Taverne de l'Amrûn

Gilant souriait toujours et il se mit à rire avant de reprendre :

« La bière est exquise, chère amis ou ennemis…enfin Soit, la nourriture et les femmes aussi mais votre parler lui n’a ni rassasié ma faim ni assouvis ma soif et mon envie de femme encore moins alors en quoi est t’il exquis!

La bière a bien pus me monter a la tète mais vous c’est votre ego qui me semble montait a votre tète de fier variag haut-gradé comme vous le dites si bien…
Moi je n’apprécie guère les personnes qui n’aiment pas l’alcool qu’elles soient roi, paysan ou Dieux et vous semblait ne guère apprécier l’alcool…

Beaucoup disent que Tulkor est un grand seigneur bon généreux valeureux et cela est juste n’est’ ce pas ??Je pense que vous me le confirmerai mais si tous cela est vrais pourquoi ferait t’il violence sur moi puisque qu’un homme bon ne fait jamais violence le premier et ne cherche qu’a calmer les conflits ?il peut bien sur enfreindre cette règle mais dans ce cas il ne peut plus se prétendre être un homme bon et peut même être un despote !

Quand a la haine je n’en ait point, non je suis joyeux et je rigole ne voyait vous pas, vous devez avoir bien mauvaise vue l’amis, ou l’ennemis… mais je ne vous en veux pas alors soiez joyeux et si vous voulais que nos relations s’améliorent donnez moi de l’argent pour que je puisse boire toujours plus de bière en me ruinant moins!!!!»

Gilant éclata de rire puis il se leva d’un bond pour aller prendre une autre bière « HAAAAAAAaaaaaaaa que j’aime les tavernes on y trouve toujours des gens charmants, sympathique et atypique de la région » Il prononca ses mots vonlontairement a hautre voix et ce ne fut pas les effets de l’alcool qui les lui fit dirent ,avec toujours un sourire aux lèvres.

Gilant s’accouda au comptoir puis souffla exaspérer en se parlant a lui même: « Pfffffffffff tous cela pour une bière ?! Cet homme tenait’ il tellement a sa bourse qu’il préféra la garder intacte et partir plutôt que de se faire un nouvel amis ?? Ce gendre d’avare m’exaspère et moi je ne suis guère avancé, il regarda sa bourse, j’ai bien dut dépenser la moitié de mes économies je devrais m’arrêter de boire…..»

Gilant revint alors à sa place et se coucha sur son banc prenant un petit moment de repos, les yeux tourné vers le plafond apparamment pensif, apparamment seulement.

Taher n'aimait pas tous ses gens, il les trouvait tous aussi détestable que cet homme du nord, qui se mêlait d'affaires qui ne le regardait en aucun point. D'ailleurs, il fit bien de sortir de la taverne. Car l'ambiance du lieu était bien détestable. Seul une femme, caché derrière son voile, gardait encore le sourire, remontait la cote de satisfaction de la taverne. Malheureusement, celle ci buvait de la bière. Mais que devenait le Harad, les gardes et le peuples s'écorche pour un simple sujet de parole de Roi. Les étrangers pensent pouvoir faire régner la justice sur la terre du seigneur Tulkor et les femmes se mettent à boire.

Dehors, il faisait de plus en plus sombre. La nuit tombait, et Taher allait repousser son assassinat à quelques jours. Avec cette intervention de l'inconnu du Nord, tous le monde était au courant et la victime en premier. Se qui était surprenant était que celui ci ne se soit pas jeter sur les gardes, pour prévenir du danger qu'il représentait pour la région. Enfin, Taher n'allait pas s'en plaindre. Il pourrait toujours trouver une autre taverne.
Il regarda l'homme qui avait fait sortir les soldats de Tulkor, il avait envie de dire se qu'il pensait de se genre d'homme qui disaient se qu'ils pensaient sans jamais agir. Car il est bien beau de contre dire la garde, mais faut il encore pour la combattre, agir un minimum. Cet homme ne devait pas avoir grand courage, ou seulement une langue fourchue assé longue pour distraire les alcooliques d'un bar piteux au milieu du désert.

