gouffre de Helm 3

[Mode MJ on]

A For le Cor aussi on s’activait. Hamas et Grimwolf arrivaient en même temps que les réfugiés d’Edoras, avaient fort à faire pour canaliser les forces vives et remonter le moral des occupants. Souvent interrogé, ils répondaient inlassablement que c’était une mesure de précaution, en vue de la guerre contre Saroumane. Aussi pour occuper tout ce petit monde, ils décidèrent de remettre en état toutes les fortification ainsi que de faire une tournée d’inspection auprès des trébuchets nouvellement construits. Puis ils se répartirent les taches, a Hamas revint le droit d’intendance, aussi s’occupait-il de tout, aussi bien des réserves de flèches et de bois que de nourriture ou de simples pour les remèdes. Pour Grimwolf, ce fut plus facile, il faisait une chose qu’il aimait, se battre. Il était en charge des entraînements des hommes et leurs donnait du fil a retordre, de plus, il profitait du peut de temps libre pour faire consolider les murailles.

Soudain le son d’un cor retentit. C’était un son harmonieux et plein de vie, un son céleste et annonciateur, un son caractéristique des cors numnoriens. Les hommes se pressèrent aux remparts pour voire apparaître une colonne de civils, encadraient par 3 000 soldats numénoriens. A leur tête apparaissait Grimbold, le frère du roi. Les choses semblaient se dégrader. Alors que les hommes entraient au fort, Grimbold se retournait vers les deux capitaines qui avaient accourut à ses cotés.

« La horde de l’Est menait par Krell, vient de passer la frontière, il n’y a pas une seconde à perdre, j’ai des ordres d’Eodwyn. Grimwolf, il faut faire construire des scorpions, Hamas, faites couper tous les arbres que vous pourrez. Le temps nous est compté »

Le jeune homme dirigeait pour la première fois autant d’homme, il essayait de se montrer le plus persuasif et le plus autoritaire qu’il le pouvait. Il tut cependant l’absence du prince Eodred, ne voulant pas affoler les gens autour de lui.

D’un seul élan, ils se mirent tous à la tache, le soldat numénorien aidant la jeune femme rohirrim, le vieux guidant le jeune, l’apprenti secondant le maître de guerre. Les arbres furent abattus et menés à l’intérieur de l’enceinte. Les plus beaux troncs servant au corps des scorpions dont on avait aussitôt attaqué la réalisation, les autres furent dressés sur le pourtour des murailles et enchaînés. De vieilles femmes entretenaient les feux sous lesquels chauffer d’énormes chaudrons remplis d’eau et de poix. Des enfants aiguisaient les pieux plantés en amont des murs d’enceinte. Devant leur principal point faible, Grimbold fit monter une passerelle sur laquelle il fit amasser quantité de pierres et de roches. Ainsi, si la grille, par malheur devait sauter, il serait toujours temps de reboucher le conduit, avec quelques victimes écrasées.

L’obscurité commença à tomber sur le gouffre, mais il continuait de résonner les échos des coups longtemps encore. Les tours de garde et les guetteurs prenaient leur position.

[mode MJ OFF ]

[Mode MJ ON]

Grimbold à peine levé descendit les escaliers en direction des chantiers. Il croisa bon nombre de personnes dormant ou ils le pouvaient, ou déjà debout affecté a des taches de consolidation. Il traversa l’espace découvert ou les gens entassaient pierre et bois, tandis que d’autres étaient affairés à l’emmanchage des piques métalliques sur les traits. S’approchant d’un chantier de bois, il fut rejoins par Grimwolf.

« Bien le bonjour, Monseigneur, je vous annonce la mise en opération du premier scorpion du gouffre. Nous allions procéder au essai. Voulez vous y participer ? » Annonça-t-il fièrement.

Grimbold acquiesça de la tête et le maître charpentier arma le scorpion, le pointant vers un espace découvert. Grimwolf lança un appel et tout le monde s’écarta, retenant son souffle.
Le charpentier regarda le frère du prince et celui-ci donna l’ordre. Actionnant le mécanisme, il relâcha les cordes en nefs de cheval, propulsant le trait coiffé de fer à une vitesse prodigieuse. L’impact fut accueillit avec des cris de victoire. L’essai était concluant.

« Mes félicitations, maître charpentier, votre engin est des plus meurtrier ! »

« Avec Babette, nos enemis n’auront qu’à bien se tenir ! A 300 mètres, j’vous dégomme le premier imbécile qui ose montrer le bout d’son nez !! Et pis, avec 3 hommes, j’vous assure une cadence de tire de quatre coups à la minute ! Y’a qu’a voire ! »

« Babette ? » interrogea Grimbold

« Oui, Seigneur, les maîtres charpentier aiment donner un nom à leur réalisation ! » répondit Grimwolf

« Et bien, soit, va pour Babette. Aussi, maître, je vais vous attribuer une place d’honneur avec votre Babette. Votre mission sera de défendre la bouche d’égout. En cas d’attaque frontal, vous pourrez avoir une ligne de visée directe sur nos assaillants. Si cela tournait mal, vous pourrez vous rabattre, bien entendu ! Choisissez deux de vos compagnons pour vous servir de servants d’arme et Grimwolf vous fera attribuez un chef de tire. Vous avez fait du très bon boulot, dit-il, caressant l’engin, vous pouvez être fier de servir votre peuple ainsi. Cependant, reposez vous, mon cher, nous ne savons pas combien de temps il nous reste. Profitez-en ! »

Le maître charpentier baissa la tête en signe de remerciement et se retira. Les autres chantiers reprirent de plus belle, fort du succès du tir du premier engin.

« Les trois prochains scorpions seront prêt d’ici la fin de matinée, si vous le désirez, nous pouvons faire le tour des remparts pour inspection. »

Ils quittèrent donc l’esplanade et gravirent les escaliers, atteignant les remparts. Là des hommes étaient affairés à enchaîner des troncs tordus et ferraillé, aux créneaux du mur. Grimwolf sourit devant le regard interrogatif de son supérieur.

« Il s’agit de ma réponse aux échelles ! dit-il sur un ton humoristique. Une fois mise en place et chargées, on balance nos troncs et par un mouvement de balancier, on les dégomme !! »

Puis il indiqua les grandes perches pour repousser les échelles également ainsi que les haches de sapeur pour détruire le pont-levis des éventuels beffroi. Le regard de Grimbold se porta au delà des murailles. Au devant de lui ce portait un paysage de désolation, on avait arraché à la terre tous ce qu’elle portait de végétal. Il ne restait que pierraille et poussière. Mais un sourire satisfait s’afficha sur ses lèvres, le travail qu’on lui avait confié s’achevait. Son frère serait fier de lui ! Il surprit le regard du capitaine sur lui. Le prenant par les épaules, il regagna le calme relatif de la forteresse.

