Hanzok et sa bande débarquent en Ithilien

[Mode MJ:ON]Le Capitaine des Rangers revint voir les Nains, et dit de la voix la plus respectueuse possible

Le Seigneur Aragorn, Roi en Ithilien comme sur tout le Gondor vous fait paraitre cet Ordre

Le Capitaine tendit un parchemin enroulé au chef des Nains

Ordre de Minas Tirith a écrit:

Par Ordre du Roi,

Sur présentation de cette lettre, toute personne désignée par la Communauté des Septs Nains devra leur obéir comme à un Capitaine de la Tour Blanche. Vous, peuple du Gondor devrait tout faire pour que les Nains puissent constituer une armée, ou tout au moins une Milice assez puissante pour maintenir l'Ithilien sous domination Gondorienne

Signé par

Seigneur Aragorn, Roi de Gondor et d'Arnor. Héritier de Numénor

Puis le Capitaine salua le Nain comme on salue un officier en Gondor.

Nos 2.000 Rangers sont à vos ordres[Mode MJ:OFF]

Hador avait quitté l'Harad depuis 10 jours et il remontait l'Anduin en direction de Pelargir embarqué comme simple voyageur sur un navire de commerce. Arrivé à la cité Triangulaire du Lebennin, il entendit parler d'une petite flotte qui avait remonté le fleuve quelques jours plus tot, tous les marchands en parlaient. Ceux-ci racontaient que la flotte stationnait a quelques lieues au nord le long du fleuve sur la rive de l'Ithilien. Instantannément Hador pensa a Hanzok et ses compagnons.
L'étrange voyageur (Hador en réalité) acheta un cheval et empreinta le bac de Pelargir a la tombé de la nuit. Tous lui dire de ne pas pénétrer en Ithilien durant la nuit car la région était dangeureuse, mais il ne les écouta pas. Hador profita de la nuit pour rejoindre la rive où avait trouvé refuge Hanzok et sa troupe. Là en peu de temps la Compagnie avait amménagé un camp retranhé derrière des barricade de bois. Seule la face du côté de la rive restait ouverte vers le fleuve. Hador campa dans un buisson tout près du camp.

Au matin il fut réveillé par deux nains qui le tenait en respect la hache a la gorge.

Mes amis, je vois que vous ètes aux aguets. Je ne suis qu'un humble voyageur et je n'ai oser vous déranger hier voyant avec dextérité vous aviez fortifié vos grèves. Cependant je serais heureux de recontrer votre chef ce matin.

Hador espérait que son supterfuge marche jusqu'au bout, non pas par duperie mais parcequ'il voulait faire la surprise a Hanzok. En effet personne ne l'attendait là.

Hador laissa tomber son capuchon.

Il est donc vrai qu'il est difficile de trompé l'oeil aguérit des nains, c'est bien moi.

Hador sourit. Et serra la main d'Hanzok.

Hanzok mon ami, votre efficacité n'est plus a démontrer, votre camps est parfait. J'ai des nouvelles pour vous. Je rentre d'Harad où sous le même capuchon j'ai tenté de convaincre Tulkor d'attaquer la Rhun. Rien n'est fait, mais j'ai senti en lui une rage immense contre le roi Legas. Même si elle n'est pas immédiate la guerre en Rhun viendra bientot. Depuis que Tulkor a réunit le Khand et l'Harad sous son autorité le Port d'Umbar grandit en hommes et en armes. Bientot ce pays pourrait être un terrible ennemis.

J'ai aussi apprit que les elfes n'ont pas chaumé. A quelques lieues au nord, ils ont installés leurs camps, des marchands de Perlargir m'en ont parlé.

Hador écouta a présent les nouvelles que Hanzok avait depuis sa venue en Ithilien, surtout qu'en était il de l'armée conduite pas Eleaule et Malak.

Le choses avancaient à bonne allure depuis le conseil de Beleriand. Il fallait maintenant coordonner les forces qui se réunissaient.

