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| Les portes de la ville | |
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Auteur | Message |
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Eodred Personnage mort
| Sujet: Les portes de la ville Mar 19 Déc 2006 - 20:48 | |
| [HRP]Ici vous postez lorsque vous arrivez à Edoras. Vous vous presentez à la garde biensur [/HRP]
Dernière édition par le Dim 4 Mar 2007 - 20:54, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les portes de la ville Dim 21 Jan 2007 - 17:15 | |
| Les gardes apercurent un cavalier seul s'acccrochant du mieux qu'il le pouvait à sa monture. Xack descendit de sa monture en puisant dans ses dernires ressources afin de montrer le plus de respect possible. Les gardes remaquèrent rapidement que l'homme était taché de sang sur toute son épaule gauche. Xack tint son cheval par la bride et demanda faiblemnt:
"Gardes... Je demande l'hospitalité et les soins de votre cité... Je vous en prie, je n'ai pas la force de continuer..." |
| | | Eodred Personnage mort
| Sujet: Re: Les portes de la ville Lun 22 Jan 2007 - 13:42 | |
| Les deux gardes se regardèrent. Puis l’un des deux parla :
« Bienvenue Homme du nord en Rohan. Veuillez seulement Nous déclinez seulement votre identité et veuillez vous mettre torse nu pour une vérification. Cela est la procédure. Ensuite vous pourrez passez, il y a plein d’auberge et d'herboriste a Edoras ou vous pourrez trouver votre Bon honneur. » |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les portes de la ville Lun 22 Jan 2007 - 20:45 | |
| Xack resta un instant à reflechir. "Torse-nu?". En temps normal, nul doute qu'il aurait protester. Mais vu les circonstances, il ne pouvait se permettre trop de principe pudique. Sa blessure était grave et risquait de s'infecter. Il commenca à retirer sa tunique ses armes (une épée un arc des flèches et une dague) et se retrouva torse nu malgré un bandage autour de son épaule gauche.
"Je m'appelle Xack Alatar, je suis scribe. Sous le bandage, il y a une blessure due à un coup d'épée. Faut-il que je l'enlève ou je peux rester en vie?" |
| | | Eodred Personnage mort
| Sujet: Re: Les portes de la ville Mar 23 Jan 2007 - 20:54 | |
| Le garde sourit alors puis il s’approcha de Xack pendant que l’autre restait en retrait. Il l’examina minutieusement mais il ne trouva pas ce qu’il chercha, ce qui paru le soulager. Il dégaina alors son épée ce qui surpris Xack mais il ne le frappa pas, il fit seulement sauter son bandage sale et examina la plaie. A ce moment précis, le garde de derrière s’avança en fouillant ses poches et il en sortit un bandage propre qu’il fixa sur l’épaule du jeune homme. Le 1ier garde s’exprima :
« Vous pouvez passer, nous vous prions de bien vouloir nous excuser pour cette requête un peu bizarre mais les ordres viennent de haut et tous ceux qui passent désormais la porte d’Edoras doivent s’y soumettre. Vous trouverez un bon herboriste en bas des marches du palais d’or. Il y a aussi un buffet sur le place du village si voulez vous détendre. Encore une foi bienvenue a Edoras. »
Il fit un signe et les lourdes portes s’ouvrirent. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les portes de la ville Mer 24 Jan 2007 - 0:01 | |
| Xack prit ses affaires et au moment de passer entre les deux gardes il n'hesita pas à leur lancer un regard sarcastique. Il s'arreta et ajouta: "Merci".
