Taverne de l'Amrûn

« Vous voyez des guerres partout, j’ai l’impression que vous étudiez notre peuple comme l’on étudie un animal ne vous étonnez alors pas que vos conclusion sois faussé »

Gilant dis cela d’un air amusé puis il but son verre d’une seul gorgée sans même le reguarder comme un reflexe de longue date.

« allez, hop cul sec »dit’ il pour l’inviter Valkalor à faire de même.

« Je fus un pillard et depuis peu je suis soldat, pensez-vous vraiment que j’ai un tète de marchand ?? Si c’est le cas vous pouvez être sur que j’arrangerais cela des la fin de notre entretien. »

Gilant rit et redemanda des bières qui furent vite apporté.

« N’ayez pas peur de vous resservir de l’alcool........ le Gondor doit-être une bien belle terre avec de bien belles femmes et je me demande quels étaient vos dessein avant de le quitter, cela ne peut-être innocent vous vous préoccupez trop de ce qui se passe ici pour que cela le sois »

« C’est donc une simple promenade de santé accompagné d’un peut d’alcool, Gilant bus un coup puis repris, âpres avoir finis votre petit tour vous comptez surement revenir au Gondor ou continuer vos voyage…»

Cette ville était décidément trop calme pour l’ancien nomade qu’était Gilant et qui songeait à suivre la destination de cet homme si celle-ci lui paraissait intéressante.

La pénombre commençait tranquillement à s’installé, et la poussière formait une sorte de tapi plus-ou-moins épais qui frôlait le sol lorsque Archibald poussa la porte de la taverne. Lorsqu’il pénétra à l’intérieur de celle-ci, l’odeur familière de la bière et de la cervoise lui monta au nez. L’éclairage, tamisé, ne permettait pas à Archibald de distinguer correctement les visages des hommes qui prenaient place aux différentes tables de la taverne. Il ne reconnaissait aucun visage, mais l’atmosphère de la taverne était la même qu’a sa dernière visite. Il n’avait pas eu le temps de calculer le temps qui s’était écoulé depuis son départ, mais il pouvait constater que les choses avaient quelque peu changé… Il s’accota contre un mur, et se passa une main sur le visage, pour s’éponger la sueur qui coulait. Les choses pour lui n’avaient pas tournées en sa faveur depuis quelques temps, et il avait été grandement affecté par ce qui s’était passé dans son village… Non, il ne pourrait jamais oublier, ou même faire abstraction des évènements, mais il se devait de revenir à Humbar. Il releva la tête, puis il regarda la salle. Les gens semblaient heureux, et ils festoyaient. Il essaya de trouver Tulkor parmi la foule, mais il ne le trouva point. Il voulait lui parler, et il décida donc d’attendre patiemment son retour. Il se dirigea vers une table libre, dans un coin, où il pouvait avoir une bonne vue d’ensemble sur ce qui se passait dans la taverne. Soudainement, il ressentit une grande nostalgie par rapport à tout les évènements qui s’étaient passées ici, à Humbar. Il avait abandonné tout le monde, son poste de chef des mumakils, et ce, pour sa petite personne. Il avait fait défaut au roi, et celui-ci ne serait surement pas très heureux de le revoir. Peut-être passerait-il à la potence, mais il devait le revoir, et lui demander s’il pouvait réintégrer les rangs de l’armée, occuper un poste quelconque, et gravir les échelons lentement, mais surement…
Il commanda une bière, et il s’accota contre le mur, en attendant patiemment de voir Tulkor ou un visage famillié…

(Désolé de mon absence, j'ai eu des problèmes d'ordinateur tout l'été et les mois qui suivirent......)

Shulma, comme à son habitude, souriait de tout son être lorsqu'elle poussat la porte de la taverne. Elle avait toujours adorée ce genre d'endroits. D'abord, c'était un lieux aussi chalereux que joyeux. Ensuite, elle aimait la foule.

Et la foule, il y en avait, toutes les tables étaient prises.
*Des silencieux, d'autres qui feraient bien de l'être plus, des enjoués, des désespérés, des bruyants, des calmes, et moi, par dessus tout ce peuple, la plus discrète d'entre tous !*

Riante, exubérante, elle lançat un très joyeux :

-"Excellente journée à tous !"