-Eh bien, comme vous pouvez le constater, nous avons établi un camp fortifié et difficile d'accès. Mais avec l'arrivée de nouvelles troupes il faut sans cesse agrandir notre "fortin". J'ai à ma disposition une petite armée, écléctique et polyvalente. De plus, il faut ajouter à cela 4000 rangers, du Gondor pour moitié, l'autre m'étant été fourni par vos soins. Je les ai répartit en plusieurs points de passage le long du fleuve, pa compgnie de 200. Ainsi nous tenons plusieurs emplacements stratégiques. Il sont relevé tous les dix jours. J'ai construit ici de nombreux entrepôts. Ils sont à présent remplis de vivres, et je continue à les faire approvisionner par ma flottille. Mais peut être pourrais je vous faire visiter?

Hador accepta et un petit groupe partit donc faire le tour de campement. Ils traversèrent les arsenaux, jettèrent un coup d'oeil aux navires et aux grèves, et convèrsèrent avec une patrouille d'éclaireurs revenant de mission. La base semblait bien plus élaboré à seconde vu. Elle suivait un plan géométrique complexe mais symétrique. Elle s'élévait aux milieux de la forêt, entre une pente achevé par des falaises et un bras du fleuve. C'était d'ailleurs un emplacement idéal choisit avec soin par les sept nains. Ils grimpèrent jusqu'au sommet le plus élévé. De là ils dominaient le fleuve. La falaise était verticale au possible. Deux catapultes légères avaient étaient installé sur ce magnifique promontoire. Une tourelle plus complexe y avait été construite. Là résidaient les chefs de guerre de passage et les rois qui viendraient sans doute plus tard.

Ensuite Hanzok invita le roi à faire une excursion le long du fleuve. Ils affrètèrent un petit navire et pendant trois heures, ils longèrent les rives, s'arrêtant parfois pour inspecter abris de rangers dont le forgeron avait parlé. Le soir ils reganèrent la base principale. Ils mangèrent , burent beaucoup de bière, et veillèrent tard le soir auprès d'un braséro dont les flammes jetaient des ombres sur les visages.

-Vous pouvez loger dans la tour de garde des chefs de guerre. En ce qui nous concerne, mes compagnons et moi préférons nous joindre aux soldats. Cela nous rapproche et instaure ainsi une relation de confiance... Mais je dois auparavant vous montrer cela.

Le nain et l'homme se levèrent et se dirigèrent ensuite vers un des arsenaux. Hanzok ouvrit un long coffre et en sortit un paquet entouré de chiffons. Il arracha les lambeaux, dévoilant une épée aiguisée et sifflante.

-Je l'ai forgé à votre intention comme vous me l'avez demandé... J'espère qu'elle vous plaît...

Il tendit l'ouvrage à Hador.

Hador se saisit de l'épée et la contempla. Il la brandit trachant l'air devant lui.

Sa garde est confortable et son équilibre est parfait, dit Hador. Je vous remercie, c'est un magnifique présent. Quant à moi j'ai aussi un présent pour vous.

Hador écrata son manteau et décrocha de sa ceinture une hache de guerre.

Elle fut fabriquée par les forgerons de Hurinhouse. Les gens de cette vallée pratique un art de la guerre proche de celui des nains. Cette arme est plus petit que celles que vous utilisée, vous verrez sa légèreté et sa solidité vont de paires.

Cette petite hache se tenait a une main avec une garde très confortable. Sur le manche en fer on pouvait lire, "L'ombre ne m'arrête pas", la devise des hommes de Hurin. C'était un grand présent que lui faisait Hador car en temps normal seul les gardes royaux et les haut dignitaire pouvaient arborer une telle hache.

