Hanzok et sa bande débarquent en Ithilien

Un message reviens a Hador

Citation :

L'abime je sais y tomber
Je serais t'y enmener
Garde tes menaces pour toi
Ou mon courroux sera pour toi
J'ai nul envie de guerre
Mes guerriers sont bien trop fiers
Pour se prostérner devant toi
Hador de Dor lomin , ma seigneurie , mon roi
Calme tes revendications ,
reprend le chemin de la raison .
Garde tes armes chez toi
les miennes ne viendront pas chez toi ...

Hador prit le message et renvoya le messager en lui disant.

Dis ceci a ton maitre. Il n'y a donc plus d'amitié possible entre les hommes du sud et ceux de l'ouest. Qu'il se complaise dans son erreur, je ne viendrais l'y chercher. Dis lui bien que s'il ne veut pas etre notre notre allié, il ne pourra être que notre ennemis. La Neutralité est l'affaire des faibles. Car contre la menace du Mordor, il n'y aura pas de victoire, et si ton maitre pense tirer profit de sa neutralité, dis lui simplement qu'il se trompe et qu'il le verra promptement.

Puis Hador se retourna vers Aragorn.

Hatori Hanzok veut nous réunir pour un conseil de guerre, dans les heures qui vont suivre. Je vais vous proposer quelque chose car il semble que l'Harad ne pourra pas être avec nous. Dans ce cas nous devons nous prémunir contre le developpement de ce pays. Il faut nous protéger en prévention d'une attaque de leur part. Il me semble que le pouvoir soit l'essentiel des motivations de Tulkor. Je vais proposer de prendre position en Harondor, cette province qui devrait appartenir au Gondor. Si vous acceptez mon idée je ferais venir l'armée de Dor-Lomin et convierai Kamen du Rohan a venir nous soutenir.

La nuit approchait. Le sol était sombre déjà, seul le fleuve brillait encore. Hador avança vers Hanzok.

Le soleil se couche, demain sera un autre jour. Allons nous coucher car demain nous devrons prendre des décisions. Et j'ai des propositions a vous faire, a vous et a Aragorn.

Hador salua Hanzok et le roi du Gondor et regagna sa tente au sein du camps.

[HRP: ok pour l'autre topic]

Aragorn répondit à Hador

Nous en parlerons demain. Pour le moment, je suis épuisé.

Il remonta en haut de la falaise...

Avant d'aller s'endormir, Hanzok avait confié une bien étrange tâche à son ami Tagazok. Celui-ci se souvenait encore de ses paroles :
" Mon ami, vois ce cavalier elfe, fraîchement arrivé. Avant demain soir, teste-le. Car il m'intrigue. Toi, ton coeur est pur de tout doutes. Toi seul peut juger"
Il était vrai que Tagazok était très instinctif. Mais de là à lui assigner une telle tâche... Mais bon. Tagazok s'ennuyait un peu, ces derniers temps. Il n'avait rien eu à faire de spécial. Au moins, cette tâche était inhabituelle.
Le lendemain, alors que Suledhel montait en direction de la tente où devaient se rencontrer les chefs,Tagazok se mit sur son chemin.
- Écarte toi de ma route, nain... proféra Suledhel.
- Allons, allons, ne soit pas si grossier. Que dirais tu d'un combat ? Tu m'as l'air d'un grand guerrier, mais j'ignore si ton coeur est pur. Or, on ne peut connaître quelqu'un qu'en l'affrontant. Acceptes tu ?

Tagazok sourit. Enfin, un adversaire de valeur se présentait à lui. Cela faisait si longtemps qu'il ne s'était pas amusé...
- Ne vous méprenez point, messire elfe. Je n'ai pas besoin d'avoir de grandes jambes pour vous atteindre.
Ayant dit ceci, Tagazok lança sa hache vers l'elfe, tout en bondissant dans sa direction. Sulhedel esquiva sans mal ce projectile, mais il n'avait pas vu que Tagazok avait retiré son casque, et l'avait lancé dans sa direction. Il réussit à esquiver de justesse, alors que la hache de Tagazok revenait vers lui, comme un boomerang. Sulhedel dut recourir à son épée pour parrer le coup et dévier la hache. Tagazok la rattrapa.
- Comment...
- C'est le résultat de mon entraînement aux treize tours. J'arrive à manier ma hache comme un boomerang, même si elle perd beaucoup de sa force quand elle revient.