L'ignorance et la passivité son deux choses qui ruinent le monde, les bières sont parfaitement dans la même lignée. On ne gagne rien à boire, autant que l'on ne gagne rien à se mêler des affaires des autres.

Il dit cela sans s'adresser précisément à quelqu'un, ses mots, sûrement planeraient dans l'air léger de la taverne et se glisseraient dans les oreilles inattentives des clients.

De toute manière, pas moyen de leurs parler. Ils font toujours pareils, il te laissent parler et ne t'écoute pas, pour ensuite, te répondent comme des savants.

Taher pourtant resta dans la taverne, il aurait put sortir mais il n'avait rien d'autre à faire. Il était lui aussi frapper par la passivité. Il commanda un thé, et s'assit à une table vide. Il sortit ses kukris et commence à les affûté. Les premières victimes allaient apparaître dans les prochains jours, mais personne ne pouvait savoir le coupable.

Archibald fit à nouveau irruption dans la taverne, après avoir encaissé le refu de Jaryak... Lorsqu'il pénétra à l'intérieur de l'établissement, il s'arreta net, et constata, qu'il régnait une atmosphère austère dans la salle, comme si toute envie de vivre avait disparu, comme si les hommes n'avaient plus aucune bétise et histoire à se raconter... Chacun restait tranquillement assi à sa table, et regardait son voisin d'un oiel méfiant, peu cordial... Archibald constata, au moins, que la salle était rempli...

Il avança lentement à travers les tables, poussant quelsques chaises au passages, malgré les bougonnements incessant des autres Haradrim qui chialaient car il les importunait, et il finit par arriver au comptoir de l'établissement. Il voulait se prendre quelque chose de plutôt corsée, assez fort pour ébranler quelqu'un. Il regarda la carte du patron pendant de longue minute, et son choix s'arreta finalement sur une boisson à l'aspect répugnat, mais qui cognait, selon le pattron. Il lui donna sa consomation, et Archibald lui renbourssa ce qu'il lui devait...

Il vit une table, dans le fond , qui n'était pas occupée, et il décida de s'y diriger, pour mieu attendre ainsi un visage familier...

(Provenance : aux alentours de la Taverne)

Thuringwethil sortit de l’alcôve qu’elle avait occupé avec Jaryak, puis elle promena son regard sur les occupants de la salle. La plupart des tables étaient occupées. Contrairement à ce dont elle se serait attendue d’un tel endroit, l’atmosphère paraissait assez morose. Elle avisa, à quelques pas d’elle, un tabouret dans un renforcement d’ombre, près d’une armure gondorienne en exposition. Celle-ci portait la trace de nombreux combat, et Thuringwethil doutait qu’elle eut été achetée. Qui sait lors de quel conflit était elle parvenue jusqu’au Harad.

Elle s’assit sur le tabouret, ramenant autour d’elle les plis de sa cape noire, qui semblait étouffer la lumière. Là, immobile et silencieuse, elle continua d’observer les clients, en grande majorité des Haradrims, son fin voile dissimulant toujours les traits de son visage. L’odeur du cuir, de la boisson et de la transpiration assaillait ses narines, comme si elle s’était tenue dans quelque tanière.

Y’avait-il parmi ces quelques rebuts humains d’autres guerriers susceptibles de servir le Mordor ?

Le doux breuvage coulait aisément dans la gorge d’Archibald, et un léger picotement commençait à lui bruler la gorge. Il leva son verre, et regarda plus attentivement la composition de sa consommation. Il la mit devant une source de lumière, et constata l’opacité de celle-ci. Une légère bordure de houblon mal distillé prenait place sur le rebord de la chope, et quelque particule, d’une origine suspecte, flottait à la surface, restant toute fois immobile, comme si elle avaient été figer dans le liquide… Il calla son verre d’un coup, et s’essuya la bouche. Il aimait bien cette alcool, même si elle était infect…

Il poussa la chaise, et se fraya un chemin, tranquillement, en prenant soin de ne pas briser la chope. Il arriva finalement au bar, et demanda la même chose au patron, qui lui en servit un double, sur le bras de la maison. Archibald n’avait surtout pas refusé la proposition si gentille du patron, quoique, les effets de l’alcool pourrait venir lui atténuer l’esprit après trois grosses chopes d’une boisson plutôt douteuse et suspicieuse… Il prit ses deux chope, et retourna à sa table, et accota sa tête contre le mur…