« Vous avez fait du bon travail, mon ami. La horde de l’Est viendra s’écrasé sur nos murs et nous tiendrons ! »




[Mode MJ OFF]

Eodred arriva au gouffre de Helm. Il avait traversé la combe jusqu'à la grande forteresse du Rohan. Elle les avait sauvé puis elle avait faillit car Sauron lui-même était venue la prendre pour annexer le royaume du Rohan. Son père y était mort en se battant jusqu’aux bout. Mais elle ne faillira pas de nouveau, elle ne faillira pas devant la horde de Krell. Les cor sonnèrent, ceux du Rohan (dont celui d’Eodred) et de numenor. Les hommes de la forteresse virent alors que les renforts étaient la et le frère du roi Grimbold ainsi qu’Hama et Grimwolf sortirent à leur rencontre devant les imposantes portes de Helm. Ainsi se rejoignirent les armées du roi et de son temporaire maréchal de la marche :

« Mon frère, bienvenu à Helm.

- Merci je vois qu’il y a eu du changement ici, qu’est donc que cela?(designant le scorpion devant la grille)

- C’est un scorpion amovible, nous l’avons monté sur une solide planche fixée avec des chaînes. Personne ne pourra le prendre et les hommes dessus sont en relatives sécurité car les chaîne vont monter le scorpion une foi l’ennemis trop prêt et le rabattre sur nos mur.

- Excellent tu as toujours été le génie de la famille, dit-il avec un sourire. Je suis heureux de te revoir.

- Moi aussi notre sœur n’est pas avec toi ?

- Non, elle a une mission plus urgente à accomplir.

- Désolé de vous interrompre mon seigneur mais qu’elles sont les nouvelles du front, il parait que nous sommes envahis, des réfugiés arrivent chaque jour

- C’est exacte Hama, la Horde de l’est couplé avec notre ennemi de toujours Sauron a envahit nos terre. En ce moment même Eodwyn leur mène une guérilla sans merci pour les affaiblir, attendant un heureux événement. Mais plus que toute la horde de Krell vient ici, avec des orcs je les ai attiré au gouffre. Ici sera leur tombeau, ils s briseront comme des vagues sur les rochers. Le temps joue avec nous il nous suffit juste de tenir. Maintenant les hommes derrière moi vont aller prendre du repos pendant que j’inspecte les défenses. »

Les trois hommes sourirent puis Eodred donna les ordres de repos aux hommes, ils l’avaient mérité. Eodred inspecta rapidement les murailles puis alors que les capitaines étaient partis, il discuta avec son frère :

« Tu as fais du beau boulot, l’ennemi n’aura pas de bois pour construire des armes de sièges. L’ennemi sera affamé, fatigué et usé, l’ennemi sera énervé mais il y a un point dont je suis mécontent. Tu utilises de l’huile. C’est une denrée rare mais puisque tu l’as chauffé, elle est inutilisable pour manger donc on va s’en servir autrement. On va mouiller d’une de part en part juste devant les murs la combe du gouffre de Helm et derrière les piques. Je veux aussi que devant la chaussée qui mène a la porte soit aussi arrosé. Ainsi lorsqu’ils seront sous les murs du gouffre, ils grilleront comme des saucisses que l’on fait cuire l’été sous un saule pleureur. Pour remplacer l’huile, j’ai un autre produit, viens suit moi. »

Ils grimpèrent ensemble au sommet de for le cor et entrèrent dans l’armurerie :

« Il n’y a rien ici fit Grimbold, juste des armes.

- Erreur, il y a bien plus, père m’as raconter une histoire un jour qui circulait dans le palais, celui de la bataille de Helm tu l’as connais mais pas ma version a moi. Bref il me disait que Helm avait employer un produit nommé poix pour brûler ses ennemis. Il en avait caché une réserve pleine dans une salle qui faisait la jonction avec l’armurerie, reste a savoir ou trouver le passage.

- Mais tu délires Eodred (mais alors qu’il lui parla Eodred tâtonnait le mur a la recherche d’un creux), si ce que tu dis est vrai, pourquoi les précédents roi ne l’on pas utilisé lors de leurs siège respectif ? Pourquoi il l’a caché ?

- Ah (alors qu’il tapait sur un mur qui sonnait vide, c'etait en fait une planche de bois camouflée en mur), j’ai trouvé »

Il enfonça la maigre paroi de bois et une odeur de renfermé surgit du la pièce qu’il venait d’ouvrir :

« Ca alors fit Grimbold.

- Je te l’avais bien dit. »

Une torche a la main, il rentra dans la pièce qui était plutôt grande mais des fûts s’entassaient :

« Voila ce que l’on va faire, prend un maximum d’homme et enlevez moi ces fûts de là. Puis sortez un maximum de chaudron pour mettre dedans tous ce poix. Chauffer le. Veuillez a ce que les chaudrons sois bien repartit sur toute la muraille. En fin pour finir saches que je ne sais pas pourquoi Helm n’a jamais divulgué cette endroit, peut être l’a-t-il oublié et c’est devenu une légende mais la chance est avec nous, je les ait retrouvé et maintenant ces misérables larves de l’est vont payer. Je suis las, je vais me reposer, viens me chercher dans quelques heures. »

Son frère sourit puis il acquiesce d’un signe de tête partit diriger ces nouveaux travaux.

La nuit était tombée sur le gouffre. Eodred inspectait le travaille finit de son frère :

« Excellent, ils se briseront sur mur comme l’eau sur les rochers. »

A ce moment la un vent se mit a souffler, la lune se couvrit et on commença a allumer les torches pour que le roi finissent l’inspection. Mais il fit signe que non :

« J’ai un mauvais pressentiment, quelque chose arrive dans la combe. »

Tous attendirent quelques heures comme cela :

« Que tous les hommes se tiennent à leur postes murmura t’il à son frère, soyez prêt a envoyer le signal. »

Il n’en fallu pas plus. Une torche s’alluma juste devant les pics en bois a deux cents mètres des murs. Krell, l’imposant Krell était la, devant les murs tel un fantôme du passé. Derrière lui une horde en furie se déchaînait, ils étaient a portés des trébuchets :

« Hama donnes l’ordre de charger les tonneaux de poix qu’il reste dans les trébuchets, lorsque cela sera prêt, tu siffles un coup, tu attend deux seconde, tu les enflammes et tu tires. »

Hama partit alors rapidement donner les ordres.

A ce moment la, Krell débita un discourt faisant tourner sa hache au dessus de sa tête :

" …Peuple du Rohan…où est ton roi…je suis Krell…Roi guerrier du Rhun…Empereur du Rhovanion…Chef des Balchoth…grand prêtres des esprits…champion de l’arène…et enfin Dieu de la guerre personnifié…qui s’opposera a moi... ?...qui dans ce peuple de lâche sera capable de me vaincre sans se cacher derrière cette imposante muraille et ces armes de sièges ridicule…qui seront prêt à faire face a la mort incarné et aux seigneurs de l’est… "

Alors les rohirrims eurent peur, Eodred le sentit. Il alluma une torche juste à coté de lui. Lors Krell le vit, gracieux, fort, et impassible. Il n’avait pas peur de Krell loin de là, il repondit alors à son discours :

« Krell, tu te prétends empereur de l’est alors que tu n’est qu’un misérable roi d’un pays qui ne vaut même pas la peine d’être conquit. Tu te prétends guerrier alors et barbare alors que tergiverse en parole. Tu te prétends dieu de la guerre alors qu’un dieu aurait battu Aragorn en Rohanion. Tu as envahit le Rohan, tu insultes mon peuple, tu m’insultes moi, assumes les conséquence de tes actes, puisque tu te crois si fort viens donc me chercher, viens donc m’affronter dans la grande salle de fort le cor en duel. Tu n’es qu’un lâche Krell, un lâche comme tous ces orientaux d’ailleurs. »