Xack passa les portes en s'habillant. La cité d'Edoras était une vraie découverte pour lui. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les portes de la ville Mer 24 Jan 2007 - 19:07 | |
| *Ereshkigal devant les portes de la ville. Elle a traversé la moitié de la terre du millieu pour arriver ici, sur les terres du Rohan. * *Elle avait traverser l'isengard et affronter les terribles uru-kai. elle avait bin failli y laisser sa peau.... ou plutot ses os : les Uru -Kai avait décidé de l'apprêter pour leur repas. en parlant de repas, elle mangerait bien un morceau... elle s'avance vers le garde qui la regarde depuis déjà un moment * "excusez moi, je m'appelle Ereshkigal Daïmons fille de Eonira Daïmons, femme du Rohan. Je viens retrouver mes Grand-Parents Eolih et Teleo Daîmons.... " |
| | | Eodred Personnage mort
| Sujet: Re: Les portes de la ville Jeu 25 Jan 2007 - 10:27 | |
| Le garde vis s'avancer une jeune fille vers lui. Il reconnu instantanement un membre de son propre peuple, mais il la laissa s'exprimerpuis il pris la parole:
"Bienvenue jeune fille du Rohan, je vais vous examiner ne bouger pas, c'est la procedure"
Il regarda rapidement son torse en ne denudant que les bras et scrutant son cou puis il ajouta:
"si vous cherchez quelqu'un vous pouvez demander a Hama, le capitaine du palais, il as survecu au siege d'Edoras, il pourras surement vous aidez"
Il fit un signe et la porte s'ouvrit. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les portes de la ville Jeu 25 Jan 2007 - 12:46 | |
| *Ereshkigal eut un regard de panique 'Le siège d'Edoras !? Mais quand ?! par qui ?! pourquoi?! ' * *Eresh eut un sentiment indéfinissable un malange d'inquiètude, de doute et de remords. Edoras avait été attaqué, la ville ou elle avait vecu une enfance heureuse avec ses grand parents. Grand parents qu'elle avait quitté sans un mot ou une lettre d'adieu. S'ils étaient morts a présent. *Elle regarde la porte s'ouvrit * *Elle dit un simple " merci " au garde et rentra dans Edoras * |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les portes de la ville Mar 6 Fév 2007 - 8:46 | |
| HJ: je post le départ ici donc ceux qui partent avec moi posté aprés Vakalor arriva au porte de la ville et vit les 3000 cavaliers du rohan en ligne suivit des 1000 numénoriens qu'il commendait puis il prit la parole quand il arriva devant eux Messieur aujourdh'ui nous partons dans un lieu que aucun brave homme comme vous n'a été.Un lieu où le mal doit surement régnier et que la terreur peu obscurcire vos pensées.Mais ne tombé pas dans la peur et la craint lorsque vous serez la bas.Si il y a combat nous éclaterons l'ennemi comme l'eau sur les rochers de cette caverne.Si il y a des forces plus puissante nous tiendrons face à elle et nous l'annéentiron avec la Force du Gondor du Rohan et du Numénor;Car oui messieur nous sommes les héros de notre temps et aujourdh'ui il est temps de prouvé notre valeur.Alors messieur je ne vous donnerais qu'un seul odre qui sera puis il dégaina son épée en étant à cheval Je vous ordonne de tenir hommes de l'ouest quoiqu'il arrive car quoiqu'il arrive je serais à vos cotés et je ne laisserais aucun de vous faillir croyez moi nous vaincrons Pour EMPEREUR !!!!!!!S'écria il pour terminé son discrourctHj: Hetrehl si tu veus posté fait fait ^^ |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les portes de la ville Mar 6 Fév 2007 - 22:46 | |
| Hj : Merci, Vakalor, et bravo pour ce discour rempli d'émotion ! ^^
Hrethel était à la tête de ses hommes, 3000 lances, chacune prêtes`à mourrir pour la cause qu'il défendait, et pour lui aussi... Il se retourna, et regarda avec béatitude la splendeur de la compagnie. Il ne pouvait encroire ses yeux. Il continua de trotter ainsi pendant quelques temps, et écouta, lorsqu'il fut arriver au porte de la ville, le discurs enflamé de Vakalor. Il le laissa parler, puis lorsqu'il eut fini, il s'avança légèrement vers les hommes, puis il dit, d'un ton solonel et rempli de fierté, en enlevant son casque à pointe
Cette caverne n'est nul autre qu'un antre, antre de la peur et de la crainte. C'est l'endroit où le mal fleuris, et c'est précisement là que nous allons couper ses racines. Ne laisser surtout pas la crainte, le doute et la méfiance envahir votre coeur tout comme votre esprit, car c'est à ce moment précis que nous aurons failli... Mais faillir n'est pas une option, et je sais éperdumment que la crainte n'est pas dans votre vocabulaire...
