roc comme la foudre s'abattant sur un arbre .Et bien malgrès elle, ses yeux, qui étaient devenus complètement neutre et blanc, fixèrent Siléas. Et d'un bond son torse s'aprocha de Siléas comme prit d'une envie meurtrière....
C'est alors que Alùniël entendit au plus profond de son être les bonnes paroles de siléas. Ses yeux commencèrent alors à s'ouvrires, malgrès un long moment. Ses paroles furent perdues et le nuage disparu. Alùniël était toujours inconsciente, du moins c'est ce que pensait Siléas
. Car malgrès elle, Alùniël avait conscience de ses actes mais ne pouvait en rien les détourner.

Elle savait en elle....oui...elle le savait...il était là...du moins elle le pensait..Mais pourquoi, pourquoi elle?!........

[HJ: normamelement ce genre d'évènement ne devrait pas se produire, la magie n'est réservé qu'aux Istarirs sur ce forum et donc l'apparition d'un gros nuage pourrait être mal perçu par les MJs c'est pourquoi je te le fais remarquer. Je continue la suite de RP mais il ne faut plus que ce genre de petits détails viennent dans tes messages! J'espère que tu comprends que l'on est chez Tolkien et que la magie est très limitée! Voila surtout ne le prend pas mal. Je suis sure que tu peux faire d'aussi beau RP sans utilisé ce genre de détail!]

Siléas regarda avec étonnement ce qui se produisit dans la chambre, elle n'avait jamais rien vu de tel. Sauf une fois...quand elle était arrivée à Amon Obel et que la cité était encore habitée par les forces du Melkor. Elle avait vécu une nuit très éprouvante cette fois là et elle avait peur de la voir recommencer.
Son visage se durçit quelque peu mais l'épais nuage noir disparut immédiatement laissant Alùniël dans l'inconscience.

Siléas sortit en courant de la chambre et partit dans une petite pièce ou elle rangeait ces plantes et ses préparations, une sorte de dispensaire. Elle revint avec deux petits flacons, un rouge et un bleu. Elle fit respirait l'odeur sucrée du premier à l'elfe puis elle versa quelques gouttes du second sur le front d'Alùniël. Elle récitait des formules de bénédiction propre aux elfes de la Lorién.

" Alùnïel revenez, réveillez vous! Je vous en prie, revenez dans la lumière" murmura la reine en caressant doucement les cheveux de son invitée

[HJ]:oups...désolé je n'étais vraiment pas au courant! Je le retiendre pour les fois à venir. Encore pardon aux Mj...


Alùniël entendait les paroles de son amie, mais elle sentait aussi une présence plus que maléfique s'approcher de brethil...Elle sentait alors son corps se réveiller, son esprit redevenir claire et ses pensées moins sombres. Ce n'était pas la première fois qu'une tel expèrience survenait au cours de sa vie, mais elle ne voulait point se rappeler de cela ....

"Que...mais je ...Siléas?..Oh, mon dieu, qu'ais-je fait! Je ne puis réparer tout cela....Je..."

Alùniël épuisée ne pus continuer ses paroles et s'assoupit dans un sombre rêve... Siléas, tant bien même secouée, la souleva avec délicatesse en la prenant sous les bras jusqu'au lit, les elfes étants bien sur très légés.

Que pouvait donc rêver Alùniël et que pouvait donc penser Siléas sur cette étrange inconnue qui tout à coup lui semblait plus que menacante? Il était en ce moment une ambiance inquietante parmis elles.

Alùniël semblait épuisée et éprise d'un mal qu'elle essayait de fuire. Ces cheveux portaient toujours cette broche dorée offerte par Siléas, bien qu'elle n'était point enchantée Alùniël était au plus profond d'elle pérsuadée qu'elle eu une place importante dans son rétablissement. Elle était alongée, lasse de tout trépat, sur le lit manifiquement orné à la manière des hommes, et son corp était long et mince, elle semblait mourire de faim, ce qui n'était pourtant pas le cas. Ses habits montraient que sa route ne fut pas de tout repos, mais on pouvait appercevoir dans un creux , au niveau de son cou, une brulure. Rien d'exeptionnel, mais elle attirait avec une certaine force le regard sur elle.
Siléas était là, devant elle , à son chevet. L'elfe, bien qu'inofensive, était remontée, pourquoi quelqu'un de ca race devait être ainsi! N'aurait elle pas pue rencontrer quelqu'un dit normal. Mais elle sentait au fond que Alùniël était inofensive, elle l'eu bien vu lorsque toutes deux étaient assises dans la cour. Une elfe ne pouvait être dangereuse après tout cela, elle aurait agit bien avant si son intention était malsaine.
Alùniël bouga, et Siléas fut prise d'une angoisse qu'il la mit d'un bond sur pied. Elle était enfin éveillée, après ces heures interminables où Siléas dû attendre patiament.

