Grotte d'Adrameör

Le nain commmençait à en avoir assez.Ses femelles huùmaines étaient pires et moins dangereuses qu'un orc en colère.
Si la première ne relevait pas de son autorité,il n'allait surtout pas se généer sur la seconde,surtout quand la Dame n'avait rien précisé et qu'elle avait porté la main sur lui par deux fois.

Se relevant,il épousseta négligemment sa manche et répondit en s'inclinant:

"Bien,je vais le faire de suite."

Mais lorsqu'il releva la tête,ses courtes jambes le propulsèrent sur la jeune femme et son poing s'abatit avec force sur la figure d'Eresh.La force naine étant peu commune et l'habilité du capitaine légendaire parmi ses pairs,le coup assoma littéralement la jeune femme qui devrait rester dans le coma pendant deux bonnes heures.

Puis,alors qu'il s'aprétait à rejoidnre ses hommes,un messager arriva tout essouflé.

"Chef,les rohirrims vont envoyé l'armée.4 000 guerriers partent en ce moment même d'Edoras pour détruire les brigands à ce qu'ils racontent.Corman a jugé bon de vous prévenir.En partant maintenant,vous pourrez les semer."

"Bien,retournes auprès de Croman.Nous nous apprétions à partir.Je vais m'occuper moi même de mettre en place les portes pendant que le reste de la troupe partira.Allez,va et ne te fais pas prendre."

L'homme partit aussitôt et tout on fit passez le message à tout les nains.
Heureusement,les préparatifs avaient été faits et la troupe put partir moins de dix minutes après.
Eresh avait été attaché à son cheval pour éviter qu'elle ne tombe et on avait bandé les yeux à Raya.Dix nains restèrent aussi en arrière pour fermer la grotte et effacer les traces.

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Alors que le gros des troupes étaient partis,le capitaine nain et ses acolytes mirent en placent les derniers réparatifs.Sur ordre de le Toranur,les nains avaient confectionnés deux portes particulières,typiques des mines naines.
En effet,invisible à l'oeil nu,elle ne pouvait être vu que par des gens avertis et sachant ou elles se trouvaient (cf SDA 1,la porte de la Moria).
De plus,les passages pour mener à l'intérieur de la colline étaient assez petits et en retraits ce qui rendaient indetectable leur présence.
Et bien entendu,les nains étaient assez rodés sur l'art de la chasse pour prendre le soin de faire un ménage préalable devant les portes avant de recouvrir le sol avec du sol de la gortte.Ainsi,même le plus doué des trappeurs ne pouvaient voir que le sol avaient été remué auparavant.

Ceci fait,les dix nains partirent rejoindre leur troupe en prenant soin d'effacer leur trace et celles de leur camarades en utilisant notamment des batons avec pour pointe des empreintes d'animaux.

(=>Suite dans les voyages de Toranur)

Vakalor ainsi que sa compagnie arrivérent à la grotte qui semblait calme et meme un peu trop pour une grotte.Alors Vakalor demanda aux troupes de s'arretés et d'attendre avec hetrel


Bien rester ici écoutez bien les bruits les plus simples car chacun d'eux peuvent être un ennemi moi je vais voir ce qu'il y a à l'intérieur

Puis il fit signe a 12 numénoriens de le suivre dont 6 épéistes et 6 lanciers

Ils entrérents Vakalor et le petit groupe à l'intérieur et ne vient qu'une sombre caverne vide sans rien de particulié qui ne puisse faire pensée que quelqu'un était ici. Cependant Vakalor en soulevant sa visiére regarda de plus prés le sol et vis de légére trace de pas celle d'un nain peu être ou d'un homme.Puis à un moment un soldat cria qu'il avait trouvé quelque chose sur la roche. En effet des traces d'ongles semblaient être sur les parois. Ce coup-ci c'était sur le mal était ici mais quand ?


*Je dois rapidement trouvé ce mal qui était ici car si il se déplace c'est qu'il nous a compris et donc nous allons devenir la gibier bientot ... je pense que il se dirige dans un lieux dans le Rohan où le mal pourrait avoir un appuie pour la guerre ... mais où ..*

Vakalor continua de regarda dans la grotte puis demanda a 4 autres numénoriens de faire des recherches puis il sortie pour voir le chef des cavaliers du Rohan


Bien la mauvaise nouvelle est qu'il était ici et qu'ils sont surement agits rapidement et qu'ils savaient que nous allions venir . De plus leur départ dois surement les conduirents en un lieu du Rohan qui peu être un atout militaire avez vous une idée Hretel !?