Et il marqua une pause. Il reprit, en disant haut et fort
Pour ce qu'il y a de bon ici bas !! et il brandit sa lance. Il s'approcha de Vakalor, et il lui dit
On peux se mettre en branle... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les portes de la ville Jeu 8 Fév 2007 - 9:39 | |
| vakalor sous son casque souria à l'homme et se retourna tout en disant
En avant homme de L'ouest il est temps de montré au mal de quoi nous sommes capables
Aprés ces quelques mots Vakalor partie en tete de ligne avec sa monture vers l'objectif suivi de hetrel et de la petite armée qu'il commendait
*A présent faites que les valars nous guides * |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les portes de la ville Jeu 10 Mai 2007 - 17:50 | |
| Farad Khan se rendi au porte de la ville. Après une douzaine de jour de marche, il etait epuisé. Malheureusement, le chemein qu'il avait fait semblait inutile : Devant la porte aucun garde, et l'oriental s'aperçut bientot que la cité entiere etait vide. Rien, plus rien, certaines habitation etaient completement brulées et il ne restait aucune provision. Résigné l'homme reparti vers l'entrée principale. Où pouvait il aller maintenant ? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les portes de la ville Ven 1 Fév 2008 - 14:46 | |
| Après avoir traversé tant bien que mal l’Ouestfolde, Tulkas aperçu la belle cité d’or . . . Edoras. Il du s’appuyer sur son épée pour parvenir à parcourir les derniers kilomètre.
Quand il aperçu les portes de la ville, il vit que six gardes étaient posté en surveillances et qu’ils n’avaient vraiment pas l’air serein et faisaient tout leur possible pour avoir l’air intimident (même que aux yeux de Tulkas ce n’était vraiment pas convaincant. Alors Tulkas décida de ranger sont épée et avança jusque vers eux, ce qui ne fut vraiment pas facile étant donné qu’il sentait les battements calme mais violent de sont cœur à l’intérieur même de sa tête. Une fois arrivé à hauteur des gardes, l’un d’eux s’avança vers lui…
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| | | Eodred Personnage mort
| Sujet: Re: Les portes de la ville Ven 1 Fév 2008 - 15:23 | |
| MJ
Les gardes virent arrivés l’Homme et l’arrêtèrent :
« Noble étranger, notre roi marie sa sœur aujourd’hui, vous etes autorisé a passer mais vos armes doivent rester a la porte d’Edoras. »
Mais alors que cela allait être exécuté un troupe de cavaliers surgirent dans l’ombre en hurlant :
« Ouvrez la porte et planquez vous les morts arrivent »
La porte fut rapidement ouverte et les cavaliers s’y engouffrèrent. Les gardes regardèrent alors l’homme :
« Venez, allons nous cacher nous ne pouvons rien contre eux »
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les portes de la ville Ven 1 Fév 2008 - 15:39 | |
| Tulkas ne comprenais pas ce qui était entrain de ce passer :
"Les morts arrivent ?!?"
Il n’en revenait pas, comment cela était-il possible. Les gardes lui avais proposé de les suivre, mais Tulkas n’en avais pas envie. Depuis qu’il avait vu Edoras, il n’avait qu’une seul envie, voir le prince de Rohan…Eodred. Il décida donc de faire semblant de suivre les gardes un moment puis il alla s’enfiler entre deux maison et ce mit à chercher le centre de la cité, là où il aurait le plus de chance de voire Eodred.