Alùniël ouvrit les yeux, et elle voyait la femme qui l'avait tant aidée, là à ses côtés malgrès ce qui c'était passé!

*Comment aisse possible! Je ne puis vivre ses futures heures en présence d'une elfe à qui je dois mon repos sans luui fournir d'explication. Mais il est possible que mes paroles n'eusent pas été comprisent! Dieu merci , car je ne serais plus en se monde.*

C'est alors qu'elle s'apuya sur ses coudes pour se releveer, ils étaient très douloureux comme si elle avait fait une grosse chute. Elle se sentait si coupable et voyait dans les yeux de Siléas la déception.

"Siléas....Je...J....Hhh..."

ELLe eu beau tenter de parler, aucun son ne sortait de sa bouche. Conséquance d'une peur sans nom, celle de sa honte!

HRP:C'est rien je comprend^^, et comme tu dis vivement les vacances...



Alùniël remarqua à quel point ses paroles avaient offensé la jeune elfe....Mais que pouvait elle faire? Risquer de mettre en danger la seul amie qu'elle avait rencontré depuis le départ des siens?...Alùniël voyait Siléas sortir de la chambre, c'est à ce moment que dans son ésprit elle paniqua. Elle paniqua à l'idée d'avoir tant offensé son amie, à l'idée de se soumettre à son destin, à l'idée de fuire les gens qu'elle aime....Elle se leva alors d'un bond puis s'approcha, comme si elle courait, vers Siléas. Elle lui pris la main, signe de grand amour chez les elfes, et par un language doux et serient elle lui dit ces mots:

"il n'est pas de pire malheur que la fatalité. Mais on peut l'agraver en la subissant, je ne puis me résoudre à vous conter mon histoire mais je peux en conter son général.

Je ne puis supporter de vous voir ainsi, et je vous le redit encore et toujours, ce n'est que par amour est pour votre bien que mon histoire est mienne!"

Lui ayant pris la main, elle l'agripa et l'amena sur le lit où elles se retrouvirent tous deux assises l'une en face de l'autre.
Alùniël, après tout ces tourment, fut prise de chaleur et enleva avec délicatesse son chemisié où l'on pouvait découvrire un bustier en cuire dessus. Mais ce n'était pas le plus important, car on pouvait remarquer sur son poignet droit une large et profonde brulure.

"Il y a bien des temps, quand mon peuple était encore sur ces terres et que le monde ne se souciait pas encore de Fangorn, nos amis les magicien venait régulièrement en nos lieux.
Nous avions il y a fort longtemps une coutume qui consister à découvrire son avenir dans un....
Enfin, après cela chacun savait à quoi tenait sa vie et il était le seul à le savoir.
Bien des siècles sont alors passés, et la guerre et la volonté de pouvoire est arrivée en nos lieux, nous avons fuit cela mais moi je ne le puis...Peu être mon destin m'a retenu?
Tout cela pour vous dire que j'eu fait partit de ces temps anciens, et eu fait partit de ces coutume, qui mon jadis apportés l'avenir que je n'aurais jamais souhaiter. Vous me comprendrez dés lors que je vous dis que le mal me prendra...
Mais je ne puis vous en dire plus, c'est déjà bien trop!"

Son regard était toujours fixe dans celui de Siléas et son esprit ne semblait pas dérangé par ses dires.
Malgrès tout Alùniël s'y était fait, elle savait qu'il en serait ainsi et ne pourait surement rien y changer...

Alùniël fut touché par ses mots. Elle avait si peur de décevoir Siléas, elle était de nouveau soulagéé.
Son esprit était flou et sombre, mais elle se forcait de sourire à la douce voix de Siléas. Lorsque celle-ci sortit, elle se leva et fut pris d'un étourdissement. Elle s'assit alors sur son lit quelques minutes le temps de reprendre son esprit.
Elle avait assez dormit pour l'instant bien qu'elle se sentait épuisée. Elle pris donc ses affaires et refit le lit qu'elle avait défé.Elle regarda une dernière fois par la fenètre....Le vent souflé mais il y avait là un magnifique soleil qui illuminait les jardins. Elle sortit alors de la chambre croisant sur son chemins bon nombres d'hommes qui la saluèrent poliment, signe qu'elle rendait avec grace. Elle se trouva , après de nombreux effort pour trouver son chemin, devant le palais...