Dit il en enlevant son casque pour la premiére fois devant ses hommes pour montré aux hommes que il n'y avait pas de quoi s'inquiéter

Hrethel regarda attentivement chaque détail de la caverne, car même après un assez long voyage, il ne voulait surtout pas être pris au dépourvue. il observa longuement Vakalor alors que celui-ci pénétrait à l'intérieur de la grottte, et il débarqua. Il s'avança dans l'entrée du repère de l'ennemi, et toucha la parroi, pour constater que celle-ci semblait beaucoup plus sale que le sol. Étrange... Il y avait donc eu quelqu'un ou quelque chose de présent ici, mais qui ne voulait surtout pas que l'on sache qu'il ait résidé dans cette miteuse et noséabonde caverne...

Il fit le tour de la grotte, accompagné de 4 cavaliers, et il ne constata absolument rien. Il essaya tant bien que mal de grimper sur le promontoir de la caverne, question d'y trouver de l'information ou des pistes qui pouvait nous mener à suivre les trace des brigands...

Il revint devant l'entrée de la caverne, et vit que Vakalor en sortait. Il avait plustôt l'air piteux et décu, et celui-ci lui appris les nouvelles. Il réfléchit quelques instant, et il lui dit, pour répondre à sa question...

Un atout millitaire.... puis il fit une pauseCome atout millitaire, il n'y à qu'Édoras et le Gouffre de Helm, mais même enocre Édoras... Si il veulent faire un carnage, c'est Édoras, le Riddermark puis l'Ouestfold

Et il souppira, d'un air grave, car les évènement qui se précipitait l'inquiétait beaucoup...

Hrethel leva les yeux, et il regarda Vakalor. Ses yeux pouvait laisser
transparaître plus que de la peur... L'Isengard, lieu où la source matérielle du mal prenait forme, lieu où le magicien blanc, au terrible et phénoménale pouvoir résidait, lieu où seul la désolation, le doute et le néant existait... Hrethel se frotta le front, et il enleva son casque. Il se passa par l;a suite la main sur le visage, et se gratta très légèrement le menton, car il était en pleine réflection : L'Isengard était quand même assez près, et il se devait d'y aller, c'était son devoir de chef...

Il se retourna, et il regarda ses hommes, car Vakalor venait juste de lui dire de ne pas laisser la peur et la nervosité gagné son esprit, car il était leur modèle... Il les observa attentivement, et les regarda un par un, ceux qui étaient dans la première rangée. Il baissa la tête, puis il finit par regarder Vakalor. Il lui dit, avec un léger sourire en coin...

Je vous suis... Et ne vous inquiétez pas pour moi, je vais bien m'en tirez...

Et il se mit en sèlle, suivant de près Vakalor pour se rendre en Isengard...

[Bien des lunes ce sont écoulées depuis ce jours, et bien des évènement se sont passés... La grotte d'Adramëor n'est plus visible, envahi par les ronces où seuls les renards peuvent se frayer un chemin pour aller boire à la source... Des ruines de l'ancien temps...]


*Aïe... Où suis je? Que se passe t'il? Où m'emmènes tu?

- Sur la route du savoir, tu as reculé. Ne cherche pas à comprendre. Dors... Tu oublieras bientôt.*

La voix était calme. Le ton assuré. La petite guérisseuse avait fini de tituber. Elle avançait à présent d'un pas assuré, vers un énorme amas de branches et de ronce... C'était ici. Combien de temps mit elle pour traverser cette jungle de ronces et d'épines, et au pris de combien de blessures? Nul ne pourrai le dire, car nul ne le sais.

Plic. Ploc. Plic. Ploc. Plic. Ploc.

La guérisseuse entrouvrit les yeux... Elle était incapable de bouger. Couverte de griffures, de boue et à bout de force, elle ne fit qu'entrevoir l'endroit où elle se trouvait, avant de sombrer de nouveau dans le noir...

*Qui êtes vous?

- Chuuut... Le temps des réponses n'est pas encore venu. Dors.*

Combien de temps resta t'elle inconsciente? Combien de temps c'était il écoulé depuis qu'elle était ici? Qui veillait sur elle, et pourquoi?? autant de question qui restait sans réponses...

Après un temps indéterminé, elle commença à se sentir un peu mieux. Elle entrepris d'aider la mystérieuse personne qui l'avait mené jusqu'ici en déblayant la grotte des ronces, et en réparant maladroitement quelques petites choses... Mais elle ne voyait jamais cette personne. Pourtant, elle savait que "son protecteur" était toujours là.