Malgré le fait que sont mal de tête se faisait de plus en plus ressentir, il continua à monter dans la cité. Au bout d’une marche presque intenable qui lui fit verser des larmes de douleur, il aperçu au milieu d’un grande place le roi Eodred. |
| | | Eldarion Elessar Personnage mort
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| Sujet: Re: Les portes de la ville Ven 29 Fév 2008 - 14:03 | |
| De Minas Tirith, il avait longé les champs de Pelennor à l'Est et les Montagnes Blanches à l'Ouest. Il avait traversé le Bois Gris et la Forêt de Druadan, poursuivi sa route à travers les villes et villages d'Amon Din, Eïlenach, Nardol, Erelas, Min Rimmon, Calenhad et Halifirien. La route à ses pieds était la Grande Route de l'Ouest, passant au-dessus de la Rivière Mering, pénétrant dans l'Estfolde. Les Montagnes Blanches étaient toujours là, immenses, majestueuses, surplombant le paysage tout entier d'une beauté naturelle, à l'état pur et originel. A des kilomètres de distance au Nord, l'Entalluve suivait son chemin décrit par le courant jusqu'aux Chutes de Rauros, qui menait ensuite en Ithilien, puis face à Minas Tirith. Capitale du Gondor. Cette ville qu'il avait fui lorsqu'un usurpateur en avait pris le trône. Un pouvoir qui revenait directement à son père, et si celui-ci était mort, qui aurait dû revenir à lui-même, Eldarion, Prince héritier de l'Ouistrenesse... Au lieu de cela, il avait été destitué, et contraint par clairvoyance à l'exil sachant très bien que s'il restait, il ne vivrait que trop peu de temps pour formenter une révolte contre Herunumen le Faux... Car tel était son plan, et la raison de sa venue au Rohan, pays des seigneurs des chevaux.
C'était là, dans cette contrée toujours fidèle au véritable pouvoir du Gondor, qu'il espérait trouver l'appui nécessaire pour réaliser son objectif primordial : renverser l'Empereur. Au loin se dessinait enfin les courbes surélevées d'Edoras, la capitale, comme sortant de la terre elle-même. Les vivres qu'il avait pu emporter étaient bien trop peu pour que le voyage ait duré plus longtemps, et voilà déjà quelques jours qu'il ressentait une fatigue et une douleur dans son corps qui n'allaient qu'en s'accentuant.
L'air hagard, les yeux vides, mais l'esprit encore volontaire et ferme, il ordonna à son cheval un dernier effort et d'achever ce qui était commencé. L'animal le mena jusqu'aux portes d'Edoras, où tant bien que mal Eldarion descendit de son compagnon à sabots et se présenta devant les gardes de la cité.
« Je suis un Rôdeur du Nord en voyage. Je demande logis et victuailles à son humble majesté du Rohan, Seigneur Eodred, pendant une journée avant de repartir. » |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les portes de la ville Mar 4 Mar 2008 - 15:37 | |
| Eothain, qui sortait à ce moment là pour se dégourdir les jambes dans la plaine, nota le jeune homme qui se trouvait devant les portes. Celui-ci avait l'air hagard, fatigué... Il fronça les sourcils... Son visage ne lui était pas inconnu. Le nom lui revint soudain en tête, et s'il n'avait pas eu la présence d'esprit de se rappeler qu'un Prince ne voyageait pas dans ses conditions, il l'aurait crié... Jouant la prudence, il s'en approcha rapidement, passant entre les gardes.
"Bienvenue à Édoras, mon ami... Ceux de la race de Numénor sont les bienvenus ici..."
Il avait continué à se rapprocher, avant de lance aux gardes dans la langue du Rohan l'ordre de le laisser passer car il se portait garant du visiteur. Les hommes obéirent, et Eldarion passa la voûte de la porte fortifiée. Eothain reprit à voix basse:
"Eldarion, Prince héritier de l'Ouistrenesse, que venez-vous faire ici et dans cet état? Vous...ne vous souvenez pas de moi? Bah! Je ne vous en tiendrai pas rigueur, vous ne pouvez vous souvenir des visages de tous ceux qui combattirent à vos côtés à Fort le Cor..."
Il marchait à côté du Prince, le menant vers les écuries pour qu'il puisse y faire reposer son cheval.
"Rohan va mal... Et votre venue dans une si piètre condition ne peut guère qu'être porteuse de bien mauvaises nouvelles... Je ne fais pas trop de politique, mais d'après ce que le Surintendant Handrad en a dit, il y a fort à parier que ça a quelque chose à voir avec le nouvel Empereur de Gondor..."
Eothain regarda le prince déchut dans les yeux.