A ce moment un sifflement tomba puis quatre tonneaux de feu s’élevèrent pour aller s’écraser dans les rangs de la horde. On entendit des hurlements de douleur, beaucoup d’hurlement de douleur. La poix collait à la peau et brûlait instantanément au troisième degré tous ceux qui était en contact. Ensuite on entendit le cor du Gouffre, on aurait qu’une immense armée se tenait prêt dans les murs derrière. Enfin la lune se montra une nouvelle foi montrant les guerriers de l’est ayant peur :

« Alors Krell, oseras tu venir et repartira tu dans ton pays la tete basse ? »

Les rohirrims avait repris confiance, il se relevèrent reprirent les rangs. Eodred décocha deux fleche de son arc chacun frôlant d’un coté et de l’autre la gorge de Krell. Puis un tir de scorpion qui se ficha juste devant lui le fit reculer. Eodred sourit et il murmura :

« Que le bataille commence (Et il hurla) trébuchets, scorpions feu !!!!!! »


Derrière lui des soldats mirent le feu a du bois émettant une fumée rouge. Les hommes présents lors de cette bataille hormis les officiers rohirrims surent qu’après a quoi c’était destiné.

(provenance : une aube sanglante)

Les snagas galopèrent comme des bêtes pour combler leur retard et tenter de rattraper les guerriers de la Horde de l’est. Et les orcs, cette race répugnante, étaient capable de grandes prouesses d’endurance, car ainsi en avait voulu Morgoth en les créant. Et la mission qu’ils accomplissaient gonflait leurs cœurs d’une joie mauvaise, car ils n’aimaient rien tant que de détruire et avilir tout ce qu’ils touchaient.

La petite troupe parvint au Gouffre de Helm, ou les armées de l’est avaient pris position. Et leurs yeux qui brillaient comme des yeux de bêtes fauves n’avaient point besoin de lumière pour distinguer les différents mouvements, et à leurs oreilles leur parvinrent les paroles de défis échangées de part et d’autre. Le chef de cette petite bande ordonna aux siens de monter sur une éminence rocheuse, et les ténèbres dissimulèrent aux hommes des deux camps leur progression. Ils prirent place sur une petite plate-forme naturelle, et le chef ordonna à ses sbires d’allumer de grandes torches…

Et ainsi les hommes des deux camps purent voir des silhouettes distordues s’agiter comme des ombres démoniaques à la lueur de rouges torches, et ces silhouettes brandissaient les dépouilles mortelles des rois du Rohan de jadis, reconnaissables à leurs silhouettes enveloppées dans des linceuls brodés aux couleurs du Rohan.

Et les infâmes orcs brandissaient des cimeterres acérés, tailladaient les dépouilles, jetant des lambeaux en contrebas dans les rochers, et leurs cris bestiaux et moqueurs résonnaient dans la combe. Puis, mûs par une folle énergie fournie par la joie mauvaise de leurs actes impies, ils ramassèrent les têtes qu’ils avaient transportées, et les lancèrent en direction des murailles. Ils étaient beaucoup trop loin pour atteindre les murs, mais leurs yeux de chats distinguèrent les visages muets d’horreur des défenseurs, et cela les fit ricaner de plus belle, jusqu’à ce qu’une salve de mortelles flèches vint mettre fin à leurs tristes et misérables existences.

La mise en scène de l’attaque de Krell ne surpris pas Eodred. Les hommes se tenirent prêt. Alors ils virent les troupes de Krell avancer, mais rapidement il vit que c’était les plus misérables troupes de Krell qui attaquaient :

« Je vois Krell, tu veux jouer un peu. Trébuchets et scorpions feu a volonté sur les troupes lointaines de Krell. Archer ne tirez pas encore, remontez le scorpion sous la bouche d’égout. J’ai besoin d’une flèche enflammée. »

On lui donna une flèche enflammée. Il attendit que les troupes arrive au pied de la muraille et la il la décocha. Le feu enflamma l’huile et se rependit le long des murs grillant tous les hommes qui y était. Au loin on entendait les cris des hommes de l’est qui tombait brûlé vif ou écrasés par des boulets. Mais les flammes révélèrent deux choses. La 1iere c’était le géant qui grimpait la chaussée avec deux gardes pourpres et l’autre c’est des petites formes qui avançaient dans le entre les esclaves. Alors un objet frappa un des hommes et il fut pris d’épouvante. C’était la tête d’un des rois du Rohan, héros inoublié des temps ancien. Cette vision emplit de haine Eodred mais elle n’atteindrait son paroxysme que quelques instants plus tard. Il sut instantanément de qui c’était l’œuvre notamment en voyant les formes noires dont il reconnus des orcs du Mordor mais aussi par cette manière vicieuse de l’atteindre:

« Elentir, j’aurais ta peau. Je te détruirais de mes mains. Artamir prenez une partie de vos Hommes et Grimwolf et sa compagnie et allez renforcer la porte. Je vous rejooins dans pas longtemps. Abattez moi ces orcs, je veux qu’ils meurent jusqu’aux derniers. Tuez tout le monde. »

Alors que les esclaves de Krell grillaient ou bien se faisaient trouer la peau par les flèches. Aucun n’orcs n’en sortirent vivant, de la combe, Eodred en tua plus que tous ses hommes :

« Est-ce tous ce que tu peux faire Krell, tu est vraiment pitoyable. »

Mais les esclaves de Krell n’était qu’une diversion en vu de l’assaut de Krell. Krell avait finit de gravir les marches et défonça la porte d’un coup de hache tout en chargeant avec son espèce de cheval. La porte s’écroula avec un fracas monstre et Eodred compris son erreur. Le moment était venu, le moment d’affronter Krell en personne :

« Grimbold prend le commandement du mur, je vais à la porte. Il est temps que je croise mon destin. »

Il entendit dans le fracas de la bataille son frère crier oui et de donner ses ordres pendant qu’Eodred se précipitait vers la porte, il eu le temps d’entendre Krell hurler :

« Je suis Krell et rien sur cette terre ne résiste à mes coups. »

Il se remis à courir vite vers la porte en priant d’arriver a temps.