Aragorn et la Compagnie Grise se tenait donc devant le puissant fortin, qui avait en plus été fortifié par les Nains. Aragorn sortit alors le Cor du Gondor, et souffla puissament. Puis il dit de sa voix claire

Nous, Dunedains de la Compagnie Grise, souhaitons nous entretenir avec Hanzok. En tant que proche du Seigneur Aragorn, nous nous devons de lui parler, le plus vite possibles

A l'interieur, nombreux furent ceux qui reconnurent le son du Cor. Mais il n'en dirent rien au Nain. Si le Roi avait refusé de s'identifier, il avait bien une raison...

Hador entendit venir le son depuis la tourelle.

*Le Cor du Gondor* pensa t'il. Hanzok ne lui avait annoncer la venue de personne d'important depuis le Gondor. Il s'avait cependant que seuls les membres de la famille royale pouvaient arborer ce cor.

Hador descendit en courant à la porte. Il monta sur le chemin de ronde et abaissa son capuchon. Il vit que Hanzok n'était pas là, il ne voulais pas faire ouvrir la porte sans son accord. Il redscendit et dit aux nains d'ouvrir pour que lui puisse sortir. Ce qu'ils firent la porte se referma derrière lui.

Arrivé devant la compagnie, Hador reconnu Aragorn et les salua laissant retomber son capuchon.

Salut à vous mon ami, quelles nouvelles du Gondor ? Voici le fort de maitre Hanzok et de ses soldtas. Je suis son hote, il va vous accueillir.

Les deux hommes se deonnèrent l'accolade.

Aragorn qui était descendit de son cheval regarda Hador, souriant

Mon ami, que faites vous, si loin du Belerian? Sans vous, vos terres sont en danger! Vous faites encore preuve d'imprudence, pour une aide au Gondor

Il lui sourit une nouvelle fois. Puis dit d'un ton sérieux

Cela s'agite en Mordor. Je ne crains que le Seigneur Noire ne fasse lancer l'assaux au plus vite. En plus, Rhun et Harad ne sont pas encore en guerre, et risque donc de nous attaquer très prochainement. Je crains le pire ami. Mais je suis venu voir comment se passe le recrutement d'Ithilien, et savoir si mon Ordre est bien parvenu, car le messager a été retrouvé mort, non loin d'Osgiliath, mais ne possédait plus l'Ordre... Je vous le dis, je crains le pire...

Hador écouta attentivement les paroles d'Aragorn. Il marchèrent tous les deux a l'écart des soldtas.

Je reviens justement d'Harad où j'ai tenté de convaincre Tulkor. Malgré l'aide que je lui propose pour attaquer la Rhun, il hésite toujours. Il hésite trop cela cache quelque chose.
Sachez Aragorn qu'Umbar a rétrouvé une part de sa grandeur d'antan. Ce variag de Khand qui s'est fait élire a la tête des tribus haradrims, Tulkor, a fait reconstruire une grande part de la force maritime dont vous aviez privé l'ancien roi Sulladan. La ville et le port grouillent de tentes nomades venu des terres intérieures. Tulkor est en train de passer les rennes du pouvoir aux gens des clans au dépend des descendant Numénoréen qui était encore il ya peu la classe dirigente a Umbar. L'Harad grandit, Tulkor a déjà sous ses ordres des lieutenants expérimenté, surtout l'un deux qui vient du Khand. Bientot Harad et Khand seront unis sous la même bannière, si ce n'est déjà fait. D'un certain point de vu, c'est prolifique pour nous. Après avoir été couronné roi du Khand Tulkor sera aux portes de la Rhun extérieure et cela pourrait déclencher la guerre. D'un autre côté si les trones orientaux et suderons sont réunis, notre ennemis ne risquera plus de se queréler. Il faut se préparer au meilleur comme au pire.

Hador continua a marché et expliqua pour quoi il était en Ithilien.

Vous comprenez alors pourquoi je suis ici. En rentrant d'Umbar j'ai voulu voir ou en était la préparation de nos forces en Ithilien, et comme vous le voyez, messire Hanzok est un excellent organisateur, le fort est parfaite et très résistant.