Il prit une gorgée de la première chope, et regarda encore une fois, comme si c’était la première fois qu’il pénétrait à l’intérieur de cette salle. Il fit un bref tour d’horizon de la pièce, et il constata, qu’une personne avait fait son entré dans la salle, sans que personne n’en ait eu connaissance. Il vit que cette personne était une femme, mais que celle-ci semblait beaucoup plus réservé que celle qui prenait place dans la même salle, il y a quelques instant de ça…

Thuringwethil, peu à peu, se perdit dans la contemplation et les méandres du rêve elfique, cette méditation qui permettait à ceux de sa race de se reposer tout en maintenant un niveau minimum de vigilance. Son voyage depuis le Gondor avait été rude, et elle n’avait pas pris de repos depuis qu’elle s’était rendue à la convocation de son maître, Sauron. Mais par-dessus tout, pour quelque obscure raison, la confrontation qu’elle avait eue avec Jaryak, le roi barbare, l’avait épuisée.

Les conversations de la salle commune faisaient comme un murmure bourdonnant et continue, mais soudain, elle se sentit observée. Levant les yeux, elle croisa le regard d’un inconnu qui l’observait, bien qu’elle fut tapie dans l’ombre.

Le Haradrim tenait à la main une grande chope, remplie de ce genre de liquides qu’appréciaient en général les humains. Son allure générale était celle d’un guerrier.

Thuringwethil lui rendit tranquillement son regard, cherchant à lire dans ses yeux quel genre d’homme il pouvait être.

Thuringwethil reçut cette voix comme une giffle. Sans doute son esprit, errant dans les méandres du Songe Elfique, avait-il trouvé celui d'une autre Eldar. Les paroles étaient cruelles, et ne pouvaient être que le fait d'une puissante parmi les elfes. Elle connaissait cette voix, même si elle ne l'avait entendue que dans les jours anciens du monde, sous la lumière, dans l'Ouest oublié...

Son orgueil ayant été passablement froissé, elle oublia les êtres qui se trouvaient dans son entourage immédiat pour se replonger dans les méandres du rêve, et du souvenir...

Une chevelure d'or lui apparut, comme un trésor scintillant recouvrant une silhouette de glace ayant l'éclat du soleil. Galadriel! Ses pouvoirs étaient déjà grands en Aman, et les Noldors la considéraient comme l'égale de Fëanor, déjà dans les Jours Anciens... Qu'elle ait pu s'imiscer dans ses pensées aussi facilement prouvait que son séjour dans les Terres du milieu n'avait pas amoindri son Pouvoir...

Elle, Elensilyë, avait baissé sa garde un court instant, à cause de la lassitude induite par sa conversation avec le roi Jaryak.

Fermant les yeux, elle tendit son esprit vers celui de l'elfe haïe, son orgueil passablement froissé par la prouesse de la reine de Lorien...

culuinava findë, helcë ilin hendi, ninquissë anninquë...

mornië endë mi linsilmë,
anfuinë mi elyë vilissë
alatindomëpella apa fuinë
vanda antannyë elyë
tari alaranielya!

"Telle est ma promesse, reine de Lorien! L'heure n'est pas encore venue, mais je n'oublierai pas cet affront!", se dit-elle, rouvrant les yeux, épuisée par l'effort fourni.

Son coeur bouillait de rage, car dans une lutte d'esprit à esprit, elle se savait inférieure à Galadriel, et cela la mettait dans une rage folle!

Archibald continua d’observer, en silence, la mystérieuse inconnue qui prenait place dans la salle. Il calla d’un coup sa première chopine, tout en continuant de regarder la femme, avec un regard plutôt méfiant. Celle-ci ne semblait pas être tout à fait normale, ou bien, elle n’était pas à l’aise avec le fait qu’elle soit dans n endroit peuplée d’homme, et qu’elle soit la seule femme. On aurait dit qu’elle attendait quelqu’un, ou bien quelque chose, mais elle s’était mise aussi en retrait, donc probablement que ce n’était point ses intentions de se faires remarquer…

Archibald ne pouvait distinguer clairement la femme, car une demi-douzaine d’ivrogne commencèrent à se lever et à entonner des chants qui rendaient hommage aux soulons et à la douce alcool… Seulement à la regarder, on pouvait voir que cette dame n’était point commune, qu’elle avait un petit quelque chose de spécial… Archibald avait beaucoup de difficulté à détacher son regard de la femme, même s’il était calme et serein. C’était comme si un envoutement quelconque faisait en sorte que ses yeux ne puissent regarder que dans une seule direction.