[HRP: On s'est mis d'accord avec Krell sur le duel^^]

Eodred arriva au moment où Krell avait finit le massacre de la porte. 250, 250 hommes étaient tombés sous sa lame. Il fendit les soldats qui refluaient en désordre et vit la scène ou Krell, le prétendu empereur de l’est s’arc-boutait sur hache pleine de sang. Ils étaient au second niveau du gouffre. Il se tenait la devant la porte qui menait au bastion et à la grande salle. Un instant il hésita à avancer, à combattre le monstre qui avait tué 250 de ses hommes mais parmi les corps de la porte il vit Grimwolf qui gisait mort, la tête pleine de sang, un coup de hache qui avait percé son armure. Un peu plus loin, à droite, gisait aussi Artamir le capitaine des numenoriens au milieu des corps de ses hommes, Eodred ne le savait pas encore mais il était vivant. Il était seulement assommé. Son visage s’emplis de haine, désormais il ne pouvait reculer, qui d’autre arrêterais Krell, qui d’autre sauverait son peuple. Il mit alors le pied droit devant, ce pied allait entrer dans la légende car Eodred ne pouvais le deviner mais il venait de fouler la légende :

« Krell me voici cria t’il. »

Krell se retourna alors et éclata de rire, d’un rire démoniaque. Il le désigna :

« Tuez le fit il à travers son casque. »

Et les deux gardes pourpres avancèrent alors sur lui. Il ne bougea pas alors que les hommes derrière lui reculaient doucement impressionnés par ces deux hommes. Les gardes pourpres se jetèrent sur lui, mais d’une roulade bien placé entre les deux, il évita les deux coups et se retrouva derrière eux. Avant qu’ils aient pu se retourner, il frappa derrière le genou celui à sa droite ce qui le fit s’incliner, puis en même temps qu’il se relevait, il frappa au coup en se retournant. Son fut si fort que la tête du soldat tomba lourdement sur le sol. Eodred se retrouva face à son frère d’arme. Celui-ci fut surpris que son collègue fût tué aussi vite et il recula d’un pas :

« Je n’ai pas de temps à perdre dit avec fermeté Eodred. »

Il fit sauter son épée pour la prendre entre les doigts et il la lança contre le garde au niveau de la gorge et celle-ci lui la transperça. Lâchant son arme pour tenir la plaie fermée, il se mit lui aussi à genoux et alors Eodred s’approcha de lui, mettant son pied son armure, il lui la retira et le sang gicla sur le sol, tachant les pavées du gouffre d’une sang plus rouge que le drapeau communiste. Il se retourna face à Krell :

« Ainsi il est temps de réaliser notre destinée, affrontons nous pour que ce duel reste dans la mémoire des hommes jusqu'à la fin des temps. »

Le géant semblait impressionné mais il rit à nouveau d’un rire démoniaque. Il était satisfait visiblement il s’amuserait un peu avant d’achever sa proie. Eodred eut à peine le temps de ramasser un bouclier numénorien qui traînait par terre que Krell frappa. Sa hache s’abattit lourdement sur le sol, Eodred l’ayant évité mais elle fendit le pavé. Il redonna un coup qu’Eodred évita encore, puis encore un autre. C’était la stratégie d’Eodred, les coups du géant étaient terrible mais lui était plus mobile que Krell dans sa lourde armure. Il savait que si il en prenait un c’était finit. Ainsi commença un duel de légende entre un guerrier de légende et l’autre qui y allait y rentrer par ce duel justement. Plusieurs coups volèrent. Tous frappèrent dans le vide m’enlevant des morceaux de pierre la où ils tapaient. Le combat avait bougé sous l’arche désormais mais il était toujours aussi intense. Eodred décida que c’était le moment de contre attaquer passant sous un des coups de Krell il arriva sous sa garde et lui assaina un formidable coup au ventre. Bien sur l’armure le poussa mais pendant un petit instant il vacilla mais il se reprit vite en faisant tourner sa hache pour de nouveau l’abattre mais Eodred était déjà partit et le coup s’abattit une nouvelle foi dans le vide. Il frappa si fort que sa hache resta plantée dans le sol. Eodred en profita. Il marcha sur la hache puis il grimpa sur son manche à la grande surprise de son adversaire et il sauta le plus haut qu’il pouvait avec son armure et le frappa de toute ses forces avec ses deux pieds en plein dans son torse. Sous la violence du choc Krell recula plus fort cette foi, il se pris le pied dans un trou dans le sol et tomba a la renverse sa tête heurtant un mur. Il avait lâché son arme qui était resté planté dans le sol. Eodred était retombé bien difficilement, se rattrapant comme il put mais Krell avait le plus souffert. Il se releva difficilement, son casque était resté planté dans le mur découvrant son visage de tyran. Il était sans arme. Eodred avait l’avantage en ce moment et il en profita, mais il se précipita un peu trop vite sur Krell. Celui-ci lui lança du sable issu des pierres brisées dans les yeux ce qui l’aveugla. Krell avança alors pour lui assainer un coup du dessous du pied si fort qu’il recula sur 8 mètres, bien plus loin que la Hache. C’était une erreur de débutant et Krell en profita pour attraper sa Hache. En forçant il parvint à la faire sortir en mettant un léger coup dans le ventre d’Eodred qui s’était une nouvelle foi précipité. Alors on vit la haine dans les yeux de Krell, on vit la haine, personne ne lui avait ôté son casque, personne ne l’avait fais chavirer de la sorte. Il sentit qu’il devait calmer ce jeune roi de l’ouest. Il pris sa hache et donna des coups encore plus vite, plus fort, il puisait dans ses dernières réserves que la haine avait décuplé. Les coups de Krell s’avérèrent très précis, plus précis qu’avant et il parvint à coincer Eodred dans un coin. Sa Hache frappait de tous les cotés cassant les pavées du mur. Bientôt un mini nuage de cendre envahit l’arche. Bien plus tard on s’apercevrait que Krell ait creusé un trou de la taille d’Eoded, plus tard on le gardera en souvenir de ce duel et on mettra la statue du roi Eodred et de la reine Eodwyn. Krell remarqua comment Eodred évitait ses coups et en faisant une feinte et il le pris par l’épaule de l’armure pour le projeter violemment contre le mur opposé. Le choc laissant un petit trou sur le mur et Eodred tomba pour la 1iere foi un peu assommer. Au passage il perdit son casque. Son épaule gauche commençait à lui faire mal mais cela pouvait aller. Krell se retourna et fonça sur lui pour lui donner un coup mortel. Mais Eodred réagit en se relevant très et vite et le contra avec son épée. Il fut obliger d’y mettre les deux mains. Alors les bras des deux adversaires se plièrent ramenant le croisement d’épée pas loin de leur visage et ils se regardèrent. Chacun avait son style, Krell était froid et dur, Eodred ferme mais plein de bonté et de vie, mais les deux était emplis de haine, de haine envers l’un envers l’autre. Les deux armes se relevèrent et les deux frappèrent a nouveaux en même temps. De nouveaux celles-ci s’entrechoquèrent lançant une série une éclair digne du dieu Zeus dans la mythologie Grec. Krell fut le plus prompt a réagir en frappant de nouveau horizontalement avec sa hache mais Eodred se baissa l’évitant une foi de plus puis il fit un 360 degrés en roulant sur son flanc droit, le flanc où il n’y avait pas sa hache pour se retrouver dans son dos. Et là normalement il aurait du frapper à la tête car la tête de Krell était nue mais il frappa en diagonal en plein dans son armure. Krell ressentit la surprise et il fut projetant en avant. Son armure s’enfonça un peu dans son dos lui déclanchant un début de douleur. Il frappa de toutes ses forces, de tous ses muscles en se retournant touchant Eodred sur son bouclier. Celui-ci vola en éclat et Eodred fut projeté sur le sol. Son épaule gauche se déboîta sous le choc. Il était désormais sur le sol, adosser au mur. Le prince du Rohan et l’empereur de l’est se regardèrent. Chacun était épuisé, ils avaient beaucoup donné dans le duel, Krell s’était fendu un chemin entre les Hommes du Rohan et de Numenor. Leur respiration était lourde, mais Krell sourit, rit de nouveau d’un rire démoniaque :