De votre côté avez vous des nouvelles des elfes commandés par Astyan. Les marchands de Pelargir disent qu'ils ont vu un grand campement a quelques lieues au nord de notre position.

Aragorn but les paroles d'Hador

Si ce Variag arrive à allier, comme vous le dites, les trônes Orientaux, nous serons alors vraiment très en danger. Sauron et Morgoth disposeront d'une armée bien plus nombreuse que nous. Les Mumaks, les Nazguls et... les Balrogs...

Aragorn dit ce dernier mot avec un soupir. Les Barogs étaient sans doutes les serviteurs les plus dangereux de Morgoth

De plus, aucune nouvelle de nos alliés. Le Rohan, les Elfes, Numénor... Personne. Pas de nouvelle d'Astyan... Mais je compte embarquer dans quelques jours pour Numénor. Par contre, Hanzok a fait du bon boulot avec cette place forte!

Aragorn marchait toujours

Mais, savez vous si Hanzok est si bon forgeron qu'on le prétent? Car Anduril a vraiment besoin d'un petit coup de jeune! J'ai amené avec moi 2 kilos de Mithril, en espérant qu'il puisse me la rajeunir un peu

Aragorn sortit sa longue lame, qui était toujours impressionnante... La Flamme de l'Ouest, tel était son nom, la lame que craignait nombre d'ennemis...

Hador regarda la lame de près.

Croyez moi Aragorn, ce nain là peut tout forger, il forgerait même sans enclume ou sans marteau.

En ce qui concerne les elfes ne craignez rien, ce qui est sure c'est que nous pourrons compter sur ceux du Beleriand. Turgon en quittant Dor-Lomin m'a affirmé qu'il convraincrait Thingol et Finrod de nous suivre. Quand a Astyan il aurait du déjà être en Ithilien, son trone est plus dure a reconquérir que je ne croyais. Quant à Neordrim et Numenor, j'ai chargé mon lieutenant Arkh-âl de Barhinnin d'aller sur l'Occidentale rendre visite au roi pour lui parler de nos affaires et du conseil qui s'est tenu a Dor-Lomin.

Hador regardait toujours l'épée lorsqu'il parlait.

Revenons sur votre épée, regradez Hanzok vient de me forger celle ci, n'est elle pas splandide. Il ne me reste plus qu'a l'essayer au combat.

HRP: J'en peux plus, j'ai écrit 7 fois mon speach, mais à chaque fois, j'ai eu un bug. Je suis maudit!

Avant qu'Hanzok n'arrive, Aragorn sourit à Hador. Celui ci avait mis ensuite quelque chose à son frond, et remis son capuchon

Ne soyez pas trop hâtif de vous servir de cette arme au combat. Le plus tard sera le mieux. Certes à l'air confortable, mais je préfererais ne pas vous voir vous en servir...

Puis, le Nain arriva. Aragorn resta alors tourné. Puis il se tourna laissant la tête baissée qui rendait impossible son identification

Allons donc, ami, j'espère encore que je suis le bienvenu sur mes terres. Ne reconnaissez vous donc pas votre hôte lorsqu'il se présente à vos portes, quand bien même il fait sonner le Cor du Gondor

Là, Aragorn baissa sa capuche, tenant toujours dans sa main droite Anduril. Onvoyait maintenant qu'au front il portait une couronne de mithril sertie d’une pierre blanche: Elendilmir. Cette pierre prouvait que l'on se tenait face au Roi d'Arnor

Je suis Aragorn, ou Elessar, Roi du Gondor, et donc, par conséquent, Roi en Ithilien. Je suis venu voir si les Nains ne manquaient de rien, et surtout, s'il avaient recu l'Ordre de Minas Tirith. Car son messager a été trouvé mort...