Il chassait pour elle, laissant des lapins morts devant l'entrée de la grotte... Il lui ramenait également des herbes pour qu'elle soigne ses blessures, ou quelques fruits glané à l'extérieur...

Louve se sentait perdu. Elle ne se souvenait de rien. Ni de son nom, ni de sa vie, ni de ce qu'il lui était arrivé, ni rien du tout. Ses étranges marques bleues, qu'elle portait sur tout le corps, d'où venait elle? Le visage qui se reflétait dans l'eau de la source ne lui disait rien non plus. Il lui arrivait parfois de passer des heures à se regarder, cherchant dans sa mémoire... Mais ce n'était que le noir. Un noir profond, intense et opaque. Un noir qu'elle ne parvenait pas à éclairer...

Certaine chose pourtant lui revenait... Elle savait faire la cuisine, des potions de guérisons, se servir d'un couteau laver une casserole. Mais rien d'autre.

*Pourquoi suis je ici...?

- Tu as besoin de forces et de repos.

Sais tu quel est mon nom?

- Tu l'as donc oublié?

...

- Ça reviendras... Patience! A présent, dors...*



[Je tiens à mettre en garde tout posteur... J'ai peu de temps à consacrer au net. Je post parce que j'aime ce personnage, et que je voudrais que son histoire continue. Mais si personne ne veux poster, ce n'est pas grave. Je suis en mesure de continuer mon scénario tranquilou bilette toute seule comme une grande. Donc que personne ne se sente obligé. Maintenant, si ça vous intéresse quand même et que vous êtes prévenu que les réponses tarde, alors allez y!]

HRP: Ne pouvant moi même pas poster aussi souvent que voulu...^^

[MJ on]

L'étrange sauveteur de Louve était quelque peu peiné qu'elle n'arrive pas à se souvenir de lui. Mais toute bonté et tendresse, il prit garde à ne rien laisser paraître. Les blessures qu'elle avait subi étaient profondes et mettraient du temps à guérir, tant au niveau physique que mental. Beaucoup de choses resteraient hors de portée de la rohirrim tant que le processus de cicatrisation ne serait pas terminé, et en attendant, il se devait, lui, de s'assurer qu'elle ne manque de rien et puisse vivre paisiblement.

Retournant auprès de la monture de Louve, le fameux Fentabrise, l'inconnu lui caressa affectueusement le museau, ce que le cheval lui rendit gentiment. Souriant à cette brave bête, l'inconnu de la grotte lui donna une petite gâterie avant de s'en aller prestement. La nuit n'allait pas tarder à tomber et il devait ramener le dîner et du bois pour le feu.

Fendant la brise du soir, l'homme s'enfonça dans les bois à la recherche de ses collets, n'oubliant pas de ramasser toute branche sèche à sa convenance. Tout en s'affairant à ces occupations quotidiennes, l'homme ne pouvait s'empêcher au destin qui l'avait conduit à retrouver Louve.
La Terre du Milieu connaissait des temps troublés, très troublés. Il l'avait senti tout d'abord à d'infimes nuances dans la nature. Des migrations inhabituelles, la mélancolie des arbres, la frayeur des insectes... La Terre lui avait communiqué son inquiétude avant qu'il n'en comprenne la raison. En allant à un marché, il était tombé sur un village dévasté, la mort et la pourriture de la dévastation l'ayant seules accueillies. Continuant son chemin, c'était là qu'il avait trouvé Louve...

Souvenir ôh combien douloureux à sa mémoire. Marchant sur la route, il s'était soudain envahi d'un grand froid. Courant pour se réchauffer, il avait aperçu dans le lointain sa destination. Mais, loin de se réchauffer, plus il avançait, et plus le froid se faisait vif alors que la nuit tombait, pleine de menaces. Enfin, il atteignit le village. Mais loin d'y trouver la quiétude escomptée, il entendit des cris et des pleurs de souffrance. Au détour d'un carrefour, il avait compris.
Le village tout entier était pris d'assaut par une marée verte spectrale qui poursuivait les vivants, un horrible rictus sur leurs visages. Tétanisé par la peur, il n'avait pu tout d'abord rien faire. C'est alors que son esprit engourdi réussi à capter un élément. Une femme au sol, un spectre au dessus, et à côté, un cheval fou de douleur.