« Minable avorton, tu vas mourir maintenant. »

Alors Krell leva sa hache, prête à achever le prince du Rohan et il l’abaissa en hurlant d’un cri inhumain. Eodred réunit alors ses dernières forces et frappa à son tour avec son épée. Il ne visait pas la hache. La Hache s’abattit, l’épée siffla. Les deux armes se croisèrent et du sang gicla, du sang noir. Le géant fit deux pas en arrière et tomba à la renverse contre le mur opposé. Krell perdait du sang de son bras droit, Falstuf la lame d’Eodred l’avait touché sévèrement au coude :

« C’est pas finit tant qu’il n’y a pas eu la cloche fit Eodred. »

Mais Krell se releva une foi de plus en s’appuyant sur sa hache. Son bras dégoulinait de sang et il ne pouvait plus l’utiliser. Leurs regards se croisèrent. D’un coté il y avait la peur, la peur de mourir et de laisser son peuple se faire massacrer par ces barbares, de l’autre il y avait la haine et l’incompréhension, l’incompréhension de cette bataille. Il y a avait aussi la surprise, il avait été surpris de la résistance de ce petit roi de l’ouest. Il lui accordait un peu de respect finalement mais il devait l’achever, pour gagner ce duel, Eodred ne pouvait bouger, son épaule lui faisait trop mal et il n’avait désormais plus de force. Il leva une nouvelle foi la hache de sa main gauche. Eodred entendait la cloche qui sonnait le glas, le glas de sa vie :

« Cette foi je crois que la cloche a sonné et j’ai perdu pensa t’il. Il me reste qu’une carte à jouer, alors jouons la. »

Krell était toujours bras levé alors qu’Eodred se mit a rire. Il rit de plus en plus fort, de plus en plus gaiement. Les hommes du bastion s’étaient approché doucement, pas à pas pour observer ce duel de légende, aucun n’avait voulu intervenir mais ils étaient aussi surpris que Krell de la réaction d’Eodred :

« Tu te demandes pourquoi je ris face à la mort, face aux Valars qui me tendent les bras. Tu crois vraiment que Sauron le Maiar sombre, le lèche botte de Morgoth, le fanatique de Melkor va te laisser se royaume et ton empire pour toi. Tu es trop naïf, il enverra d’abord Saroumane son pantin pour te faire la peau avant que lui ne se charge d’éliminer les survivants. Regardes les orcs qui t’accompagnaient ou sont-ils alors que tu avais besoin d’eux ? Ou sont il alors que tes guerriers meurent devant mes murs ? Sauron veut régner sous toutes formes de vies qu’elles quelles soient ; Tu peux me tuer, vas-y frappe mais tu n’y gagneras rien, tu y perdras tous y compris ta vie dans les geôles infectes du Modor. »

Les yeux du tyran trahirent son doute dans son esprit. Il resta figé telle une statue alors que Le soleil se levais au loin, d’une lueur intense. Au loin des cors sonnèrent, les cors des rohirrims, Eodwyn arrivait enfin :

« Je crois que la cloche a sonné Krell. »

Krell avait toujours le bras levé mais il ne savait que faire désormais.

[HRP: Je dedicasse ce post à notre admin principal, il comprendra pourquoi^^]

La chevauchée avait durée toute la nuit, éclairée par les flambeaux, se restaurant en chemin, ils fonçaient pour porter secours à leur peuple. Theodwyn avait rapporté la décision du roi du Harad, et les hommes lui avaient finalement annoncé le sacrilège mortuaire infligé à leurs sépultures ancestrales. Les Rohirrims galopaient vers leur destinée avec la rage au ventre et la fureur des actes dont ils avaient été témoin alourdissait leurs regards de noirceur. Eodwyn en tête, ils franchissaient col et vallée sans relâche, tout leur espoir porté sur le fait d’arriver sans tarder au gouffre pour le suprême assaut. L’aube blanchissait alors qu’ils gravissaient la dernière montée rocailleuse. De l’autre coté du mont, l’air semblait lourd des clameurs des combats, et malgré la distance, il parvenait jusqu’à eux.

«Hardis, cavaliers du Rohan, hardis. Nos frères ont besoin de nous, allons plus vite ! » Pressa Eodwyn, relançant Bicéphale dans la côte.

Ils parvirent enfin au sommet, avec les premiers rayons du levant dans le dos. Plusieurs milliers de lances se découpaient en ombre chinoise, les cavaliers prenant instantanément la position d’une charge annoncée. En contrebas, une marée humaine combattait au milieu d’un chaos de chair écarlate et d’acier rompus. Des feux illuminaient cette scène de carnage organisée. Une ouverture semblait avoir eut lieu au niveau de la porte principale, et on se battait à l’intérieur du fort. Le sang d’Eodwyn ne fit qu’un tour, et tournant bride, elle remonta la rangée de cavaliers. Sortant sa lame, elle la fit s’entrechoquer sur les lances dressaient tout en s’adressant à ses hommes.

« Cavaliers. Il est temps pour nous de porter un coup décisif à cette bataille. Allons apporter un nouvel espoir à nos amis emmurés. Portons secours à nos familles, repoussons cette armée de l’Est qui n’a pas sa place sous nos murs. Relevons la tête, au diable la fatigue et nos peines, chassons les de notre terre. Souvenez-vous de la sépulture souillée de nos ancêtres, que cet affront ne reste pas impuni !! Allons Cavaliers du Vent, hommes du Rohan, battons nous avec honneur, que le sang de ces barbares nourrit cette terre ! »Hurla-t-elle, galvanisant ses troupes !

Elle se retourna vers le gouffre:

"Pour le Roi!"Hurla-t-elle, transfigurait.

Les cors sonnèrent la charge et les chevaux entamèrent la descente vers le combat. En bas, le chaos fit place à la stupeur face à l’armée qui allait fondre sur eux, en une masse compacte de chairs, de crins et d’aciers. Au loin, on pouvait apercevoir l’envol de corbeaux tournant le dos à la situation.

« Fardein, je te veux sur mon flanc droit, formation en demi chevron afin de fendre cette masse et d’atteindre la porte. Il nous faut la prendre et tenir sa défense. Theodwyn reste sur ma gauche, au contact, ne crains rien et tue tout homme qui tente de t’approcher ! »

La horde de cavaliers prit de la vitesse au fur et à mesure de sa descente, et c’est une marée furieuse qui se déversa sur les guerriers de l’est. Se déversant à travers leurs lignes latéralement, ils n’eurent guère le temps de se rassembler pour faire face. Les cavaliers foncèrent, bousculant, écrasant et éparpillant les corps sans vie des assaillants, et rapidement atteignirent la porte éclatée du Gouffre. Fardein mit en place la défense du site, tandis qu’Eodwyn traversait la porte.