Aragorn pénétra le puissant fort récemment bâtit par les Nains. Et il en fût tout emmerveillé. Cette place forte en Ithilien serait certainement decisif, et l'avoir avec soi était une aide non négligeable. Il voyait là haut les quartiers mis à sa disposition, et à celle des parents. Il se tourna et fit un signe de main à la Compagnie Grise, qui posa pied à terre et entra lentement dans le camp, suivit par leurs montures. Aragorn suivit Hanzok, toujours bavardant avec Hador. Puis il dit d'une voix calme

Très cher Maître Forgeron, j'ai un grand service à vous demander. Je suppose que vous ne forgez pas du Mithril tous les jours. Mais j'en ai apporter avec moi 2 kilos. J'aurais besoin que vous donniez un coup de jeune à Anduril, la Flamme de l'Ouest.

Aragorn montra sa lame au Forgeron. Celui ci hocha la tete

Le reste du Mithril, gardez le et faites vous une merveilleuse hache!

Hador suivit ses deux hôtes. Puis il s'adressa a eux.

Mes amis, j'ai encore quelques aveux a vous faire. J'ai pris seul des dispositions contre notre ennemis, aujourd'hui je les regrette peut-être. Il y a un mois j'ai un fait rêve voyant Ulmo sortir de la mer et chassant l'écho de Morgoth de mes terres du Lammoth. Au réveil j'ai de suite consulté les mages de ma cité qui m'ont affirmé que ce rève était un présage. Alors je me sui rendu a Minas-Edhel la forteresse sur les côtes du Lammoth. Là j'ai invoqué Ulmo mon parrain et grace au don qu'il m'avait fait étant enfant (la voix d'hithlum) j'ai put couvrir l'echo de Morgoth et le chassé du Lammoth. Après un tel effort je suis resté 3 jours évanouit. Je n'ai l'ai dit a personne mais durant ce sommeil, j'ai vu les ordes d'Angband envahirent le Beleriand par Tol-Sirion et la Brèche de Maglor. Doriath, Nargothron, Gongolin et Vinyamar brulaient, les corps des enfants et des femmes brulaient sur d'immense buchers, tandis que les hommes étaient conduit dans la forteresse de Morgoth pour y être asservi. Aucun elfe ne survécut dans mon rêve. Je sais que ce n'est qu'un rêve mais je crains de n'avoir irriter Morgoth en lui reprenant sans les armes la contrée du Lammoth.

Hador regarda dans les yeux ses 2 compagnons.

Bien que nombre de gens me crois sage, parfois j'ai grand besoin des conseil de mes amis. Croyez vous aux présages maitres Hanzok, et vous Aragorn.

Aragorn parut assez effrayé du récit d'Hador. S'il disait vrai, il faudrait faire vite, car Morgoth, s'il le voulait, pouvait frapper vite, et fort. Il dit d'une voix calme, après avoir ranger son épée

Hador, si vous dites vrai, il va falloir se hâter. Nous devrons créer des postes avancés, et fortifier la Brèche de Maglor. Toutes les troupes que le Beleriand pourrons fournir devront s'y dresser, ainsi qu'à Tol Sirion. Faites venir femmes et enfants en Gondor. Nos cavernes peuvent accueillir nombre de personnes. For-le-Cor accueillera ceux qui ne peuvent entrer à Minas Tirith. Je ne crains que vous ayez hériter du don de voyance, tout comme mon aïeul Elrond. Et si vous avez chassez l'écho de Morgoth du Lammoth grâce à l'aide d'Ulmo, je ne crains qu'il ne cherche à présent que votre perte. Nous avons toujours su que vous et Turgon étes ses plus grands ennemis, tout comme je suis l'ennemi de Sauron. Mais je pense qu'à présent, il voudra faire tomber Dol Lomin avant tout pour faire preuve de sa puissance. Hélas, depuis que j'ai été privé de Numenor, j'ai perdu nombre de mes soldats. Je ne peux tenir mes engagements faits au Conseil. Je ne peux me priver, au maximum, que de 10.000 hommes. Et il sont ici, en Ithilien...