Sulhedel voyait à présent ce nain différement. Certes, ce n'était qu'un nain, mais il semblait que ce nain avait de quoi lui tenir tête. Cela le troublait quelques peu. Tagazok, lui, était ravi. Si ce guerrier était aussi fort qu'il le paraîssait, alors aucun doute, l'avoir à ses côtés serait une bénédiction. Et l'avoir comme adversaire serait une jouissance suprême.
Tagazok foncça à nouveau vers lui, faisant tournoyer sa hache dans sa main, rendant moins prévisibles ses coups. Sulhedel ripostait avec son épée. Un échange de coups spectaculaire commença...
Quelques minutes plus tard, les deux opposants s'étaient immobilisés. Ils s'affrontaient maintenant du regard. Sulhedel était encore en position de force, mais il prenait maintenant Tagazok au sérieux.
- Je dois vous l'avouer, vous êtes un assaillant redoutable. Néanmoins, j'ai l'impression que votre coeur est sombre... Je ne sais pas si nous pouvons vraiment vous faire confiance. En tout cas, je prends le risque...
Tagazok rangea sa hache, et s'en alla.

Décidément, cet adversaire était des plus intéressants. Après s'être ôté tous les projectiles, Tagazok revint le plus calmement du monde auprès de Sulhedel, sans une once d'animosité apparente. Il souriait, même. Il se posta à quelques pas de Sulhedel, sans même avoir levé une garde apparente.
- C'est vous qui voulez prouver votre puissance, et satisfaire votre orgueil. Pas moi...
Outré par ces propos, Sulhedel fonçaet tenta de décapiter Tagazok. Mais celui-ci, malgré le fait qu'ils étaient tous deux très près l'un de l'autre, esquiva le coup en se rapprochant davantage. D'un geste, il saisit le bras de Sulhedel, qui donnait encore le coup, et dans le même mouvement, il le fit voltiger en l'air. L'atterissage fut rude, pour Sulhedel. Il se releva immédiatement pour riposter, mais Tagazok bloqua son geste en immobilisant le bras, avant de lui donner un magistral coup de tête. Tout ceci s'était passé en l'espace de quelques secondes. Puis, Tagazok déclara :
- À mes yeux, vous méritez votre place dans ce campement. Voici ma mission terminée.
Tagazok commença à s'éloigner prudemment, tout en gardant un oeil sur l'elfe. Qui sait, il allait peut être lui faire un coup fourré. Mais lui n'avait plus très envie de se battre. C'est alors que Pardekich, son troll, poussa un grognement.
- Veuillez m'excuser, messire elfe, mais je dois nourrir mon troll. À la revoyure.
et Tagazok s'en alla.

L'armée des Edains, arriva au camps d'Hanzok, elle établie sont campement un peu plus au sud.

Hador alla retrouver ses soldats. A son arrivée des trompettes sonnèrent. Comme d'un seul homme la troupe de 45000 soldtas cria "LORINDOL, notre roi". Hador salua ses hommes.

Mes frères, comme nos mages vous l'enseigne depuis votre naissance, nous devons combattre le mal au nom des Valar. Cher Edains aujourd'hui nous allons reprendre une terre de nos frères du Gondor.

Frère Edains aujourd'hui nous entrons en guerre. Fils de Marach, de Beor et d'Haleth voici venu le jour de notre gloire. Voici venu le temps ou l'ennemis tremblera comme nous avons trembler devant les ordes d'ors. Aujourd'hui la terre du Harondor sera souillé du sang noir de notre ennmis. Le Harad sera chassé d'Harondor, car cette nation est le bras offensif du Mordor. Mes frères demain nous irons tuer de l'Haradrim, et remporté sur l'histoire une grande victoire.

J'arriva dans le camps avec mes troupes.
Je dis:"
Seigneur Hador content de vous revoir.
Mes elfes sont prés et on hate de partir.
Hador me saluat et je dis:"
Quand partirons nous?Que je prévienne mes troupes.

Hador regarda Pans.

Mon ami nous partons tout de suite. Laissez 5 000 de vos archers ici avec 2000 des meilleur du Drengist. Ils doivent se positionner sur les flancs de la profonde vallée de Morgul. Là ils camperont sur les flancs de la falaise et garderont la passe si les orcs empreinte cette route. Si c'est le cas ils valent 5 orcs pour un archer, ils les obligeront a faire demi-tour.

(HRP: si vous voulez un exemple de cette stratégie regardez la bataille des Thermopyle durant l'Antiquité, suite dans voyage)

Au loin des trompettes sonnèrent. Le bruit des tambours approcha....

Sur la colline un cavalier apparu seul.

**Hanzok, vous avez prit les devants.**

Un autre cavalier s'arréta au nivveau du premier.

Sire il n'y a personne aux environs et le camp est désert.

Hador répondit:

Oui, Hanzok a fait le travail pour nous, le camp de Gatakaz a été brulé, il n'en reste rien. Nous n'avons plus rien a faire ici. La compagnie des 7 nains ne reviendra ici. Partons.

Le second cavalier cria
EN AVANT VERS HARONDOR !!!!

Hador partit au galop avec son porte bannière.
Les trompettes sonnèrent de nouveau et on vit surgire de la colline une immense armée.



Edit Modérateur Jaryak : J'ai déplacé ce sujet