Arrivée dans la cour saccagée par de violent combat, Eodwyn se plaça entre la masse du meneur de l’Est et le corps meurtrit de son époux. Jetant un rapide cou d’œil à se dernier, elle fut soulagé de le percevoir en vie. Elle se retourna pour faire face au barbare caparaçonner dans son armure.

« Ainsi c’est donc toi, Krell ! Ainsi tu es l’homme que je dois abattre pour la sauvegarde de notre royaume ! Tu n’es pas homme à résister à ma colère, vus l’état dans lequel t’as laissé mon époux. T’achever sera une maigre compassion face à l’affront que tu nous as fait. Sache que le Rohan ne se laisse pas envahir si facilement. Regarde là-bas, les sbires de Saroumane te tourne le dos, tu es seul et tu vas mourir de ma main. »

Elle retenait sa monture d’une main, Bicéphale excité par l’odeur du combat, piaffait d’impatience et tournait en rond. Fièrement dressait sur son dos, Eodwyn regardait Krell avec colère et froideur, son arme prête à donner la mort, elle attendait une réponse de l’homme affaiblit.

Ses cheveux renvoyait l’éclat du soleil levant, son armure brillait de mille feux malgré les épreuves passaient, le visage d’Eodwyn respirait la maîtrise de soit et la détermination.


Edit par Elessar : Vous vous arrangerez comme vous voulez mais vous ne m'ôterez pas de l'idée que la traversée des cavaliers du Rohan à travers 45 000 barbares fut un peu brève et bien facile.Si Krell souhaite invalider le message,je ne pourrais que lui donner raison.
Cependant,bon RP à tous.

Edit Sarou : Oui, c'est flagrant. Quand on connait la constitution d'un homme de l'Est, cette manœuvre relève quasiment de l'impossible. Là on dirait un fil rentrant dans du beurre...

Edit Eodred: Bon alors il faut lire les posts avant, se sont des esclaves qui sont sous les murs, la horde de l'est se tenant en retrait a porté des tribuchets. Maintenant si Eodwyn a fais une erreur dans son rp, envoyez lui un MP au lieu de faire des edits, cela serait plus gentil je trouve. Voila, merci de l'attention^^.

Quoi?...Comment?...Esprit tous puissants...que dit cet homme?...

Le géant lança un rire puissant...et malgré la fatigue, plutôt que de tué directement l'homme sous lui, il posa un pied sur sa poitrine...et fit un sourire amusé...

"...nul homme...nul femme ne peut me tué...je suis Krell...je dirige la race d'homme la plus forte que la terre du milieux n'ai jamais vue..."

Dit il en levant difficilement sa hache vers la femme...

"...Pourtant...je doit avoué que ton...homme...a fait un combat presque digne de ceux que l'on voit a l'est...je n'ai rencontré que deux hommes qui puissent faire coulé mon sang...le premier est mort...le second est mon meilleur adversaire...le troisième lui...est le plus intelligent..."

Le visage sombre de Krell se baissa lentement vers Eodred...

"...puisse les esprits t'offrir une place dans le paradis des guerriers...mais...je doute que ta femme puisse te rejoindre...car je tue systématiquement tous ceux qui me portent affront..."

Krell perdit vite son sourire...et s'avança vers la femme...

"...pasque tu m'a offert un bon combat...je vais t'offrir un cadeau que nul ne m'a jamais vu encore donné...la vie...a toi...a ta stupide femme éleveuse de mouton...et a ton peuple..."

Il passa proche de la dite femme...et Krell écarta violemment la lame de la dame du Rohan avant de la saisir par le cou...

"...toi...nous nous retrouverons dans l'autre monde...et alors..."

Le géant la lança avec une force de troll sur sa droite et elle vint s'écrasée sur les marches...

"...je laisse ton peuple en paix pour...quelque années...j'ai de nombreuse chose a faire...mais que tous se rappel bien que j'ai tenu sous ma hache le roi du Rohan et son peuple...car dans tous conflit...exposé la tête du chef c'est s'assuré la victoire...ainsi...l'est a vaincu le rohan...Les barbares ont écrasé les chevaucheurs de chevaux...et Krell a écrasé le meilleur guerrier du rohan"

Krell s'arrêta devant les hommes qui l'empêchaient de descendre rejoindre sa horde...il chopa son casque encore encastré dans le mur et le remit sur sa tête...

Il lui suffit d'incarner à nouveau ce puissant colosse sans visage et sans humanité pour que les hommes du Rohan, pourtant brave parmi les brave, ne s'écartes devant ce monstre qu'étais Krell...


Quelque minutes plus tard...la horde repartit sans bruits...droit vers le nord...vers l'isengard...Krell voulait sauvé son seul allié loyal...une idée avait germé dans son esprit machiavélique...une idée rusée et brutal...mais qui protégerait a jamais Saroumane des hommes de l'ouest...et qui assurerait a Krell une main mise complète sur les troupes de l'union des races guerrières qu'était les terribles hommes de l'est...et sur la nouvelle race d'orc de son meilleur allié…

La nuit retomba sur le gouffre…mais…les cadavres des hommes de l’est furent enlevé…Krell voulait offrir a ses hommes un discours…les puissants orientaux avaient fait une longue et pénible marche jusqu'à Helm…et aucun n’avait pu tué un ennemis…pourquoi ?...Krell réservait sa horde pour un autre ennemis…bien plus distingué…

" …homme de l’est…mes amis…mes frères…je sait combien votre cœur vous dit de chargé droit sur cette forteresse…pourtant…j’ai besoin de vous pour une toute autre tache…je crois que dans la haine qui m’a embrumé l’esprit je me suis trompé d’ennemis…un ennemis vil et lâche…qui se disait notre allié…et qui pourtant nous a abandonné ici…cet ennemis nous a pris pour de stupide orcs…il a crut que nous nous sacrifierons pour son bon plaisir…mais ce ne sera pas le cas…a l’Isengard mes frères !A Orthanc…je doit parlé avec notre valeureux allié Saroumane de la trahison de Sauron et de sa servante ! "

Les guerriers se regardèrent un instant…et Krell fit un sourire…en cet instant…nul autre que Krell aurait pu empêché les terribles guerriers de le déchiquetez avec violence…mais Krell était un chef charismatique…le parfait oriental…et surtout celui qui avait offert un empire aux Rhun…et si les hommes venu de Rhovanion hésitaient encore grandement a prendre Krell pour un homme intelligent…cette fois si, ce fut la preuve parfaite que l’empereur de l’est n’était pas qu’un barbare rustre…

(hj:oui oui vous inquietez pas j'ai dit oui ^^...on s'est arrangez entre barbares intéligent pi...enfin voila!...pour moi c'est ok)

Alors que Krell descendait les marches. Les soldats du Rohan et de Numenor s’approchaient doucement et avec timidité du prince du Rohan. Krell avait prononcé son discours, brutalisé Eodwyn et s’en était allé. Artamir se releva en titubant. Il vit le prince blessé et s’en approcha plus rapidement que les autres avec Eodwyn. Ils l’aidèrent à se relever :

« Ainsi tu est revenue mon amour, tu arrives au bon moment. Artamir je suis content que vous soyez en vie »

Il lui sourit alors. Puis il regarda en direction de la horde :

« Krell on se retrouvera, et ce jour la je te rendrais la monnaie de te pièce. »

Krell l’avait battu certain sur le duel mais dans les mémoire c’est bien Eodred qui avait gagné. Au Rohan il serait connu comme la légende ayant repoussé les barbares de l’Est et combattu le monstre qui a massacré 250 hommes. En Arnor et Gondor, il serait connu comme un grand général et un guerrier monstrueux, presque l’égale d’Aragorn. En Rhun, on se souviendra que Krell l’as vaincu difficilement Le reste de la Terre du milieu se souviendraient de ce duel titanesque où un simple homme a combattu un géant sanguinaire:

« Eodwyn, il me faut Grimbold pour qu’il me remette mon épaule en place et il me faut du repos. Que les hommes se reposent un moment ensuite qu'il commence a renforcer les portes et enterrer les cadavres. Je veux une réunion entre les chefs des armées dans la salle de fort le cor dans quelques heures. »

Il vacilla un instant rattrapé par Artamir et Eodwyn. Ils le portèrent alors jusqu'à la chambre du roi.