Ne vous inquiétez pas. Je vous remercie de m'avoir conseillé. En définitive vous pensez comme moi. Même si ces présages ne sont que des présages, il faut tout de même se méfier car ils ne font que confirmer nos craintes. S'il advient que Dor-Lomin tombe, alors le pays tombera. Cependant il existe une tradition dans mon pays et un proverbe : "L'homme se bat, la femme prit pour lui combattant tout autant, attendant son retour. Et le roi protège leurs enfants." Je sais par avance que les hommes et les femmes de tout âges ne quitteront pas le pays quelqu'en soit la fin. Cependant d'après la tradition il est de mon devoir de protéger les enfants pour que le peuple de Marach survive. Alors je ferais ainsi, les femmes resteront pour attendre leurs maris et leurs fils comme elles me l'imposeront. Tous les hommes agés de plus de 16 ans sont déjà mobilisés dans les milices en soutient de l'armée régulière. Quand aux enfants, je crains que le Gondor ne soit pas plus sur. Pour cette raison ils enmbarquerons pour l'île de Balar et si nos craintes se réalisent en Beleriand ils viendront se réfugier en Gondor.

Turgon rassemble déjà la Grande Armée des Eldar. Mes amis, nous allons vivre des temps que peu diront avoir connu. Cette époque sera celle de la Dernière Guerre, que nous savons déjà perdue. Cependant, un espoir semble en vue loin a l'ouest. En disant ceci il regarda l'ouest et sourit a Aragorn. Vous n'ètes plus roi de Numenor, mais Numénor existe toujours et il faut compter avec eux. Ainsi cette Guerre sera celle du Dernier Espoir, l'Espoir venu de l'ouest : NUMENESTELLA.

Aragorn confia alors Anduril à Hanzok, et regardait au loin, à l'Est. Cette direction le faisait faire face au Grand Sauron. Lui, homme issue de Numénor, se dressait maintenant devant lui, le defiant. Il ferma les yeux. Il le vit alors, dans sa grande armure, se tenant face à lui, stature imposante. Aragorn sortirait du fourreau la nouvelle Anduril, la montrant à son adversaire. Puis il ouvrit les yeux. A coté de lui se tenait toujours Hador, son ami. Aragorn avait eu un rêve étrange lui aussi, et se dit qu'il était tant de le lui dévoiler

Hador, cher ami. J'ai fais aussi un rêve. Je nous ai vu, nous tous, Capitaines de l'Ouest. Nous nous tenions en un tribunal, dont Eru était le dirigeant de séance. Les accusés étaient Morgoth, et Sauron, accusés de haute trahison. Eru les a extradié. Barad Dur et l'Angband furent détruits. Et alors, vous, moi et Turgon, les Trois Derniers Grands Rois de cet Age, et je dis cela sans auune vantardise, croyez le, avions le devoir de tuer nos ennmis. Mais nous ne le firent point. Alors, ils furent envoyé hors du monde, dans une forteresse gardée par Eru lui-même. Et nous fûmes heureux... tous...

Mon cher Aragorn, nous avons trop parlé de presages. Maintenant il nous faut parler de choses concrètes. Je pense que nous devrions allez face aux troupes d'Eleaule. De cette manière nous aurions le choix du terrain. Qu'en pensez vous ?

Hador marchait toujours aux cotés d'Aragorn et il attendait sa réponse.

Sur le chemin de ronde tout était clame. Demain il organiserait un conseil de guerre avec les chefs en présence. Mais alors qu"il allait partir se coucher, Hanzok aperçu des barques voguant sur le fleuve. Il reconnu immédiatement et malgré l'ombre les barques de ses rangers. Il se dirigea alors vers les jetés du petit port. Les rangers avaient accostés et les hommes en étaient descendu. Le forgeron constata alors qu'un inconnu les accompagnait: le capitaine vint lui parler suivi de l'étranger.

-Il s'appelle Sulhedel et dit vouloir se joindre à nos armées.... C'est un elfe.