Il réussi à détacher son regard, puis il prit une gorgée de sa boisson, et garda la chope dans ses mains. Il accota la tête, et reposa son regard sur la femme. Elle ne bougeait pas, elle restait immobile. Il ferma les yeux, pour se reposer quelques instant…

Finalement, Thuringwethil finit par émerger totalement du Rêve Elfique. Des soudards s’étaient mis à brailler des chants d’ivrognes. A cause de l’effort fourni, elle n’avait même par perçu l’agitation qui régnait autour d’elle… Voilà qui n’était pas dans ses habitudes ! Une telle distraction aurait pu lui coûter la vie en d’autres lieux de la Terre du Milieu. Maudite Reine des Elfes ! Son intrusion dans son esprit l’avait extrêmement perturbée, plus qu’elle n’aimait se l’avouer.

Son malaise persista, et elle se rendit compte que cela eétait dû au regard de l’Haradrim, qui était de nouveau posé sur elle… Puis celui-ci cessa de l’observer, fermant les yeux.

Thuringwethil se leva, son voile toujours devant le visage, et glissa silencieusement vers le guerrier. Puis arrivée à un pas de lui, elle lui jeta un regard derrière ses longs cils noirs…

« Bonjour, guerrier », dit-elle d’une voix musicale. "Puis-je me joindre à vous ? »

Les paroles de Thuringwethil résonnèrent dans l’air, mais restèrent sans réponse. L’alcool ingurgité avait sans doute eu raison du Haradrim. Une nouvelle fois, elle se sentit observée. Ce qu’elle supposa être deux gardes, car ils portaient une livrée semblable aux gardes qu’elle avait vu sur le port, venaient d’entrer dans la taverne. L’air de rien, ils surveillaient les occupants de ce lieu de détente, comme s’ils attendaient ou recherchaient quelque chose. L’un d’eux semblait particulièrement prêter attention à ses faits et gestes.

Thuringwethil connaissait la réputation du souverain du Khand et du Harad, et il n’était pas dans ses intentions de se faire remarquer maintenant. Songeant qu’un départ trop précipité serait suspect, elle alla se rasseoir dans le recoin d’ombre, son visage toujours voilé, et ramena sa capuche sur son visage, car elle avait remarqué avec quelle insistance le garde avait fixé ses oreilles.

Thuringwethil resta dans l’ombre encore un instant, mais elle n’arrivait pas vraiment à se concentrer sur l’instant présent. Ce contact mental qu'avait effectué Galadriel l'enrageait... Cette prouesse mentale était bien là l’apanage de Galadriel, seule parmi les Eldars à pouvoir réussir le tour de force consistant à joindre l’esprit d’un autre elfe, alors qu’il n’était pas engagé dans les méandres du Songe Elfique. Cela exigeait bien trop d’effort pour Thuringwethil, aussi coupa t-elle court à ses reflexions. Sans un mot, elle quitta la pièce et se dirigea vers l’écurie. Là, elle récupéra Gwaewhïr, son noir étalon de guerre, et partit au galop vers les portes des Havres d’Umbar. Devant sa chevauchée brutale et son courroux, les passants s’écartèrent pour la laisser passer. Son cheval galopa à un train d’enfer, puis elle quitta la route poussiéreuse pour s’enfoncer dans le paysage rocailleux et désertique qui jouxtait la cité du Harad. Elle parvint au pied d’une falaise siliceuse, dont le vent avait découpé d’étranges escarpements dans ses murailles rougeâtres. Elle laissa sa monture se trouver quelques rares plantes ligneuses à brouter, et elle-même alla grimper sur une petite falaise, qui dominait les alentours. Au-delà des rochers, elle pouvait distinguer un paysage de dunes blanches dont l’éclat, sous le soleil, était aveuglant.