Eodwyn avait volé dans les airs pendant quelques instants, avant de retomber lourdement sur les marches. Son souffle coupé, elle était restée au sol alors que le monstrueux chef de l’armée de l’Est continuait ses railleries. Puis il s’en était allé, ses troupes derrière lui. Eodwyn n’avait rien put faire et en plus de sa douleur, se mêlait sa déception.

Le plus rapidement possible, elle se rendit auprès d’Eodred, l’aidant à se redresser. Puis lui prenant la tête, elle se noya dans ses yeux, remarquant au passage les marques de fatigue et du combat sur ses traits. Elle l’embrassa tendrement, et le laissa au main de Grimbolt qui le remontait vers la citadelle .Elle le regarda s’éloigner avec amour, puis se retourna vers Grimwolf.

« Heureux de vous revoir en vie, mon ami. Mettez les hommes au repos, mais chargez tout de même quelques hommes de suivre la troupe de Krell. Nous voulons nous assurer qu’il quitte bien notre territoire ! »

« Il en sera fait selon vos désirs, Dame Eodwyn ! » Répliqua-t-il avant de disparaître.

Puis Eodwyn se retourna, cherchant du regard à belle-sœur. Elle se tenait sur la plus proche muraille, son visage tourné vers l’horizon. Eodwyn monta la rejoindre et, lui passant son bras sur l’épaule, lui parla.

« Theodwyn, que t’arrive-t-il ? » L’interrogea-t-elle, remarquant des sillons causés par des larmes à travers la poussière qu’avait laissé la chevauchée.

« Je m’en veux de ne pas avoir réussis ma mission, mon frère va m’en vouloir et j’aurais peut-être put éviter à ses hommes de tomber. »Dit-elle en désignant les rohirrims morts sur les remparts.

« Il n’en est rien, ma chère enfant. Eodred ne t’en voudras pas, il t’est reconnaissant d’avoir parcourut toutes ces distances afin de lui porter secours. Et tu es là, saine et sauve, auprès de nous, et c’est ce qu’il y a de plus chers à ses yeux, soit en sur ! De plus, qu’aurais-tu fais de plus pour ces hommes, ils sont tombés certes, mais combien sont-ils derrière nous, en vie, combien de famille vont-elles se réunir ce jour, combien de réfugiés abritent ces grottes. Allons, Theodwyn, ressaisit-toi, et vas donc à la recherche de mes enfants. J’ai hâte de les retrouver » Finisa-t-elle, en souriant, rassurante.

Alors, que sa belle-sœur acquiesça et partait à la recherche de ses neveux, Eodwyn contempla le champ de bataille qui venait mourir aux pieds des remparts. Elle secoua la tête et redescendit les marches. Elle aussi aurait tant voulu que ses hommes ne meurent pas, qu’ils puissent voir l’aube se levait à nouveau sur leur terre libérée de l’envahisseur, mais elle se trouvait à plusieurs lieues de ça lorsque cela était arrivé. Elle se saisit des rênes de Bicéphale et le mena aux écuries. Là, elle le débarrassa de sa selle et entreprit de le panser, chantonnant une mélodie apprise dans son enfance qui avait don de réconforter les chevaux. Une fois sa monture prête à prendre un repos mérité, elle remonta à la citadelle.

Une succession de corps le longs des salles au pierres nues, se fessait soigner par des femmes afférées. Deux d’entre elles, reconnaissant leur souveraine, se portèrent à la hauteur d’Eodwyn. L’accompagnant, elles se dirigèrent vers une pièce vide où trônait une cuve d’eau chaude. Sans mot, elles ôtèrent la princesse du Rohan de son armure et la guidèrent au bac. Le bain chaud eut pour effet de débarrasser la crasse des jours passés et la lassitude et les angoisses s’envolèrent. Des cris d’enfants annoncèrent l’arrivée de ses deux enfants dans la pièce. Ils lui sautèrent au cou, mêlant leurs larmes de joie et de soulagement à l’eau du bain, et restèrent ainsi, s’apportant chaleur et réconfort. Théodwyn restait en retrait intervint :

« Allons, allons, les enfants, laissez votre mère se rhabiller, il lui faut du repos. »


« Avez-vous vus votre père ? »Interrogea Eodwyn, soucieuse

« Oui, et c’est le plus grand guerrier de tout les âges, il a repoussé l’affreux Krell »Répliqua le jeune Havard, les yeux plein de gloire et d’orgueil.

« J’ai vus cela aussi » Lui répondit-elle

« Le prince Eodred c’est fait soigner, et prends du repos. Peut-être voudras tu le rejoindre après ? » Dit Théodwyn, un sourire malicieuse au lèvre, sortant les enfants de la pièce.

Eodwyn acquiesca de la tête avant de s’enfoncer dans la chaleur de son bain. Malgré les circonstances, la vue de ses enfants sain et sauf avait redonné du baume au cœur à la jeune femme. Elle sortie du bain, et les deux servantes entreprirent de la sécher, lui enfilant une robe de lin éclatante de blancheur. Fermant les yeux, elle savoura les effluves de fleurs de se dégageant de sa tenue. Maintenant assise devant une table de toilette, elle contemplait son reflet amaigris par ses derniers jours, tandis qu’elle se faisait coiffer et que la seconde servante s’occupée de sa cuisse blessée.

Enfin parée, elle apparut à Eodred dans cette simplicité que sa robe lui donnée, sa chevelure d’or finement tressée en couronne, laissant son visage ressortir. Ses yeux s’emplirent d’amour lorsqu’elle le vit allongé sur le lit, prenant un repos mérité. Elle se lova contre lui, et fessant courir ses doigts sur ses muscles, elle déposa un baiser sur les lèvres de son mari.

« Heureuse de te retrouver, mon amour. Ces derniers jours ont été emplit d’angoisses et de doutes, mais tout c’est envolé maintenant que je suis près de toi. »

Ils s’étreignirent passionnément, tandis que le dernier serviteur quittait la pièce, tirant la porte à son passage, laissant le couple se retrouvait et prendre du repos.