(Hrp: je continue dans "le Palais d'Amon Obel")

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Suite du retour de Nirdin
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Siléas se sentait totalement transportée, le retour de son frère était pour elle une immense joie et c'était peut-être le fait de vivre avec des humains qui faisait qu'elle exprimait autant sa joie en souriant et lui serrant le bras durant leur promenade dans les jardins.
Les elfes n'avaient pas vraiment ce sens du touché et c'est envie de montrer les sentiments et les émotions ressenties.
Elle écouta le récit de son frère, réagissant à toutes ses phrases par un rire, une mine inquiéte et un regard satisfaction.

"Savoir que ton coeur est amoureux est pour moi un immense bonheur grand frère. Je te souhaite de trouver autant de joie que moi dans ce monde"

Son frère termina son récit et se tourna vers Siléas, surement dans l'attente de son propre récit. Il devait surement se demander comment elle était devenue reine d'un royaume d'humain et ce qui s'était passé depuis si longtemps...pourtant en comptant de façon elfique, ils ne s'étaient pas perdu de vue bien longtemps, qu'est-ce une année et demi chez les elfes...même pas un centième de leur vie...mais l'influence humaine se retrouvait dans leur comportement et dans leur perception des choses.

"Et bien depuis la dernière fois que l'on s'est vu il m'en est également beaucoup arrivé! Un soir que je revenais à notre maison en Lorién, j'ai trouvé un vieillard dans notre salon et il m'a dit que mon destin m'attendait en Brethil. Il m'a dit que le destin de centaines d'homme se jouerait dans mon voyage en Brethil et qu'il fallait que je parte sur l'heure. Le vieillard disparut dans un nuage de fumée et je partis en Brethil sur Nayla ma jument. Nous sommes arrivées toutes les deux dans cette forêt et un groupe d'Haladin nous a accueillit.
Je dois avouée que je suis tombée immédiatement amoureuse de Handir, dès le premier regard. Ce que je ne savais pas c'est qu'il était l'héritier légitime de la forêt de Brethil."

Siléas fit une pause dans son récit, comme si son esprit s'était éloigné quelques instants. Puis elle reprit en souriant.

"Il y a eut un terrible affrontement ici à Amon Obel, Handir a chassé l'ombre de Melkor et nous avons put revenir vivre ici. Il m'a couronné reine de son peuple et depuis je gouverne un peuple d'humain accueillant et merveilleusement gentil."

Siléas tourna sa tête vers le chemin qui sortait de la clairière et qui donnait vers les jardins d'Argent. Elle avait entendit des pleurs d'enfant s'élever dans le silence et elle avait aussitôt reconnut l'appel d'Elerinna. Son coeur se serra légèrement puis elle vit sa servante s'approcher doucement avec l'enfant en pleurs. Visiblement la servante avait peur de déranger et elle attendit le signe de tête de la reine.

Siléas s'approcha et prit sa fille dans ses bras avant de revenir vers Nirdin. Aussitôt dans les bras de sa mère, Elerinna cessa de pleurer et se mit à sourire. Ce petit bout de choux d'un an avait la beauté elfique et les même cheveux blond que sa mère venait recouvrir sa tête encore fragile.

La reine leva les yeux vers son grand frère et lui dit en souriant.

"Je te présente ma fille, Elerinna."

La présentation avait surement été une surprise pour Nirdin. Sachant que les elfes tombaient très rarement enceinte et que les elfes n'avaient qu'un ou deux enfants dans leur longue vie. C'était assez surprenant de retrouver deux ans après sa soeur avec un bébé d'un an.

"Mélian et Thingol la considèrent comme l'enfant de la prophétie, l'enfant née des deux peuples qui aura un jour son rôle à jouer...veux-tu la porter?"

Siléas ne faisait que répéter les paroles des deux souverrains elfiques qui étaient venus féliciter la naissance de ce cadeau des Valars.

PNJ

Alors Nirdin tandis les bras et brandis sa nièce :

« Je suis heureux petite sœur, je suis maintenant tonton, il y a un moment en arrière j’aurais réagit différemment mais la »

Il ramena sa nièce près de lui et commença a jouer avec elle, a l’embetter. L’enfant sourit, rit, et nirdin pensa :

« Il serait peut être temps que je sois père moi aussi »

Il fit sauter la petite fille avant de la rendre a sa sœur :

« C’est une bien belle enfant, elle a ton regard et ta beauté. Elle me donnerait peut-etre envie d’être père ».