"Je vous ai vu vous battre à Fort le Cor... Si vous partez en guerre, ça sera pour moi un honneur de tirer mon épée à vos côtés!"
On ne saurait trop dire si les paroles du Rohirim étaient rassurantes... Avec son accent typique de cette terre, qui lui faisait légèrement rouler les "r" et mettre des accents toniques là où il n'y en avait nul besoin, le ton aurait pu être enjoué. Mais ses yeux reflétaient une véritable soif du combat. C'était un homme de guerre, né pour la guerre, et fait pour mourir à la guerre, sans regrets...
[HJ: Je me permet de m'incruster pour faire un peu de RP... Ton perso n'est pas obligé de se souvenir du mien, ça serait même mieux si il ne s'en souvient pas, en fait^^ Bon RP!] |
| | | Eldarion Elessar Personnage mort
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| Sujet: Re: Les portes de la ville Mar 4 Mar 2008 - 18:59 | |
| [Hj : Marchi beaucouuuup! Bon RP à toi aussi !]
Les hommes savaient toujours être étonnants. C'était bien l'une de leurs particularités, qu'ils partageaient avec les Hobbits. Fort surpris d'avoir été reconnu par cet homme que lui-même ne reconnaissait pas, Eldarion l'accepta bien vite n'ayant rien à craindre de celui qui l'avait fait pénétrer dans Edoras. Il écouta attentivement les paroles de l'homme qui avait prétendu avoir battu à ses côtés à Fort le Cor (ce qu'il croyait et qui lui prouvait davantage qu'il disait vrai), et fut très inquiet de voir que le Rohan ne s'en sortait pas bien que ça... Ainsi les royaumes des Hommes tombaient en décrépitude, et l'une des causes, non la plus minime, portait un simple nom : Herunumen. L'usurpateur, le voleur, le vil. L'Empereur perfide.
« Oui, oui en effet... J'aurais aimé pouvoir en faire autrement, mais Herunumen le Faux prêche le doute dans l'esprit de mon peuple et y sème la zizanie. Je ne sais ce que vous a dit le Seigneur Handrad, mais mon coeur se réjouit de voir qu'il n'a pas été dupé comme bien d'autres. J'avais foi en lui, je ne me suis pas trompé. »
Plus le Prince fixait l'homme devant lui dans les yeux, plus sa volonté et son courage grandissaient en lui, comme si l'âme de cet homme en débordait et cela se propageait sur ceux qui l'entouraient... Nul doute que pour avoir combattu à Fort le Cor, il avait fait acte d'une grande bravoure et été digne d'honneur. Aussi Eldarion lui sourit, un sourire franc et chaleureux.
« Nous serions tous les deux honorés de combattre ensemble, je le crois. Mais vous ne m'avez dit votre nom, hélas je ne m'en rappelle guère non plus... »
Eldarion avait la noblesse et la chaleur de son Père, prompt à se faire des amis et à manifester son respect. Ainsi déchu, il était libéré des convenances qui parfois, il l'avouait, l'embarassait... Il aimait la simplicité, la franchise. Sans doute aurait-il employé plus de temps à connaître l'homme en face de lui s'il en avait eu le temps, mais de cela il en manquait terriblement... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les portes de la ville Mer 5 Mar 2008 - 9:47 | |
| Eothain fut confondu de ne pas avoir décliné son identité.
"Je manque à la plupart des usages, décidément... Je suis Eohtain, fils de Deromir, Capitaine dans l'Armée du Roi, je commande une Eored... Tous les hommes ne croient pas en Herunumen, et certainement pas Handrad... Il compte lancer un assaut sur les cités de Lond Daer et Tharbad, pour obliger Herunumen à se dévoiler tel qu'il est... Je n'ai jamais vu ce personnage, j'ignore à quoi il peut ressembler, mais il ne me semble pas avoir la carrure du Tar, pas plus que le charisme des anciens chefs de Gondor..."
Il rendit son sourire à Eldarion. Mais on sentait qu"il était navré de ne pouvoir faire plus pour lui que lui offrir le gîte et le couvert... Il décida de lui raconter les dernières nouvelles de Rohan plus en détail... Après tout, il avait le droit de savoir... Il se rapprocha donc, et parla très bas, de façon à être certain que seul le Prince Héritier l'entendrait.