Reconnaissant la personne, son sang n'avait fait qu'un tour. Se précipitant, il saisit la forme immobile au sol, la hissa sur ses épaules musclées et partit au pas de course. Etonné, le spectre n'eut pas le temps de réagir. Et lorsqu'il le fit, une fillette de cinq ans aux côtés du corps de sa mère l'intéressa beaucoup plus que le coureur. Paradoxalement, ce fut l'être le plus vulnérable qui fut sacrifié à l'appétit insatiable des Morts pour le sauver, lui et Louve. Courant sans s'arréter, il était incapable de se rappeler combien de temps il avait ainsi détaler. Ce ne fut que lorsque son corps ne put plus le porter qu'il s'affala au sol. Réveillé le lendemain par une langue rêche et baveuse, il retrouva Louve toujours dans l'inconscience et Fentabrise qui les avait rejoint. Chargeant la femme sur sa monture, il les avait conduit ici et tentait désormais de sauver la femme des limbes où elle avait failli rester.

Ainsi pensait cet inconnu en revenant à la grotte, sa besace avec un lapin et un canard, et le dos chargé de bois...

[MJ off]

(HS: Ah. Je voyais pas vraiment les choses sous cet angle là... M'enfin tant pis. J rebondis et me redresse après une galipette. Que le Rp continue! Ah oui, petit détail encore... C'est FendLabise, ou FendLabRise à la limite, mais pas FendTabise... Si si. J'y tiens. )


"Froid est le vent dans les arbres, froid est le vide qui m'envahis... Te souviens tu mon être de la chaleur du soleil? Et toi mon âme, du bonheur de savoir ce qu'il fait ta vie...?"

La solitude de la malheureuse la faisait parler seule parfois. Depuis quelques jours, elle se sentait un peu mieux. Elle pouvait rester debout plusieurs heures sans que sa tête ne lui tourne, et les blessures qui lacéraient sont corps ne la faisaient plus autant souffrir.

Lorsqu'elle se dirigea pour la première fois depuis son arrivée à la porte de la grotte, ce fut pour constater avec désappointement que la nuit était en train de tomber... Cela faisait partit de ces choses immuable qu'elle ne s'expliquait pas... Comment savait elle que le soleil se couchait, alors qu'elle ne se souvenait pas de son propre nom...?

Un petit chemin serpentant à travers les ronces coupait la grotte du reste du monde. Seul un endroit un peu dégagé devant la grotte lui permettait de se tenir là, debout à regarder le ciel.

Une larme amer et à la fois mélancolique s'arracha de son œil, pour venir scintiller sur sa joue ronde et lisse... Le spectacle de cette lune rousse et aussi ronde qu'une bulle était tout bonnement époustouflant...

"J'en avais oublié à quel point tu étais belle, ronde luminescence... Merci de me le rappeler..."

Le vide qui l'emplissait ne sembla pas se remplir pour autant... Mais la Belle Joufflue lui avait accordé un instant de répits dans son tourment quotidien...

HRP:Oups, désolé, petit raté.^^

[MJ on]


Alors qu'il remontait le chemin menant à la grotte, l'inconnu aperçut Louve qui se tenait droite et fière dans la nuit tombante, regardant l'astre lunaire. La lumière tombant, il ne pouvait bien distinguer les traits de la femme, mais tout dans son attitude dénotait la mélancolie et la contemplation, deux attitudes que lui même connaissait bien...
Saisi par le spectacle, il s'était arrêté quelques instants pour l'admirer. Puis, saisi d'effroi à la pensée que peut être elle l'avait vu, il rajusta son capuchon sur son visage et reprit son chemin. Pour ne pas effrayer Louve, il se mit à chanter de sa voix grave mais douce à la fois, un chant rohirrim parlant de la lune et des étoiles. Vieille comptine que lui chantait sa mère aujourd'hui disparue, cela parlait d'un amour impossible entre un homme et une créature de la forêt de Lorien sous le regard complice de la Lune. Beau et émouvant, ce chant avait toujours fait vibrer de tout son être l'homme qui, à chaque fois qu'il le chantait, lui donnait toute son âme, se rappelant chaque souvenir de sa vie qui pouvait se rapprocher de cette histoire.

C'est ainsi que grimpant les derniers mètres le séparant de la grotte, il apparut à Louve, le visage comme toujours dissimulé. Il s'arrêta un instant pour la saluer,puis entra, toujours en chantant, dans la grotte. Ravivant le feu qui manquait de combustible, il se déchargea de son fardeau, sortit les lapins et commença à les préparer. Alors que son chant se finissait, il craignait et souhaitait tout à la fois que Louve soit derrière lui, prête à discuter avec lui...

[MJ off]