De temps en temps, un vent tourbillonnant soulevait des nuages de sable et de poussières. Elle se tint là, le visage tourné vers le nord de la terre du Milieu, et fixa son attention sur le paysage désolé. La contemplation du désert monotone lui permit de facilement entrer dans les méandres du Songe Elfique. Contrairement à Galadriel, dont les prouesses mentales étaient légendaires, elle avait besoin de cette sorte de transe, propre aux eldars, pour contacter un autre esprit. Elle leva les bras, comme dans un geste d’invocation, puis les abaissa lentement. En même temps, le vent se mit à tourbilloner autour d’elle, soulevant sa robe comme de puissantes ailes noires, et chassant sa longue chevelure noire derrière elle, comme un funeste étendard.

(Direction : le Songe Elfique : un duel d’esprit à esprit)

Archibald avait les yeux fermées, et ce court instant pendant lequel il pouvait se reposer, prendre du bon temps pour lui, était grandemment apprécié. Depuis qu'il était arrivé a Umbar, il n'avait pas arrêté deux secondes, et ces quelques minutes de repos furent grandemment bénéfique pour son moral, tout comme pour le reste de la soirée... Il leva sa chope, tout en gardant les eyux clos, et il en prit une gorgée, question de se mouiller légèrement le gosier...

Puis, pendant qu'il avait encore les yeux fermées, une voix douce, cordial, mélodieuse, harmonieuse, envoutantes et charmante parvint à ses oreilles, comme de la musique. C'était une voix de femme, et cette dite voix lui demandait quelque chose, l'interpellait, mais celui-ci n'avait pas bien compris les paroles de la dame, car il commençait à somnoler légèrement...

Il réouvrit lentement ses yeux, et on put voir ses iris d'un brun foncé scruter la salle, pour voir si certaine chose avait bougé. Il fut étonné de ne pas trouver personne devant lui, aucune présence fémine aux alentours. Il constata que la femme voilée avait quitté les lieux, très rapidemment, pour aucune raison, selon Archibald... Il vit aussi que les deux gardes d'il y a quelques minutes étaient assit à une table, attendant surement quelqu'un...

Il prit une gorgée, et essaya de trouver qu'il pouvait bien lui avoir adressé la parole...

Gilant voyant que rien de spécial ne se passait décida de faire de même.
Il se leva lentement et sans grâce se dirigeant lentement vers la sortie de la taverne.

*finalement ces tavernes ne sont pas assez rustiques, elles ne méritent même pas le nom de taverne…..pauvre parodie*

Mais il se décida quand même à lâcher un dernier mot, ou plutôt quelques mots, avant de s’en aller comme il était venu

« Voyez mes amis la liberté est le propre de l’homme, que cela puisse le rendre égal a un animal n’a pas d’importance ! »

MJ HARAD

Gilant se leva, et se dirigea vers la sortie. Les Gardes purent enfin le voir et l'un d'entre eux lui frappa sur l'épaule.

Vous êtes chargé par Tulkor d'une mission d'emissaire. Allez au palais, et addressez vous aux gardes.

« Que me vaux ce geste d’amitié si soudain??? » Demanda le Haradrim intrigué par l’action du garde.

Ont pouvait facilement voir l’étonnement de Gilant sur son visage,il se demandait ce que pouvais bien être cette mission d’émissaire sur laquelle on ne lui avait rien dit et était prêt a coopérer pour en savoir plus.

« He bien……..d’accord »dis Gilant avant de pousser la porte et s’en aller dehors dans la pénombre d’une nuit sans lune.
Tous était si calme, si paisible,si beau,il faus avouer que la nuit a un certain charme et pourtant elle est le lieu de toute les histores les plus immondes et les crimes les plus abjectes.
Au final elle est une comme une rose, bien qu’elle soit d’une grande beauté elle peut faire mal.

Gilant ne se rappelait pas très bien ou se trouvait le palais mais peu importe il le trouverait bien au détour d’une rue, pour l’instant il marchait lentement dans la nuit comme pour profiter de sa fraicheur, la fraicheur est un bien rare dans un désert qui vaut bien tous l’or du monde.