Il soupira avant de lui annoncer la nouvelle qu’il venait de prendre pendant qu’il jouait avec sa nièce. Il lui caressa la joue :

« Petite sœur, j’ai décidé de me marier, je tiens a Theodwyn plus que tout au monde et te voir mère m’a fais comprendre qu’il est temps que j’accomplisse mon destin. Les valars m’ont mis sur le chemin d’Eodred et du Rohan. Je t’invite dors et déjà a ce mariage. J’aimerai que par celui-ci une amitié voir une alliance se crée entre les hommes du Rohan et ceux de brethil »

Un leger vent souffla alors vent murmurant certaines paroles. Les paroles des valars. Elrinna tandis alors les bras pour etre porté de Nirdin. Il la reprit, jouant avec elle sous le sourire tendu de sa sœur. Il se baissa cueillant une fleur blanche et lui mis sur l’oreille. Puis il se retourna vers sa sœur :

« Que décides tu ? »

PNJ

Nirdin s’arrêta puis il tendit elrinna dans les bras de sa sœur :

« Hey ben c’est une longue histoire on ferait mieux de s’asseoir. »

Il vit alors un arbre creusé naturellement ou l’on pouvait distinguer deux sièges. Nirdin s’y dirigea suivit de sa sœur et ils s’assirent, il sortit une pipe a herbe et commença a fumer tout en se replongeant dans ses souvenirs :

« La 1iere fois que je l’ai vu, c’était lors de mon arrivée au gouffre blessé. Je n’ai eu le temps que de la voir en bref mais après le trou noir. Même durant ma convalescence je n’ai vu qu’Eodred. Non ma vraie 1iere rencontre c’est bien le jour ou nous nous sommes rentrés dedans alors qu’elle montait porter un message auprès du roi. La jeune fille, pour un elfe pas pour un humain, était terrorisée. Elle roula jusqu’en bas des escalier et moi tu me connais je suis aller m’enquérir de sa santé essayant de la rassurer sur le combat a venir. En effet c’était son 1ier combat en temps que chef, a l’époque je ne savais point que c’était la petite sœur d’Eodred et malgré son caractère trempée et son refus de mon assistance, je commençais a tomber sous son charme. A vrai dire elle est aussi belle que toi »


Sileas le regarda dubitatif, mais lui toujours plongée dans ses pensées :

« Puis vint la bataille, nous avons été séparé, mais nous nous sommes retrouvées après. Elle avait survécu et je lui ai donné des cours de combats. Son frère avait fait son éducation, mais il n’avait pas eu le temps de la compléter. Elle avait refusé sèchement, mais j’ai finis par la convaincre notamment en lui prouvant qu’elle n’était pas aussi forte qu’elle ne le pensait. C’est ça qu’il m’a plus en elle, son caractère, elle a été élevée avec trois frères alors ça aide. Bref je me suis rapproché d’elle et au fil des jours je tombais de plus en plus sous le charme. Puis nous partîmes pour minas Thirith. Je profitais du voyage pour me rapprocher d’elle. Theodwyn était comme son frere, farouche, libre, excellente cavalière, cultivé, pas comme une humaine typique. A Minas Thirith nous avons de nouveaux étés séparés plus longtemps cette fois. Pendant que je participais au conseil de guerre, theodwyn patrouillait sur la rive orientale de l’anduin. Ne la voyant pas venir eodred m’envoya la chercher. Elle était tombée dans un embusca et son équipe était morte, il ne restait qu’elle et j’arriva a temps pour la sauver. Trois jours, durant trois jours nous avons marché dans la campagne. Sans manger, sans pratiquement boire, et la portant sur mon dos parfois. Trois jours d’enfer, elle me faisait tenir et toute farouche qu’elle était, elle commençait a craquer. La je lui ai avouer mes sentiments pour elle et nous nous sommes embrassés pour la 1iere fois. Elle m’avoua qu’elle aussi elle m’aimait mais depuis sa déception avec anarion elle s’était renfermée. Puis nous avons rencontré l’avant-garde du rohan. Nous avons décidé de vivre notre amour en secret, attendant le bon moment pour l’annoncer a eodred. Puis il y eu le rhovanion puis mon voyage vers toi petite sœur car tu me manquais. »

Il s’arrêta, son herbe était éteinte et il regarda sileas dans les yeux, une larme coula sur sa joue :

« Crois moi petite sœur, theodwyn est une femme comme on en fait peu. J’espère que cela répond à ta question »