Après quelques heures passées dans la plus grande intimité, ils réapparaissaient tout deux, main dans la main .Ils étaient simplement vêtus, mais une aura royale transfigurait le couple et les hommes s’écartaient respectueusement de leur chemin. Grimbold leur ouvrant le passage vers la salle du conseil où étaient réunis tous les capitaines du Rohan. Le conseil allait pouvoir commençait…

« Tu m’as manqué mon amour, mais ton retour me fais du bien, nous fais du bien »

Il l’embrassa tendrement. Puis il lui pris la main et descendit dans la salle de fort le cor. La les attendait Theodwyn sœur d’Eodred, Grimbold frère d’Eodred et Artamir commandant des numenoriens. Freiden était debout devant la table où était disposé une importante carte. A ce moment un tonnerre d’applaudissement monta dans la salle. Mais Eodred leva dans encore une importante douleur son bras gauche pour le faire cesser :

« Pourquoi ces applaudissements, je ne les mérite point. J’ai certes tenu tête a cette ordure de Krell, mais de nombreux frères sont morts dont Grimwolf mon ami et capitaine de la garde. Cessez ces applaudissements à part si vous honorez les hommes tombés au champs d’honneur. Vous pourrez applaudir lorsque la guerre sera finis »

Il finit de descendre les escaliers et s’assit en bout de table :

« Bien fit il, faites vos rapports. Dites moi comment évolue la guerre ? »

Chacun parla, a commencer par Freiden qui décrivit la bataille du désespoir, comment lui et ses hommes avaient résistés avant de cédez envoyant plus de 20 000 orcs dans les abîmes de Melkor. Theodwyn conta sa mission et sa colère envers le roi Tulkor qui refusa son aide au Rohan. Artamir et Grimblod dirent qu’ils avaient remis en ordre le gouffre de Helm, les portes avaient été reconstruite a l’identique et renforcées. Les corps des hommes enterrés qu’il soit numenorien ou bien rohirrim. Les corps des orientaux et des orcs brûlés et humiliés. Les dépouilles des rois furent cherchées et rassemblés dans un linceul. En Eodwyn finit avec son récit de ses harcèlements, de son erreur et de la charge héroïque au gouffre. Enfin Theodwyn repris la parole pour conclure sur les événements qui se déroulent dans la région du Gondor :

« Vous avez fait tous un excellent travail. Freiden par votre courage et votre héroïsme, je vous nome désormais au post de Grimwolf, vous servirez avec Hama et Eoden. Allez voir un des deux pour prendre vos fonctions

- Mille mercis seigneur fit il en s’inclinant. Je servirais avec honneur. »

Il s’inclina et sortit de la piece voir Hama pour prendre son poste :

« Bien continua Eodred, Theodwyn, tu as fait de ton mieux et il te reste encore des progrès a faire. Cela n’est plus très grave désormais. Quand a toi Eodwyn, ne laisse plus jamais personne derrière. Bref, il est temps de passer a la contre attaque. La 1iere cible sera l’Isengard. Depuis trop longtemps, il nous nargue et les troupes de l’Arnor vont commencer leur attaque sur lui. Quelqu’un a un plan a me soumettre pour que je puisse réfléchir clairement avec le mien ? »

[HRP : Je reprendre le perso d’Eodwyn avec son accord en PNJ jusqu’au retour de celle-ci]

Personne ne parla alors. Pas un mot, pas un bruit ne vint troubler la salle :

« Ainsi personne n’a d’idée à me soumettre. Très bien j’ai besoin de solitude pour réfléchir. Je vais monter au dessus de ma chambre. Que personne ne vienne me déranger. »

Il se leva et passa la main dans les cheveux de sa femme et lui dit doucement :

« Même toi, c’est un moment critique que je dois passer seul. »

A ce moment les portes s’ouvrit et Fradein rentra avec un homme ou plutôt un elfe de la Lorien pour être plus précis, blesser épuisé et visiblement amaigri :

« C’est un elfe de la Lorien monseigneur, il murmure votre nom depuis tout à l’heure. »

Il s’approcha alors de l’elfe et il regarda. L’elfe murmurai des propos en elfique ; alors Eodred lui répondit en elfique :

« Je suis Eodred, prince du Rohan et vous êtes le bienvenu chez moi. »

L’elfe regarda alors Eodred plein d’espoir :

« Je suis Nirdin Ildien, soldat de la Lorien, depuis des mois j’erre pour vous retrouver, je ne suis pas partit avec Arsùl le général et je me suis retrouvé coupé de mes frères lors de l’attaque. Ils doivent me croient morts maintenant. Je suis…… »

Mais Eodred l’arrêta :

« Du calme mon ami, reposez vous, j’ai d’importantes décisions à prendre. Je vous laisse avec ma femme qui parle votre langue aussi. Je reviens des que je peux car j’espère que mes amis s’en sont sortit. »

Il sourit puis il s’écarta en déclarant :

« Occupez vous des hommes, je vous ferais convoquer.»

Il disparu en haut des marches pour aller méditer.

La nuit tombait sur Helm. Eodred avait convoqué cette foi ci une autre réunion importante. Etait présent lors de cette réunion : Eodred, Eodwyn, Nirdin Ildien l’elfe de la Lorien, Gandalf le Blanc, Tar Elessar et Elrond de Foncombe :

« Encore une foi nous voici tous réunit pour décider des actions des peuples libre de la terre du milieu. Le Gondor ne doit pas tomber, vous savez que les rohirrims vous aiderons a la défendre mais une menace plus grave menace notre flanc nord. Depuis toujours Saroumane convoite le Rohan, il nous a déjà amputé une partie de ne territoire légitime. Si nous attaquons Saroumane, que nous l’anéantissons nous pouvons faire jonction avec les troupes venues d’Arnor. Qu’en pensez vous ? »

Il se tu laissant la parole au plus sage que lui.

Aragorn avait écouté avec attention les paroles d'Elrond. Il avait du mal à rester calme, alors qu'il savait sa cité encerclée, assiégée, et peut être même déja... tombée. Il restait assis, anxieux et silencieux, jusqu'au moment où son père de laie déclara que Saroumane n'avait pas encore démontré une réelle hostilité face aux peuples libres, il se leva, et dit, d'un ton solennelle mais non avec céremonie

Saroumane m'a fait gardé pendant près de deux mois dans mon propre port, à Lond Daer, et n'a daigné me libérer que lorsque mes armées, avec celle d'Eodred allaient me libérer. Et pire encore, j'ai gardé un certain contact avec les territoires de mon parent, Hador de Dor Lomin, et je sais que Saroumane a pris son port d'Arnor, Lond Edain.
Mais je ne me prononcerais pas sur le fait qu'il faille l'attaquer aujourd'hui ou demain. Eodred, vous savez que c'est moi qui est eu l'idée, en le prenant en tenaille entre le Nord et le Sud. Mais aujourd'hui, ma cité est en flamme, et la seule envie que j'ai, c'est d'aller mourir aux cotés de mes hommes.

Aragorn avait le visage grave, et marqué par la souffrance, celle d'être loin de son peuple en ces temps de malheur. Il se rassit calmement dans son siège. Il n'était plus le Aragorn impulsif, qui partait toujours en guerre. Il avait décidé de faire proner la réflection...