"Gardez ce que je vais vous dire pour vous... Notre Prince, Eodred, doit s'exiler pour détruire je-ne-sais quelle lame maudite... Akadjiku... Adjukuda... Enfin, quelque chose dans ce goût là... Il a nommé des gens pour assurer l'intendance, bien sûr, mais... Bref, je ne me sens pas très à l'aise avec tout ceci..."
Il recommença à parler plus haut.
"Je dois partir en Lothlorien sous peu pour récolter des informations sur les Morts... J'ignore quelle est votre route, monseigneur, mais si jamais vous souhaitez en parcourir une partie en notre compagnie, vous êtes le bienvenu... Je suis navré de ne pas pouvoir faire plus... En plus, je ne me sens pas aller chez les Elfes... Je suis loin d'être un diplomate..."
À vrai dire, il se doutait qu'Eldarion allait probablement rejoindre Handrad... Et il les enviait tout deux pour pouvoir prendre part sous peu à une bataille... Il aurait beaucoup donné pour pouvoir en être, mais sa loyauté envers son pays était forte...
"Et je suis bien plus doué à l'épée qu'avec les mots... Je n'ai pas compris grand chose à cette histoire, alors, demandez-moi d'aller trouver quelque chose dessus... Désolé... Je dois vous importuner avec mes histoires... C'est que vous êtes si...détaché qu'on oublie qu'on parle à un Prince Héritier..."
Il ne savait guère comment prendre Eldarion... Si ils avaient eu cette conversation du temps où il était encore promis à monter sur le trône, la situation aurait été bien différente... Mais dans ces conditions... Décidément, Eothain n'était pas un menteur... Il serait à peu près aussi à l'aise au milieu d'une cour elfique qu'un poisson hors de l'eau... Les frétillements en moins... |
| | | Eldarion Elessar Personnage mort
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| Sujet: Re: Les portes de la ville Mer 5 Mar 2008 - 18:13 | |
| Les paroles d'Eothain furent écoutées jusqu'au bout avec la plus grande attention du Prince héritier, dont le sourire avait depuis disparu. A la place, il se trouva surpris, et inquiet, très inquiet. Ainsi donc il avait fait route jusqu'à Edoras et le Seigneur Eodred n'était plus là, ou serait très bientôt parti pour un voyage qui s'annoncerait sûrement long... Eldarion devrait alors parler avec les intendants qu'Eodred avait pris soin de nommer, en espérant qu'ils se montreraient justes, sages, et critiques à l'égard d'Herunumen le Trompeur. Mais avant tout, une des paroles d'Eothain l'avait particulièrement interpellé.
« Vous dites que le Seigneur Handrad va porter la guerre sur les villes de Lond Daer et de Tharbad... C'est folie... Herunumen l'écrasera par le nombre, allié à la puissance du pernicieux Saroumane ! Il faut à tout prix l'en dissuader, ou nous perdrons toutes les forces de l'Arnor dont nous pourrions disposer pour renverser Herunumen !
Je vois dans vos yeux que vous êtes un homme vaillant et fidèle à son pays et à ses valeurs, que vous ne rechignez pas à la bataille... Je ne sais si vous auriez préféré la guerre en Isengard à la diplomatie en Lothlorien, Sire Eothain, mais il ne doit pas y avoir de combats... pas en cette heure sombre où nos forces sont divisées et nos peuples dupés...
Disposez-vous de messagers ? Il nous faut le plus rapide d'entre eux, pour qu'il porte un message au Seigneur Handrad. »
Une ardente volonté apparut dans les yeux d'Eldarion, prêt à repartir dès l'instant pour l'Arnor et empêcher Handrad d'amener son peuple droit à la mort si Eothain ne pouvait lui fournir de messager. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les portes de la ville Jeu 6 Mar 2008 - 9:08 | |
| "Vous savez ce qu'a dit mon père avant la bataille où il devait trouver la mort? 'J'aime autant mourir ici couvert de sang que dans mon lit couvert de pisse!'... Handrad sait ce qu'il fait... Des autels à Sauron ont été érigés dans les cités de Lond Daer et Tharbad... C'est pourquoi il veut les attaquer. Il mettra le peuple au courant, et si jamais Herunumen veut s'opposer à cette invasion, alors il devra se montrer tel qu'il est... Pensez-vous que les hommes de Gondor le suivraient quand même?"