Sans se soucier des réactions, elle poussat un homme ivre mort de son banc. Celui-ci tomba, émit un ronflement sonore, et continua de dormir. Shulma, elle, s'installa à sa place.
Impertubable, elle se décida enfin à enlever le foulard qui lui cachait le visage. C'était plus une habitude qu'un besoin réel.
Elle le laissat retomber en un petit tas bleu sur la table.

-"Pas du dernier pratique pour boire ! En parlant de ça, j'ai oublié quelque chose, moi !"

Et elle fit de grand signes au tavernier qui vint prendre sa commande. En attendant de pouvoir enfin se désaltérer, Shulma mit ses coudes sur la table, et posa son menton sur ses paumes. Un sourire toujours aux lèvres, elle se mit en devoir d'étudier la faune de ces lieux.

Jaryak entra dans la taverne :

Que l'on me serve une grande chope de bierre tavernier !

L'haradrim vit ce qui lui semblait une esclave du harem de Tulkor .

**Que cette esclave ici ? Elle n'a pas le droit de se rendre à l taverne ... **

Etonnée à la vision de cette femme , Jaryak se dit :

Les choses ont vraiment changées depuis mon départ du Rhovanion ...

Gilant regarda avec interet l’altercation entre Valkalor et le nouveau venu , prêt à faire rougeoyer son épée si il le fallait, lorsque la brève discutions entre les deux personnages fut finis Gilant s'adressa a Valkalor.

« Jouer au défenseur de la Veuve et de l’orphelin et le meilleur moyen de s’attirer des ennuies……..peut-être est’ ce une coutume du Gondor mais chez nous nous préférons laisser chacun s’occuper de ses problèmes, bien que si cet homme vous aurez attaquer j’aurais sans hèsiter rejoins le combat pour vous aider vous devriez quand même faire attention car il n’a pas tort : le Harad n’aime pas les étrangers, vous devriez d’ailleurs changez vos habits cela vous rendra plus…discret »

Puis il continua à boire son verre et regarda la taverne s’épanouir, son regard s’arrêta sur une jeune femme exubérante, peut-être trop même.« Voyez-vous cela ?? C’est bien la preuve que même l’alcool le plus doux, qui n’a aucune emprise sur nous, peut-avoir des effets immense sur n’importe quelle femme.»

Vakalor étonner que un Harad défende son avis le salua et ajouta quelque parole avant de partir

Merci à vous brave homme mais je tiens a ajouté que ce n'est pas un coutume de chez moi mais plutot un principe de la condition humaine aprés à vous d'accepté les conditions de notre temps à présent je vais me retiré

Aprés ces phrases il se tourna vers Gilant

Pour vous l'ami sachez que le Gondor sera prés a vous acceuillir aussi sympathiquement que vous car vous n'êtes pas quelque de mauvais juste une personne comme nous tous qui ne sais pus trop où se réflechir

Il le salua et pris la direction de la sortie pour se rendre au porte de la ville

*Le peuple Harad semble agiter mais leur Roi a des sujets fidéles alors je pense que ce peuple ne peu etre que allié

Gilant salua Valkalor puis il ne put s’empêcher, des que celui-ci fut partit,de clarifier la situation avec le garde qui c'était assis a une table non loin de celle ou il se trouvait,Gilant souriait lorsque qu’il l’interpella toujours assis a sur sa chaise.

« Ecoutez messire……je n’ai pas parlé au nom du Harad mais sur le Harad saisissez la nuance qui est importantes, si vous arrivez à la saisir bien évidement…et puisque seul Tulkor peut-parler du Harad alors, avec tous le respect que je vous dois, comment cela se fait’ il que vous dites ce qu’il vous semble, car les mots "Et il me semble" sont bien sortit de votre bouche vous ne pourrez pas me contredire !
Ne devriez-vous pas répéter à la lettre ce qu’a dit Tulkor? Moi j’ai donné mon avis sur une chose qui ne concernait pas directement notre seigneur et roi alors que vous, vous vous donnez carrément le pouvoir de jugez une de ces pensées par le terme ignare !!L’insultez vous donc ?
Au final qui est le plus ignoble de nous deux, je vous le demande…»

[i]Archibald écouta avec attention ce que le garde venait de lui dire, et il fut surpris lorsqu'il entendit que Jaryak était redevenu Mahud. C'était donc qu'il n'était plus le Mahud du royaume... Il l'avait bien mérité.... Il s'inclina devant le garde, et il lui dit

'Merci bien mon cher...' et il quitta lentement en direction de la porte, pour se diriger au palais du roi...

Suite au palais