Eothain soupira. Regardant le visage d'Eldarion, il réalisa soudain que ce dernier était prêt à repartir immédiatement pour prévenir Handrad...
"Sauf votre respect, Sire, n'y pensez même pas! Hors de question que vous repartiez de suite, vous ne tiendriez pas le coup... Je peux vous fournir un messager, n'importe lequel de mes hommes sera enchanté d'être dispensé d'une visite en Lothlorien... Je vous laisserai choisir, sans quoi je ne donnerai pas cher de ma peau..."
Il ouvrit la porte de l'écurie, et héla un des palefreniers qui s'y trouvait, lui demandant de prendre soin du cheval de l'étranger.
"Je vous mènerez à mes hommes sous peu, il doit y avoir un rassemblement pour le départ dans une heure... Vous ferez votre choix à ce moment là, je n'ai pas envie de faire sortir trois cent hommes de leurs baraquements... De toute façon, un heure ne fera pas la différence, et mon homme sera en mesure de rattraper Handrar... Un homme seul se déplace plus vite qu'une armée... Pour l'instant, venez prendre un peu de repos au Palais... Vous donner l'impression de ne pas avoir été nourri depuis deux jours..." |
| | | Eldarion Elessar Personnage mort
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| Sujet: Re: Les portes de la ville Jeu 6 Mar 2008 - 13:45 | |
| Si prendre du repos était loin de rebuter Eldarion, il ne pouvait se permettre de perdre du temps. Aussi il répondit avec précipitation à la proposition d'Eothain.
« Je n'ai guère le loisir de prendre dans l'instant du repos, mais ne vous inquiétez pas, je saurai être robuste et éprouver la fatigue sans tomber. Mon père m'a appris à résister. Mais là n'est pas le sujet.
Vous supposez que les hommes du Gondor ne suivraient pas Herunumen si Tharbad et Lond Daer étaient attaqués... Mais vous oubliez qu'il a accédé au trône par un perfide stratagème qui fait de lui l'Empereur par la volonté même... de mon père... Les hommes le suivront. Et il est allié à l'Isengard, et à Saroumane. Ses pouvoirs de persuasion ne sont pas à nier.
Non, non, Sire Eothain, le Seigneur Handrad ne doit pas attaquer Lond Daer et Tharbad. Je demanderai donc à l'un de vos hommes de l'alerter au plus vite en lui transmettant un message écrit de ma main. »
C'était enfin décidé, espérant qu'il s'était montré assez convaincant pour qu'Eothain ne remette pas en doute sa décision. Il était vrai que la fatigue pesait lourdement sur son corps... Il se résolut à se laisser un court instant de répit.
« Vous avez cependant raison, je ne me suis que trop peu nourri depuis plusieurs jours... J'écrirai la missive au Seigneur Handrad une fois que j'aurais mangé quelque chose, ou je crains de n'avoir pas la force de la rédiger. »
Son cheval était sous la bonne surveillance d'un palefrenier, et il n'avait rien à craindre des compétences de celui-ci dans une contrée comme celle du Rohan. Il pouvait lui aussi récupérer de ce long voyage un instant... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les portes de la ville Mar 11 Mar 2008 - 11:39 | |
| [HJ: Désolé de mon retard, des ennuis avec Internet, et un gros coup de barre...]
Eothain se permit de donner sur l'épaule du Prince une tape amicale.
"C'est entendu ainsi... Un de mes hommes partira porter votre missive à Handrad, avec ordre de faire diligence..."
Avec un sourire guerrier sur le visage, il ajouta tandis que les deux hommes se dirigeaient vers le Palais:
"Mais si jamais vous partez en guerre, vous n'avez pas intérêt à le faire sans me prévenir... J'aime autant finir sur un champ de bataille..."
Il reprit sa marche aux côtés du Prince, son sourire s'estompant progressivement. Les temps étaient bien plus durs qu'il ne l'aurait imaginé... Pour le moment, Gondor était resté quelque chose d'assez inexistant pour lui... Il n'y avait jamais mis les pieds ou les sabots, et quand on y faisait référence, c'était comme s'il s'était s'agit d'une entité presque divine... Les Rois de Gondor avaient toujours eut une prestance qui correspondait à cette vision... Les armées des descendants de Numénor incarnaient la discipline, et chaque soldat portait en lui une noblesse certaine... Tous étaient prêts à se sacrifier pour leur pays. Tous, jusqu'aux commandants: l'un d'eux, d'origine étrangère au Gondor, le lui avait prouvé en luttant pied à pied avec l'ennemi, aux côté de ses hommes, refusant de perdre du terrain. C'était la vision qu'il en avait gardé. Une nation fière, rompue à la guerre mais ne la désirant pas... Tout son contraire, en fait: il n'avait jamais été véritablement formé à l'art de se battre, avait appris sur le tas, et pourtant, il désirait partir au combat... Et maintenant, cette glorieuse nation était presque sur le point de tomber dans le camp adverse... Au vu de sa puissance militaire, si jamais c'était le cas, la lutte serait inutile... Les lâches se cacheraient tandis que les brave offriraient une dernière résistance, un combat héroïque qu'ils ne pouvaient gagner... L'idée en elle-même était déplaisante... Mourir pour rien... Il ne fallait pas que cela arrive un jour...
"Il faut absolument renverser ce faux Empereur..."
Il avait parlé plus pour lui-même que pour Eldarion. |
| | | Eldarion Elessar Personnage mort
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| Sujet: Re: Les portes de la ville Jeu 20 Mar 2008 - 15:32 | |
| [Hj : un gros gros désolé pour le retard]
« Telle est notre tâche, seigneur Eothain. »
Bien qu'effectivement, le rohirrim l'avait dit plus pour lui-même que pour Eldarion, ce dernier n'avait pu s'empêcher de répondre, et peut-être avait-il aussi parlé davantage pour lui.
Leurs pas les menaient à l'intérieur du Palais, et c'est dans une salle dédiée à cet effet que le Prince héritier de l'Empire d'Aragorn prit un repas revigorateur, et écrivit avec une concentration, un sérieux, et une gravité aussi palpable que la feuille sur laquelle il écrivit, aussi visible que les mots qui s'enchaînaient sur elle. Il l'écrit toutefois avec empressement, mais prit soin à être diplomate et convaincant. Handrad devait accepter, il le fallait.
« Bien. »
Dit-il, déposant le matériel d'écriture, et levant les yeux sur Eothain. Son regard était encore celui qu'il avait eu tout du long de la rédaction, comme s'il ne s'en était pas encore sorti. Finalement, un léger sourire naquit sur ses lèvres, et il se leva. Il avait retrouvé l'énergie, prêt à repartir.
« Je ne crois pas qu'il soit nécessaire que je choisisse moi-même qui ira porter ce message. Qu'on le donne à celui qui mérite votre confiance, et je saurai qu'il arrivera au terme de la route prévue. »
Par-là même Eldarion signifiait la confiance qu'il avait en Eothain. Mais il ne pouvait faire quitter de son esprit la gravité de la situation, et cherchait à être le plus rapide possible. Aussi il proposa au rohirrim ce à quoi il avait aussi pensé en rédigeant la lettre au Seigneur Handrad.
« Seigneur Eothain, j'aimerais rencontrer celui qui doit assurer l'intendance du Rohan, puisque le Seigneur Eodred s'est absenté. Et j'aimerais que vous m'accompagniez jusqu'à lui. J'ai à parler avec cet homme, ou cette femme, car je ne doute pas qu'une femme est autant à bien de gouverner qu'un homme, et avec vous aussi. Voulez-vous ? »
[Hj : si tu acceptes, quittons ce sujet basé sur les portes de la ville, et allons là où est l'intendant (la salle du trône je présume).] |
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